Un grand nombre de musulmans n’ont pas perdu la fibre du combattant et pratiquent leur religion. On ne peut dire la même chose des blancs chrétiens occidentaux… N’est-ce pas?
Chrétiens occidentaux: retrouvez la fibre du combattant et redécouvrez votre religion!
Une photo du grand Mufti de Jérusalem entouré de la division SS de Yougoslavie en 1944. Dans un discours aux troupes musulmanes, le mufti met l’Islam et le nazisme au même niveau, proclamant que: « il y a des similarités considérables entre l’Islam et le National-Socialisme ». (Procès-verbal de la rencontre entre Adolf Hitler et le Grand Mufti Haj Amin al-Husseini – 1941)
F
From: http://www.tellthechildrenthetruth.com/gallery/index.html
Amin Al Husseini as officer of Ottoman Empire – 1915 | 1931 Amin Al Husseini is founder and President of the World Islamic Congress. After WWII, it will actively shape the agenda of the Muslim world. |
1920 – Jerusalem, Palestine. Amin Al Husseini inciting the riots that pitted Palestinian Arab against Palestinian Jew. |
World War II |
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Muslim Soldiers reading German Propaganda. The name of the book is Islam Und Judentum (Islam and Judaism in German) |
Amin Al Husseini with one of his Nazi Muslim Troops – 1943 Hanzar SS Division. | Amin Al Husseini meets Heinrich Himmler, Head of Nazi SS. |
Berlin-1942 Amin Al Husseini spends WWII by Hitler’s side. |
Amin Al Husseini inspecting Nazi Muslim troops – 1943 | Nazi officer inspecting Muslim Bosnian SS troops. |
Rashid | Amin Al Husseini inspects his Muslim Nazi Hanzar troops 1943 | Nazi propaganda poster featuring Amin Al Husseini recruiting young Muslims. |
Muslim soldiers with hat showing Nazi insigna- WW II. | Bosnian Nazi Muslim Flag under Amin Al Husseini – 1943 | Amin Al Husseini in Berlin during World War II. |
Amin Al Hussseini meets Croat Nazi A.Artukovic and M,Budak, planning Serbian genocide. | Amin Al Husseini inspecting his Nazi Muslim troops- 1943 | Bosnian Soldier posting picture of Amin Al Husseini – 1943 |
Amin Al Husseini at Nazi meeting in Berlin during WW II. |
Muslim Nazi troops in traditional Muslim prayer -1943 | Muslim Nazi troops in traditional Muslim prayer -1943 |
Amin Al Husseini Head of SS Muslim Hanzar Division |
Amin Al Husseini Head of SS Muslim Hanzar Division |
Amin Al Husseini Head of SS Muslim Hanzar Division |
Amin Al Husseini Head of SS Muslim Hanzar Division |
Amin Al Husseini Head of SS Muslim Hanzar Division |
Amin Al Husseini Head of SS Muslim Hanzar Division |
POST World War II |
Amin al Husseini at Arab League meeting at its creation- 1944 | 1946. Key Picture of Amin Al Husseini with the Muslim Leaders of Post-WWII era. | 1951. Karachi, Pakistan. |
Pakistan 1951. Amin Al Husseini is guest of honor as President of World Islamic Congress. | Karachi, Pakistan. 1951. | Amin Al Husseini with Egyptian President Nasser. |
Leading and representing the Muslim Community: Amin Al Husseini. | 1969. Amin Al Husseini with Prime Minister of Malaysia Rahman, First Secretary-General of (OIC) Organisation of Islamic Conferences.. | 1966. Karachi, Pakistan. Amin Al Husseini continues to be central figure in Pakistani leadership. |
1970. Karachi, Pakistan. Husseini with Pakistani leader. | Yasser Arafat (far-right) at Amin Al Husseini’s funeral (with Mufti of Lebanon). 1974 |
Palestinian soldiers under Yasser Arafat doing Nazi salute- today |
Mein Kampf by Adolf Hitler. Distributed by Palestinian Authority- 2003 |
DOCUMENTSHere is a premiliminary list of documents. This list will be updated often so please check back.
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Minutes of the meeting with Hitler and Husseini.Source: Documents on German Foreign Policy 1918-1945, Series D, Vol XIII, London, 1964, pp.881 ff. German Chancellor Adolf Hitler and Grand Mufti Haj Amin al-Husseini: Haj Amin al-Husseini, the most influential leader of Palestinian Arabs, lived in Germany during the Second World War. He met Hitler, Ribbentrop and other Nazi leaders on various occasions and attempted to coordinate Nazi and Arab policies in the Middle East. |

Nazisme et Islamisme, les Waffen SS Musulmans reviennent
Khadija Benguenna, journaliste vedette d’Al Jazeera: « Hitler était très tolérant envers les Waffen SS musulmans, il les laissait prier , Khadija Benguenna (1), vient de publier, en arabe, sur sa page Facebook, un commentaire saluant « l’humanité d’Hitler », qui autorisait les « soldats musulmans à faire la prière ». Elle réagissait à ces photos d’archive de la Seconde Guerre mondiale, montrant des Waffen SS musulmans en train de prier.
Elle précise également : « La victoire des Allemands a été l’occasion pour les musulmans de s’allier avec l’armée allemande, parce qu’ils ont retrouvé la liberté d’exercer leur foi islamique. D’autant qu’Hitler était très tolérant envers les musulmans, et il avait des savants musulmans parmi ses conseillers. »
A la fin de son commentaire, elle ajoute : « Mais étant donné que les médias sont entre les mains des Juifs, ils ont occulté cette vérité et ils ont concentré leurs efforts sur la surenchère autour de l’Holocauste. » Et termine, en s’adressant à ses arabophones : « Bientôt je vous transmettrai en deux parties les positions d’Hitler envers les musulmans. » Khadidja Benguenna est une icône du monde arabe.
Elle a été la première présentatrice arabe d’Al Jazeera à mettre le hidjab. En 2007, le magazine Forbes la classe comme l’une des dix femmes les plus influentes du monde arabe. En 2008, elle reçoit Le Prix des femmes des médias arabes. Puis en décembre 2011, Le Prix des Droits de l’Homme de l’Institut Euro-arabe.
Elle s’est notamment engagée à maintes reprises en faveur de la promotion de la femme arabe, soulignant entre autres l’importance du rôle des femmes dans les médias. Et elle utilise maintenant sa notoriété pour la promotion de l’image d’Hitler…
Elle fait sans complexe l’apologie du Führer parce qu’il autorisait la prière aux soldats musulmans, dont certains ont servi dans des camps d’extermination. Et elle porte une accusation antisémite explicite, mais si banale, contre les Juifs, en leur reprochant d’avoir « les mains sur les médias ».
La Ligue Anti-diffamation (ADL), et le Centre Simon Wiesenthal, organisation juive américaine des droits de l’Homme, n’ont pas encore réagi – ils ne sont pas encore informés. Les critiques acerbes de Khadidja Benguenna contre Israël prennent maintenant une toute autre tournure… Son admiration pour le fondateur du nazisme rappelle l’admiration, en 1943, du Grand Mufti de Jérusalem, le sinistre Amin el-Husseini, qui avait formé des troupes musulmanes bosniaques – les « Divisions Hanjar » (Sabre)- sorte de Waffen SS musulmans, qu’il avait personnellement recrutées pour Hitler. Hanjar devint la division nazie la plus importante du troisième Reich (26 000 hommes) et participa activement au génocide des populations serbes et juives (3).
Le Mufti, sponsorisé par l’Allemagne nazie, participa à la solution finale. Il se rendit en mars 1944 à Auschwitz, le plus grand camp de concentration et d’extermination d’Europe, où il admonesta les gardes, près des chambres à gaz, en leur enjoignant de travailler plus diligemment. De 1940 à 1945, environ 1.1 million d’hommes, de femmes et d’enfants, dont un million de Juifs d’Europe, ont péri en ce lieu. Il y a quelques jours, le monde civilisé célébrait le 68e anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz.
Et voilà qu’une célèbre journaliste arabe, nostalgique du nazisme, adoratrice d’Hitler, qui a permis la prière des Waffen SS musulmans, rappelle, si besoin est, les liens ayant existé et qui existent encore, entre les nazis et le terrorisme musulman.
(1) Voir sa page FaceBook: https://www.facebook.com/Khadjt (2) Khadija Benguenna est diplômée de l’Institut des Sciences politiques et de l’Information (ISPI) de l’Université d’Alger. Après un séjour en France, elle a travaillé à Radio Suisse international. Elle part en 1996 rejoindre l’équipe d’Al Jazeera au Qatar. Elle s’est fait remarquer pour ses émissions d’actualité politique internationale, ainsi que pour ses programmes sociaux et religieux, ce qui lui permet d’interviewer de nombreux acteurs du monde politique, dont Mouammar Khadafi ou Mahmoud Ahmadinejad, et d’autres personnalités comme Dominique de Villepin ou Carla Bruni-Sarkozy. (3) Des sources arabes décrivent cette division musulmanes formée par des officiers nazis allemands comme « la crème de l’Islam » Pendant la Guerre 39-45, à part ces volontaires musulmans bosniaques dans l’armée allemande nazie, d’autres musulmans d’Afrique du Nord ont travaillé dans la Brigade nord africaine, formée à Paris dans les milieux de l’immigration par les agents français de la Gestapo. Cette brigade a participé au ratissage des maquis en Dordogne. Les livres d’histoire rapportent la cruauté de ces collabos musulmans, et leurs nombreux crimes contre des Résistants. On évite souvent, malhonnêtement, de parler de cela.
Ftouh Souhail
Avocat arabe en Tunisie


dans la deuxième guerre mondiale
Seul problème : l’homme n’est ni aryen ni même blanc, mais guadeloupéen et surtout noir. Pour toute réponse, il est envoyé illico dans un camp de concentration.
Comme lui, quelques égarés antillais, guyanais, réunionnais, et africains, ont collaboré activement avec l’ennemi, qui dans la LVF, qui dans la Milice, qui dans la Gestapo. En Allemagne et en Italie, où les Noirs étaient menacés, certains ont également joué le jeu des nazis et des fascistes, par instinct de survie ou patriotisme.
– http://livre.fnac.com/a3696879/Serge-Bile-Sombres-bourreaux
– http://www.amazon.fr/Sombres-bourreaux-Serge-Bilé/dp/235593178X/ref=sr_1_1?…
Si le Capitaine N’TCHORERE, originaire du Togo, a sacrifié sa vie le 7 Juin 1940 à Airesne, petit village de la somme, il n’en fut pas de même pour beaucoup d’entre eux qui choisirent le camp des nazis.
Nous sommes en 1968 à Bordeaux, la grève bat son plein et le Général De Gaulle promet de battre la « chienlit ». Les dockers sont tous en grève, sauf un, malade qui reste au fond de son lit. Il s’agit de Norbert Désirée, guadeloupéen, arrivé en 1942 et ex membre de la Légion des Volontaires Français contre le bolchévisme. Il veut intégrer la Waffen SS, mais n’étant pas aryen, ni même blanc, il sera envoyé …. en camp de concentration.
Il avait pour modèle, le Capitaine de vaisseau Camille MORTENOL, qui commanda la défense aérienne de Paris contre les attaques nocturnes de l’aviation Allemande pendant la guerre de 14-18.
Et si la communauté afro-antillaise est sensible à la lutte des républicains espagnols et de l’anticolonialisme, tel le socialiste Raphael Elizé (1), ou le chanteur franco-ivoirien John William (2) qui s’engageront auprès des FFI, d’autres, comme Henry LEMERY, Ministre de la Justice en 1934, combattra le communisme en soutenant le régime Franquiste.
Tous les pays en guerre en Europe, connaitrons leur nazis noirs. Beaucoup agiront pour le compte du IIIème Reich en Afrique ou en Amérique du Sud, uniquement par haine des colonisateurs. L’Afrique du Sud jouera un role prépondérant par son ralliement au III Reich.
Beaucoup d’intellectuels afro-caraïbéens apporteront, souvent à leur tort, une « collaboration » au régime de Pétain. C’est le cas de Damas qui lisait ses contes guyanais à Radio-Vichy, mais s’engagea au Front National de l’Indépendance de la France, un mouvement de résistance, il en sera même décoré alors que la cantatrice Germaine Lubin, métisse afro-kabyle, qui interprétera Isolde de Wagner à Bayreuth en 1938 accompagnée par Herbert Von Karayan (membre du Parti Nazi) et dont Hitler fera « sa petite princesse noire ». Elle sera condamnée pour collaboration en 1945.
C’est aussi un « nègre-blanc », Lawrence Dennis qui inspirera dès 1929 le mouvement nazi américain, dont Georges Lincoln Rockwell, un blanc sudiste, assurera la promotion lors du fameux interview accordé en 1962 à Alex Haley, pas encore auteur de « Racines », pour le magazine « Play Boy ».
Serge Bilé, à travers cet ouvrage, pose une bombe en révélant ce coté sombre de la présence afro-caraibéenne en France. Loin de juger ses hommes et femmes, il tente de démontrer le mécanisme qui pousse certains à collaborer avec leur propre bourreaux, quitte à en devenir un. Haine de l’autre, processus colonial d’auto-dévalorisation, peuvent entre autre expliquer ce phénomène.
Mais n’oublions pas qu’ils furent plus nombreux, célèbres ou anonyme à payer de leur vie leur engagement au sein de la résistance mais aussi de l’Armée de De Gaulle, tels Joséphine BAKER ou Félix EBOUE sans qui le débarquement en Afrique et en France n’auraient pas eu lieu et sans lesquels nous ne serions pas libres.
Et comme le disait Raphael Elizée : « Bon dieu qu’ils nous tuent tous, et que la terre soit débarrassée de ces sauvages ». Mariam SERI-SIDIBE(1) Raphael Elisée, premier Maire Noir de France. Elu à Sablé-sur-Sarthe (actuellement dirigé par François FILLON) de à 1929 à 1943. Membre de la résistance il fut déporté sur dénonciation à Buchenwald le 9 Février 1945 ou il mourut le soir-même. Il exerça également en tant que vétérinaire à Hirson (Aisne, ma ville d’adoption) de 1939 à 1940.
(2) John William, de son vrai nom Ernest Charles Huss, né à Grand Bassam en Cote d’Ivoire, de mère ivoirienne et de père alsacien. Résistant communiste, déporté à Neuengame (Hambourg, Allemagne). Président de l’Association des Déportés de France, Chevalier de la Légion d’Honneur le 16 Décembre 2005.
La droite européenne applaudira cette fois. Sûrement qu’elle s’empressera dans les librairies pour se procurer de «Sombres bourreaux», la dernière publication du confrère franco-ivoirien Serge Bilé. Car la polémique qu’il soulève, et qui fait déjà du bruit dans la presse française ne dédouane pas cette fois, l’africain face à son traditionnel bourreaux européen. Il met plutôt en cause, les africains qui ont été des bourreaux sous l’Occupation. Serge Bilé est allé fouiller dans les archives du nazisme pour trouver des africains et des nègres bien assis à droite de Hitler. En fait, la France a eu ses collabos pendant la Libération. Il n’y a pas que des français. Les africains pourtant recherchés aussi par le régime nazis se sont mis dans les rangs de l’armée allemande. L’ouvrage qui n’est pas une enquête exhaustive est un travail de plusieurs années. Car il a commencé en 2004. Il y a juste une quinzaine de jours qu’il est sorti en France où déjà il commence par être la cible de la critique. Son travail qui est le fruit de recherches prend en compte juste une centaine de collabos noirs d’origines africaines, américaines ou surinamiennes dans l’armée allemande. Et parmi eux, se trouvent un ivoirien originaires de la région de Duekoue, un éthiopien, un camerounais et bien d’autres. Il n’y a pas que ça. Il y a aussi des volontaires français qui viennent des départements d’Outre-mer. «On se demande pourquoi des noirs se sont mis au service de Hitler. L’armée allemande payait très bien. Donc ça peut être l’appât du gain. Il y aussi le fait que des gens qui sont opprimées peuvent prendre fait et cause pour leurs bourreaux.» Fait remarquer à ce propos Serge Bilé. L’auteur se trouve fasciné par le passé douloureux de l’Afrique. C’est d’ailleurs ce qui le guide dans ses différents écrits. On espère bien qu’il s’intéressera à l’histoire coloniale de l’Afrique. Même si comme il le dit, le psychodrame qui se joue actuellement en Côte d’Ivoire ou au Sénégal ne l’intéresse pas. «J’ai une passion pour le passé. Pour les choses qui n’ont pas été dites.» Confi-t-il alors.
Guehi Brence
« Sombres bourreaux », ces Noirs hitlériens
samedi 3 décembre 2011 / par Fouâd Harit
Interview de Serge bilé, auteur du livre. Le livre « Sombres bourreaux », de Serge Bilé, raconte le parcours des Afro-Antillais qui ont combattu aux côtés d’Hitler. Désespoir, endoctrinement ou sincère conviction, Serge Bilé décrit l’incroyable fascination que ces Afro-Antillais avaient pour Adolf Hitler et le nazisme.
Serge Bilé : J’ai été interpellé par un film « Lacombe Lucien » de Louis Malle, sorti en 1974. Dans une des scènes du film, il y a un noir qui torture une personne pour la gestapo. Cette scène m’a frappé. J’ai donc entrepris, depuis 2004, des recherches sur le rôle qu’ont joué certains afro-antillais aux côtés des nazis. J’ai découvert qu’en Outre-mer certains avaient tout quitté pour rejoindre l’Allemagne nazie.
Serge Bilé : C’est celui avec lequel je me suis le plus senti en communion. J’y ai été amené à travers une lecture. Dans un livre de la LVF (ndlr : Légion des volontaires français), on parle d’un certain Norbert. Je me suis penché sur son cas et me suis demandé comment un guadeloupéen peut quitter son île pour entrer dans l’armée allemande.
« Nous sommes allemands comme les autres et nous voulons défendre notre pays ! »
Serge Bilé : C’est plus qu’une question d’argent. Beaucoup de noirs ont cherché à fuir ces lois et la répression. Certains d’entre eux sont restés. Mais en décidant de rester, il fallait se faire tout petit, ne pas se faire remarquer. Quelques-uns ont réussi à détourner les lois pour intégrer la jeunesse hitlérienne. C’était une manière de dire : « Nous sommes allemands comme les autres et nous voulons défendre notre pays ! » Ils avaient en eux une part de nationalisme y compris une admiration pour Hitler. Pour Norbert Désirée, c’était une motivation financière et nationaliste. Il avait envie de voir la France se relever. Autre chose, Norbert était clairement anti communiste et ne voulait pas que le bolchevisme arrive en Guadeloupe.
Serge Bilé : Il n’y a pas de réelles différences. Là aussi c’est l’envie de défendre son pays qui primait sur tout le reste, à l’exemple de Prado (ndlr : un des personnages du livre) qui se bat pour intégrer l’armée italienne. Il y a ceux qui sont nés en Italie et qui veulent intégrer les partis fascistes et ceux comme Peter (ndlr : un des personnages du livre) qui arrivent après et qui sont pris par le syndrome de Stockholm en version italienne. A force d’être proches des fascistes, ils ont fini par le devenir.
Serge Bilé : Ce sont les grands mystères de l’histoire. On ne sait pas pourquoi avoir pris une telle décision, certains, auxquels on s’y attend le moins, arrivent à franchir les barrières… Dans le livre, sa cousine explique que cette statue est un honneur à Prasso et à sa famille.
« C’était une époque difficile pour les noirs »
Serge Bilé : Oui, c’est normal. Ils ont eu au même titre que les collaborateurs leur part de responsabilité dans les atrocités commises au sein de l’armée allemande. Mais on s’aperçoit que très peu d’entre eux ont été jugés.
Serge Bilé : Malheureusement non. J’ai eu l’occasion de parler au téléphone avec l’un d’eux qui a aujourd’hui 92 ans mais il y a une certaine gêne à parler de cela. J’en ai contacté un autre mais il a aussi refusé de me rencontrer et même de s’exprimer au téléphone. On sent bien qu’il y a une honte, une peur de témoigner.
Serge Bilé : C’est à chaque fois la stupéfaction. Quand je raconte cette histoire, on ne me croit pas tellement elle paraît invraisemblable. J’ai commencé à en parler en 2004. Personne ne m’a cru jusqu’à ce que je leur fournisse les preuves.
Serge Bilé : J’ai toujours eu cette posture de ne pas juger mais au fond je me dis : qu’aurais-je fais à leur place ? Evidemment je n’ai pas la réponse car je n’en sais strictement rien. C’était une époque difficile pour les Noirs, alors il fallait trouver la facilité. Le parcours de ces Noirs est extraordinaire et impressionnant mais je n’ai pas à juger. C’était une époque difficile pour les noirs.
admiration, au point d’oublier le sang noir et kabyle qui coule dans les veines de la cantatrice
dont le père est Guyanais.
Wehrmacht, alors que l’accès à l’armée allemande est formellement interdit aux Noirs et aux
métis.
Le Nazisme et l’islam
Claudio Mutti
FIN
by
David Myatt

National-Socialist Germany:
The government and officials of National-Socialist Germany strove hard to uphold and live by the ethics of National-Socialism, as did every genuine National-Socialist, even after the defeat of NS Germany in what has become known as the First Zionist War.
Thus, in NS Germany, groups such as Muslims and Buddhists were accorded full respect, and allowed to practise their religion freely. In the pre-war years, NS Germany helped organize a pan-Islamic world congress in Berlin. Berlin itself was home to thriving Muslim and Buddhist communities, of many races, and the Berlin Mosque held regular prayers even during the war years, attended by Arabs, Indians, Turks, Afghans and people of many other races. Indeed, the Berlin Mosque was one of the few buildings to survive the lethal, indiscriminate, bombing and bombardment, and although damaged, it was clearly recognizable as a Mosque amid the surrounding rubble.
Thus, while the British in Egypt and Palestine were treating the Arabs as conquered subjects, the Germans were treating them as equals, as comrades, and respecting their culture, and even to this day in places like Egypt many Arabs fondly recall their meetings with these « nazis ». In fact, Egypt was to become something of a haven for National-Socialists after the War, with hundreds of former SS and German officers helping the post-War anti-British government of Gamal Abdal Nasser, who was associated with the Muslim Brotherhood and a relative of the Egyptian publisher who published an Arabic version of Mein Kampf.
These SS and German officers included Major General Otto Ernst Remer, Joachim Däumling, former Gestapo chief in Düsseldorf, and SS Officer Bernhard Bender, who allegedly also converted to Islam.
Most revealing of all, perhaps, are the friendly links between NS Germany, the SS, and various Jewish organizations. SS Officer Adolf Eichmann was known to have travelled to Palestine in the years before the war where he met Jewish settlers, Jewish leaders, and German agents. His relations with these Jews were always very cordial and friendly.
Of particular interest is the attempt, in 1941 (52yf) by the Jewish group Irgun Zevai Leumi (known to the British in Palestine as the Stern gang) to collaborate with Hitler and Germany:
« On condition that the German government recognizes the national aspirations of the ‘Movement for the Freedom of Israel’ (Lehi), the National Military Organization (NMO) proposes to participate in the war on the side of Germany… » [Document number E234151-8 at Yad Vachem in Jerusalem.].
The German NS government, however, refused to recognize such Jewish « national aspirations » since it conflicted with the policy of their ally Mohammed Amin al-Husseini who was opposed to the establishment of a Jewish State in Palestine. Thus, the attempted Jewish collaboration failed.
Conclusion: To quote Waffen-SS General Leon Degrelle:
» German racialism meant re-discovering the creative values of their own race, re-discovering their culture. It was a search for excellence, a noble ideal. National Socialist racialism was not against the other races, it was for its own race. It aimed at defending and improving its race, and wished that all other races did the same for themselves. That was demonstrated when the Waffen SS enlarged its ranks to include 60,000 Islamic SS. The Waffen SS respected their way of life, their customs, and their religious beliefs. Each Islamic SS battalion had an imam, each company had a mullah. It was our common wish that their qualities found their highest expression. This was our racialism. I was present when each of my Islamic comrades received a personal gift from Hitler during the new year. It was a pendant with a small Koran. Hitler was honoring them with this small symbolic gift. He was honoring them with what was the most important aspect of their lives and their history. National Socialist racialism was loyal to the German race and totally respected all other races. » Leon Degrelle – Epic: The Story of the Waffen SS (Lecture given in 1982). Reprinted in The Journal of Historical Review, vol. 3, no. 4, pp. 441-468.
A true, a genuine, National-Socialist does not go around « hating » people of other races just as National-Socialists are not disrespectful of the customs, the religion, the way of life, of people of other races.
As I have said and written many times, we National-Socialists respect other cultures, and people of other races, because we uphold honour. Honour means being civilized; it means having manners: being polite; restrained in public and so on. Honour means treating people with courtesy and respect, regardless of their race and culture. We National-Socialists express the view that a person should be proud of their own culture and heritage, respectful of their ancestors and their ancestral way of life, and accept that other peoples have a right to be proud of their own culture and heritage as well. The ideal is a working toward mutual understanding and respect. What we must remember is that whenever we hear or see the words racism and racist we are hearing and seeing Zionist social engineering at work. Our duty, as Aryans, is to uphold and strive to live by our own Aryan values of personal honour and loyalty to our folk.
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David Myatt
111yf
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Himmler Inspects Muslim Volunteers of Wehrmacht (Dec 1943)
1941 The Grand Mufti meets Hitler
Proof of Black Nazis – How Many Other Lies Are Told About Germany & WW2
« We have this people of ours that are not to be defined as a race and that is now clear to millions. However, gentlemen, when I began my apprenticeship twenty-five years ago, this was not so; there I was always told by disenfranchised social circles: Yes, people [volk] and race are one and the same! No — people [volk] and race are not the same. Race is a component of blood, a blood nucleus, but the people are very often composed not of one race but two, three, four or five different racial nuclei [kernels]. » – Der Führer, Adolf Hitler (Platterhof Speech), in Hitler and Himmler Uncensored by Veronica Clark (translator, editor) and Wilfried Heink (translator)
HITLER ET L’ISLAM
« Je suis persuadé que les Japonais, les Chinois et les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l’esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive. » (Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180)
I am sure that the Japanese, the Chinese and the peoples of Islam will always be closer to us than, for example, France, in spite of the fact that we are related by blood. It is a tragedy that France has consistently degenerated in the course of centuries and that her upper classes have been perverted by the Jews. France is now condemned to the pursuit of a Jewish policy. (The Political Testament of Adolf Hitler, April 2, 1945)
« Only in the Roman Empire and in Spain under Arab domination has culture been a potent factor. Under the latter, the standard of civilisation attained was wholly admirable; to Spain flocked the greatest scientists, thinkers, astronomers and mathematicians of the world, and side by side there flourished a spirit of sweet human tolerance and a sense of the purest chivalry. Then, with the advent of Christianity, came the barbarians. The chivalry of the Castilians has been inherited from the Arabs. Had Charles Martel not been victorious at Poitiers — already, you see, the world had fallen into the hands of the Jews, so gutless a thing was Christianity! — then we should in all probabihty have been converted to Mohammedanism, that cult which glorifies heroism and which opens the seventh Heaven to the bold warrior alone. Then the Germanic races would have conquered the world. Christianity alone prevented them from doing so. » (HITLER’S TABLE TALK, August 27, 1941)
La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!) il eût beauicoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. (Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 28 août 1942, p. 297)
« L’image que Hitler se faisait de l’Église officielle apparaissait clairement dans ces propos que lui aurait tenus une délégation de notabilités arabes et dont il faisait sans cesse état. Quand, au VIIIe siècle, auraient déclaré ces visiteurs, les musulmans avaient voulu envahir l’Europe centrale en passant par la France, ils avaient été battus à la bataille de Poitiers. Si les Arabes avaient gagné cette bataille, le monde entier serait aujourd’hui musulman. Il sauraient en effet imposé aux peuples germaniques une religion dont le dogme, propager la foi par l’épée et soumettre tous les peuples à cette foi, était comme fait pour les Germains. Par suite de leur infériorité raciale, les conquérants n’auraient pu se maintenir contre les indigènes plus vigoureux et habitués à la rudesse de cette nature où ils avaient grandi, si bien que, pour finir, ce ne sont pas les Arabes mais les Germains, convertis à la foi musulmane, qui auraient été à la tête de cet empire mondial islamique. Hitler avait l’habitude de conclure ce récit par la considération suivante : « Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n’avons-nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante. » (Au coeur du Troisième Reich, Albert Speer)
Hitler had been much impressed by a scrap of history he had learned from a delegation of distinguished Arabs. When the Mohammedans attempted to penetrate beyond France into Central Europe during the eighth century, his visitors had told him, they had been driven back at the Battle of Tours. Had the Arabs won this battle, the world would be Mohammedan today. For theirs was a religion that believed in spreading the faith by the sword and subjugating all nations to that faith. The Germanic peoples would have become heirs to that religion. Such a creed was pedectly suited to the Germanic temperament. Hitler said that the conquering Arabs, because of their racial inferiority, would in the long run have been unable to contend with the harsher climate and conditions of the country. They could not have kept down the more vigorous natives, so that ultimately not Arabs but Islamized Germans could have stood at the head of this Mohammedan Empire. Hitler usually concluded this historical speculation by remarking: « You see, it’s been our misfortune to have the wrong religion. Why didn’t we have the religion of the Japanese, who regard sacrifice for the Fatherland as the highest good? The Mohammedan religion too would have been much more compatible to us than Christianity. Why did it have to be Christianity with its meekness and flabbiness? » (Inside the Third Reich, Albert Speer)
VIDEO – 28 avril 1939 : Hitler évoque le cas de la PalestinePour votre information:


J’aimerais voir des milliers d’Identitaires avoir des couilles comme le Hezbollah.Ou comme le Hamas!


Identitaire, combien de fois tu t’es pris du phosphore blanc en pleine gueule pour avoir combattu la juiverie mondialiste?
Adolf Hitler’s Armed Forces: A Triumph for Diversity, by Veronica Clark
Autres (divers):
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Claudio Mutti Dans Le Nazisme et l’islam, Claudio Mutti affirme en s’appuyant sur une citation de Léon Degrelle, que « Hitler avait indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était d’origine catholique et qui comme enfant avait chanté dans le choeur de la paroisse, montrait un grand intérêt pour l’islam et sa civilisation ». Citant les « propos de table » d’Adolf Hitler, Claudio Mutti multiplie les exemples d’appréciations enthousiastes du Führer relatives à l’islam. Un Führer qui va jusqu’à exalter la civilisation musulmane de l’Espagne et à voir dans la Reconquista catholique l’empreinte du sectarisme et de la barbarie : « L’époque arabe fut l’âge d’or de l’Espagne la plus civilisée. Puis vint l’époque des persécutions toujours recommencées ». Dans une dernière partie, Claudio Mutti montre comment cet engouement fut partagé par de nombreux dignitaires du NSDAP et comment il alla, dans un nombre significatif de cas jusqu’à la conversion… 20 p. |
Mutti Claudio – Le nazisme et l’islam
Ouvrage : Le nazisme et l’islam
Année : 2004Lien de téléchargement : Mutti_Claudio_-_Le_nazisme_et_l_islam.zipJe n’ai pas pour but de m’occuper des orientations spirituelles d’Hitler et de sa position vis-à-vis de la religion ; je me limite seulement à dire avec Léon Degrelle (le fondateur du Rex belge), que « contrairement à tout ce qu’on a pu raconter, Hitler n’était pas du tout un païen » et nous renverrons le lecteur aux nombreuses pages de Bormmann-Vermerke dans lesquelles le Führer manifestait à un cercle restreint d’intime sa conception du divin. Nous noterons ici, citant encore le général Degrelle, que « Hitler avait indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était d’origine catholique et comme enfant avait chanté dans le choeur de la paroisse, montrait un grand intérêt pour l’Islam et sa civilisation ». En effet, si on lit les « propos de table » d’Adolf Hitler, nous ne pouvons qu’être frappés par ses appréciations enthousiastes relatives à l’Islam. Dans la conversation du 5 juin 1942, par exemple, le Führer affirme l’infériorité du christianisme par rapport aux autres religions, parmi lesquelles l’Islam : « Et cette fois nous éprouvons une violente sensation de colère à la pensée que des Allemands ont pu s’enliser dans des doctrines théologiques privées d’une quelconque profondeur quand sur la vaste terre il y en a d’autres, comme celles de Confucius, de Bouddha et de Mahomet, qui à l’inquiétude religieuse offrent un aliment d’une bien autre valeur. » On retrouve la comparaison entre l’Islam et le christianisme, à l’avantage du premier, dans une autre conversation, le 1er août 1942 : « Nous ne comprenons pas que les prêtres s’imaginent Dieu à la ressemblance d’un homme. De ce point de vue, les disciples de Mahomet sont, de loin, supérieurs aux prêtres, parce qu’ils n’éprouvent pas le besoin de se figurer Allah physiquement ! » Dédaigné et repoussé par les aspects anthropomorphiques du christianisme, Hitler admirait la manière purement intellectuelle avec laquelle les Musulmans pensaient à Dieu : « il le fascinait donc, lui aussi, cet Allah jamais vu, jamais représenté par personne, un mystère constant. » Dans les mêmes circonstances, Hitler exalta la civilisation musulmane de l’Espagne et vit dans la Reconquista catholique l’empreinte du sectarisme et de la barbarie : « L’époque arabe fut l’âge d’or de l’Espagne la plus civilisée. Puis vint l’époque des persécutions toujours recommencées. » Le sujet fut repris le 18 août 1942 : « La civilisation a été un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. La même chose se produisit en Espagne sous la domination des arabes. La civilisation y atteint un niveau rarement atteint. Une époque, indiscutablement, d’humanisme intégral, dans laquelle régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme y a apporté le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en effet un héritage des Arabes ». Et, nous rencontrons alors, chez Adolf Hitler, la plus fervente expression de sympathies pour l’Islam qu’un Européen non musulman puisse prononcer : « Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était déjà condamné à l’influence judaïque – et son sous-produit le christianisme est une chose si insipide ! –, il aurait mieux valu que l’Islam triomphe. Cette religion récompense l’héroïsme, promet au guerrier les joies du Septième Ciel… Animé d’un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le christianisme. » Hitler aurait voulu reprendre, au XXe siècle, la politique de Frédéric II avec le monde musulman; parmi les obstacles qui empêchèrent la réalisation d’un tel dessein, il y eut l’alliance avec l’Italie, laquelle était, malgré tout, une puissance coloniale asservissant des populations musulmanes. A ce propos, cherchant à comprendre les motifs de son échec, Hitler affirmait en février 1945 : « L’allié italien nous a mis des bâtons dans les roues presque partout. Par exemple il nous a empêché de conduire une politique révolutionnaire en Afrique du Nord, parce que nos amis musulmans soudain ont vu en nous les complices, volontaires ou involontaires, de leurs oppresseurs. Les souvenirs de la répression barbare à l’égard des Senoussis étaient toujours dans leur mémoire. Comme si ça ne suffisait pas, la prétention ridicule du Duce, d’être considéré comme “l’Épée de l’Islam”, était objet de moquerie. Ce titre, qui est dû à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l’est fait attribuer par certaines tristes figures soudoyées ou terrorisées par lui. Nous avions la possibilité de faire une politique de longue haleine à l’égard de l’Islam ; elle a été gâchée, comme du reste beaucoup de chose, que nous avons dû abandonner en raison de notre fidélité à notre alliance avec l’Italie. » …
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Stefano Fabei Peu de chercheurs ont abordé l’histoire des relations qui, après la Première Guerre mondiale, s’établirent entre les gouvernements italiens et allemands et quelques partisans des mouvements de libération arabes et islamiques du tiers-monde, en particulier ceux d’Afrique septentrionale et du Moyen-Orient. Dans le présent ouvrage, fruit d’un long travail d’enquête dans les archives de nombreux pays, se dessine un tableau inédit des étapes de la politique de collaboration qui se développa entre les puissances de l’Axe et les principaux interlocuteurs du nationalisme arabe, notamment en Palestine et en Irak. 468 p. |
Islam and the Reich
By Dr. Ataullah Bogdan Kopanski Ph.D.
FEW people realise the extent to which Muslims and non-Europeans were mobilised by Hitler’s Third Reich. The much-touted « racial theories » of the Reich, it seems, were not nearly as entrenched as many have been told. Hitler, Leon Degrelle, Alfred Rosenberg and many others had a great respect for other races, and sought to fight the British and French colonial hegemony in Asia and North Africa using a vast coalition of differing races and religions. Professor Kopanski is a well known authority on these movements, and The Barnes Review (USA) first published his work on this neglected topic.
Leon Degrelle, a famous SS Commander said « German racialism has been deliberately distorted. It never was anti-other race . . . National Socialist racialism was not against the other races, it was for its own race. It aimed at defending and improving its race and wished that all other races did the same for themselves. This was demonstrated when the Waffen SS enlarged its ranks to include 60,000 Islamic SS troops ».The parts played in this drama by Haj Muhammed Amin al-Hussein, (The Grand Mufti of Jerusalem), Rashid Ali Gilani of Iraq and many others are covered in the text.
pp.16
NS and Race
By Dr. A.J. Gregor
This serious look at the racial policies of the 3rd Reich explains how the vague ideas of Adolf Hitler in the early years of his political struggle developed in the 1930s into an exaggerated obsession with Nordicism. This occured quite separately and with the disapproval of many of the National Socialist leaders. By the late1930s a far more rational view became official policy. The entire history of these developments are explained by Dr Gregor.
What is important about this work is that it refutes the silly media and propaganda allegations by the court historians and demolishes all the lurid tales of « Blond beasts » and « Master races ».
Over 100 footnotes are provided giving references and sources.
pp.24
GRATUIT ICI
Anthony James Gregor – National Socialism and race
Anthony James Gregor – National Socialism and race
This serious look at the racial policies of the 3rd Reich explains how the vague ideas of Adolf Hitler in the early years of his political struggle developed in the 1930s into an exaggerated obsession with Nordicism. This occured quite separately and with the disapproval of many of the National Socialist leaders. By the late1930s a far more rational view became official policy. The entire history of these developments are explained by Dr Gregor. What is important about this work is that it refutes the silly media and propaganda allegations by the court historians and demolishes all the lurid tales of « Blond beasts » and « Master races ». Over 100 footnotes are provided giving references and sources.
Les étrangers de Franco
Avec ce livre novateur dans le domaine francophone, l’auteur, Sylvain Roussillon, examine les motivations, le parcours et l’action et dresse le bilan des quelque 179 068 étrangers qui rejoignirent le camp national au sein du Tercio de la Légion étrangère, de la Phalange, des Requetès carlistes, etc. Il figure même des pages 338 à 341 un remarquable tableau consacré à leur répartition précise.
Les « Brigades internationales » de Franco est à faire impérativement lire aux jeunes militants, aux lycéens, voire aux collégiens les plus mûrs, afin qu’ils comprennent toute la complexité de l’histoire au-delà des clichés habituels professés par des enseignants souvent ignares. Outre quelques mises au point qui rectifient des lieux communs (la propagande autour de Guernica cache la tragédie du Santuario de Nuestra Senora de la Cabeza et le massacre de 800 personnes par les « Rouges »), l’auteur rappelle quelques évidences. Ainsi les combattants étrangers de Franco étaient-ils des volontaires, y compris les Allemands et les Italiens. La Légion Condor, symbole de l’intervention germanique dans le conflit, joua principalement une fonction d’intendance. « Les troupes de l’armée d’Afrique franchirent le détroit de Gibraltar pratiquement sans l’aide des avions allemands. L’apport de cette légion fut en grande partie logistique et technique. Ses faibles pertes démontrent d’ailleurs qu’elle fut peu engagée militairement (p. 86). »
Assez méfiants envers ces volontaires en raison d’un sentiment national incandescent, « les Espagnols, quel que soit leur camp auquel ils aient appartenu, avaient davantage besoin de matériels et d’armements que d’hommes (p. 330) ». Les seuls à être vraiment acceptés furent les Regulares, les troupes indigènes recrutées au Maroc espagnol auxquelles s’ajoutèrent des militants nationalistes arabes et nord-africains. Ces musulmans s’élevaient contre le discours athée et anti-religieux du gouvernement du Front populaire. On y apprend que 80 Juifs combattirent aussi du côté national parce que l’irreligion de la gauche espagnole les insupportait !
Sylvain Roussillon ne cache pas les dissensions entre ces volontaires étrangers et les autorités franquistes. Face à l’Italie mussolinienne qui projette d’annexer les Baléares et de coloniser l’Espagne, « il semble même que dans certaines unités nationalistes certains officiers nationalistes aient fêté la bataille de Guadalajara comme… une victoire espagnole sur des troupes étrangères !… (pp. 104 – 105) », les Républicains repoussant les Italiens du Corpo di truppe volontarie.
On rencontre dans les armées de Franco des Russes blancs qui poursuivent leur croisade contre le communisme, des nationalistes ukrainiens, des Asiatiques, des Sud-Américains… Les Roumains de la Garde de fer de Codreanu ne forment qu’une modeste délégation symbolique mais dont l’impact en Roumanie sera spectaculaire grâce à une formidable mise en scène funèbre… Régulièrement, Roussillon est contraint de faire des digressions significatives pour évoquer l’histoire particulière de l’engagement nationaliste. En démystifiant les Viriatos, il explique la situation du Portugal sous Salazar qui entend se débarrasser de l’intégralisme lusitanien. On retrouve une démarche similaire chez Vargas confronté à l’intégralisme brésilien. D’où proviennent les 798 Irlandais « Chemises bleues » d’Eoin O’Duffy partis pour l’Hispanie ? L’auteur y répond en mentionnant les suites des « Pâques sanglantes » de 1916 et la guerre civile de 1921. Il remarque d’ailleurs que « 24 de ces volontaires viennent d’Ulster et que l’un d’entre eux, preuve de l’extrême hétérogénéité de ce continent, sort des rangs des forces de l’ordre unionistes et protestantes de la Royal Ulster Constabulary (R.U.C.) (p. 177) ». Il n’oublie pas de signaler la grande efficacité du groupe de pression irlandais avec Joseph Kennedy auprès du Congrès des États-Unis qui maintint l’embargo sur les armes en destination de l’Espagne républicaine.
Sylvain Roussillon étudie enfin la fameuse Bandera Jeanne d’Arc et en déconstruit le mythe. Il relate les dissensions permanentes au-delà des Pyrénées entre les membres de l’Action française, des Croix-de-Feu, de la Cagoule, etc., d’où une certaine inefficacité militaire… C’est aussi l’occasion pour lui d’évoquer quelques figures. Il en profite pour récuser tout déterminisme politique avec les événements ultérieurs dont la Seconde Guerre mondiale. Si le Britannique John Amery créa en 1943 la Waffen S.S. British Free Corps, deux anciens brigadistes internationaux issus de l’I.R.A., Frank Ryan et Sean Russell, travaillèrent – eux – pour l’Abwehr ! A contrario, les Français des forces carlistes, Michel de Camaret et Auguste-Pierre Combe, se retrouveront ensuite dans la Résistance et la France libre ! Le Camelot du Roi Luc Robert estime, lui, que « son engagement aux côtés des Nationaux espagnols contre le communisme, puis dans la Résistance contre les nazis, relevait de la même logique, celle d’un homme engagé contre la barbarie, d’où qu’elle vienne (p. 252) ».
L’auteur s’intéresse aussi au Sud-Africain Roy Campbell qui se convertit au catholicisme et lutta aux côtés des carlistes de Séville avant de servir Sa Gracieuse Majesté contre le Reich entre 1940 et 1945. « En octobre 1944, Campbell fait la connaissance de C.S. Lewis [auteur de la série Le monde de Narnia – N.D.L.R.] et J.R.R. Tolkien. Le futur auteur du Seigneur des Anneaux, qui avait lui aussi pris parti pour les Nationaux lors de la guerre civile, est enthousiasmé par cette rencontre au point que l’on peut même se demander si la personnalité de Roy Campbell n’a pas en partie inspiré Tolkien pour le personnage d’Aragorn, comme en témoigne une lettre envoyée au lendemain de ce dîner à Christopher Tolkien par son père (p. 199) ». Le plus surprenant des destins est peut-être celui d’Egbert von Frankenberg und Proschlitz. Après 1945, il vivra en R.D.A., co-fondera le N.D.P.D., le Parti national-démocratique d’Allemagne nationaliste, et instruira la jeune armée est-allemande. « L’ironie de l’histoire voudra qu’il côtoie, au sein de la Nationale Volksarmee, d’autres anciens d’Espagne, engagés eux dans les Brigades internationaux (p. 80). »
L’ouvrage de Sylvain Roussillon ne tombe ni dans le manichéisme grotesque, ni dans le moralisme de pacotille; il apporte au contraire une somme de renseignements ignorés. C’est fort heureux !
Georges Feltin-Tracol http://www.europemaxima.com/
• Sylvain Roussillon, Les « Brigades internationales » de Franco. Les volontaires étrangers du côté national, préface de Pascal Le Pautremat, Via Romana, Versailles, 2012, 362 p., 24 €.
PDF – Race and the Third Reich: Linguistics, Racial Anthropology and Genetics in the Dialectic of Volk, by Christopher Hutton
Race and the Third Reich aims to set out the key concepts, debates and controversies that marked the academic study of race in Nazi Germany. It looks in particular at the discipline of racial anthropology and its relationship to linguistics and human biology.
Christopher Hutton identifies the central figures involved in the study of race during the Nazi regime, and traces continuities and discontinuities between Nazism and the study of human diversity in the Western tradition. Whilst Nazi race theory is commonly associated with the idea of a superior « Aryan race » and with the idealization of the Nordic ideal of blond hair, blue eyes and a « long-skull », Nazi race theorists, in common with their colleagues outside Germany, without exception denied the existence of an Aryan race. After 1935 official publications were at pains to stress that the term « Aryan » belonged to linguistics and was not a racial category at all. Under the influence of Mendelian genetics, racial anthropologists concluded that there was no necessary link between ideal physical appearance and ideal racial character. In the course of the Third Reich, racial anthropology was marginalized in favour of the rising science of human genetics. However, racial anthropologists played a key role in the crimes of the Nazi state by defining Jews and others as racial outsiders to be excluded at all costs from the body of the German Volk.
Anyone studying the Third Reich or who is interested in race theory will find this a fascinating, informative and accessible study.
Read it on GOOGLE BOOKS

The Enemy of My Enemy: The Alarming Convergence
of Militant Islam and the Extreme Right, George Michael
Voir aussi:Le site de Radio Islam
LE TESTAMENT POLITIQUE DE HITLER
(Préfacé par François Genoud.)
L’islam et le mouvement national par Christian Bouchet

Je n’invente rien. Lisez par vous-mêmes:
Le révisionniste anti-judaïque Michael Hoffman rapportait le mois dernier:
Dans une entrevue accordée le 21 dec 2010 à l’émission de radio-internet (Race and Reason) de l’universitaire croate Dr Tom Sunic, le professeur nationaliste blanc Kevin MacDonald du California State College à Long Beach, a appelé à une « alliance » avec les israéliens d’ « extrême droite » pour l’expulsion des Palestiniens de la Palestine, en échange de l’expulsion des musulmans d’Europe. Ce qui suit sont des retranscriptions d’extraits de l’émission:
Prof. Kevin M. MacDonald:
« … Des gens comme (le Hollandais) Geert Wilders sont le prototype de ce type de politicien … Ouais, ils sont très pro-sioniste et ils ne sont pas seulement pro-sioniste, ils sont en faveur du segment de la droite la plus radicale de l’échiquier politique israélien, donc on parle du mouvement des colons, ce genre de radicaux ethno-nationalistes, et, bien sûr, ce qu’ils ont en commun c’est d’être très critiques envers l’Islam. En fait, de mon point de vue je ne leur souhaite que du bien. S’ils réussissent à bâtir des partis politiques qui sont opposés à l’immigration musulmane et sont opposés à ce que la culture musulmane devienne un courant central en Europe, je crois que c’est tout pour le mieux.
… les déclarations de Wilders sur l’Islam sont exacts et visent droit dans le mille… Je pense qu’il fait un très bon travail …
« … Ce qu’ils veulent, en Israël est cette société d’apartheid, cette société raciste … Il y a une tension croissante. L’Israélien est délégitimé partout dans le monde … Il y a cet élément d’extrême droite en Israël qui veut faire des alliances avec des gens qui ont des idées similaires en Europe ou ailleurs. Euh, ils peuvent trouver ce terrain d’entente. C’est un bon développement en fin de compte …
« … Si nous pouvions obtenir l’expulsion des musulmans hors d’Europe en échange du fait qu’Israël puisse survivre en expulsant les Palestiniens vers la Jordanie, je scellerais ce pacte en un clin d’oeil… »
Dr Sunic: « Excellent Eh bien, Kevin, j’ai toujours plaisir à parler de vous …. »
[fin de citation]
(TRADUCTION APPROX.–LIRE L’ORIGINAL EN ANGLAIS SUR LE BLOG REVISIONIST REVIEW)
Adolf Hitler (28 août 1942, Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, vol. 2, 1954, p.297.):
« La civilisation a été un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. La même chose se produisit en Espagne sous la domination des arabes. La civilisation y atteint un niveau rarement atteint: en Espagne ont déferlé les plus grands scientifiques, penseurs, astronomes et mathématiciens au monde. Une époque, indiscutablement, d’humanisme intégral, dans laquelle régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme y a apporté le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en effet un héritage des Arabes ». « Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était déjà condamné à l’influence judaïque (et son sous-produit le christianisme est une chose si insipide !),il aurait mieux valu que l’islam triomphe. Cette religion récompense l’héroïsme, promet au guerrier les joies du septième ciel… Animé d’un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le christianisme.».A quote from Adolf Hitler, 28 August 1942 [p. 667 Hitler’s Table Talk; 1941-1944 translated by N. Cameron and R.H. Stevens, Enigma Books (1953)]
« Only in the Roman Empire and in Spain under Muslim domination has culture been a potent factor. Under the Muslims, the standard attained was wholly admirable; to Spain flocked the greatest scientists, thinkers, astronomers, and mathematicians of the world, and side by side there flourished a spirit of sweet human tolerance and a sense of purist chivalry. Then with the advent of Christianity, came the barbarians. Had Charles Martel not been victorious at Poitiers—already you see the world had already fallen into the hands of the Jews, so gutless a thing Christianity!—then we should in all probability have been converted to Mohammedanism, that cult which glorifies the heroism and which opens up the seventh Heaven to the bold warrior alone. Then the Germanic races would have conquered the world. Christianity alone prevented them from doing so. »Cela semble confirmé par Albert Speer (Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138) qui rapporte des propos tenus par Hitler au cours d’une discussions:« Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n’avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante. »
A quote from Albert Speer (1905-1981), Nazi Germany’s Minister for Armaments 1942-45, Inside the Third Reich, chapter 6
Hitler had been much impressed by a scrap of history he had learned from a delegation of distinguished Arabs. When the Mohammedans had attempted to penetrate beyond France into Central Europe during the eighth century, his visitors had told him, they had been driven back at the Battle of Tours. Had the Arabs won this battle, the world would be Mohammedan today. For theirs was a religion that believed in spreading the faith by the sword and subjugating all nations to that faith. The Germanic peoples would have become heirs to that religion. Such a creed was perfectly suited to the Germanic temperament. Hitler said that the conquering Arabs, because of their racial inferiority, would in the long run have been unable to contend with the harsher climate and conditions of the country. They could not have kept down the more vigorous natives, so that ultimately not Arabs but Islamized Germans could have stood at the head of this Mohammedan Empire.
Hitler usually concluded this historical speculation by remarking « You see, it’s been our misfortune to have the wrong religion. Why didn’t we have the religion of the Japansese, who regard sacrifice for the Fatherland as the highest good? The Mohammedan religion too would have been much more compatible to us than Christianity. Why did it have to be Christianity with its meekness and flabbiness? »
Heinrich Himmler, 1943:
« Je n’ai rien contre l’islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »
On a parfois présenté Mussolini comme « l’épée de l’islam ». Pourriez-vous nous expliquer de quoi il s’agit ?
Cela correspond à la troisième phase de la politique arabo-musulmane du fascisme, celle relative à la seconde moitié des années trente, les années de l’Axe. La veille de la signature de l’alliance italo-allemande, le 24 octobre 1936, Hitler déclara à Galeazzo Ciano, ministre des Affaires étrangère du Duce, que la mer Méditerranée était une mer italienne et que n’importe quelle modification future dans l’équilibre de la Méditerranée ne devrait se faire qu’en faveur de l’Italie, tandis que l’Allemagne aurait toute liberté d’action vers l’Est et vers la Baltique. (…) L’année suivante, le 18 mars 1937, le Duce, pendant son voyage triomphal en Libye, reçut le titre de « Épée de l’islam », devenant le protecteur des musulmans de Libye, d’Éthiopie – où il les avait libéré des vexations du Négus -, de Palestine et de tous les autres pays de la Méditerranée. Faisant abstraction des relations économiques et commerciales existantes entre le monde arabe et l’Italie fasciste, la politique moyen-orientale et la question arabe devinrent alors un argument de propagande dans la presse du régime.
(…) Du niveau des relations de Rome avec les anglais dépendit l’appui donné au nationalisme arabe et aux mouvements de libération du Moyen-Orient.
L’Italie fasciste soutint la résistance palestinienne… Cela contredit ce que prétend la gauche internationaliste qui affirme avoir été la première à apporter son soutien à la cause palestinienne.
Il faut le dire, l’Italie fut le premier État européen à soutenir d’une manière concrète la lutte de libération du peuple palestinien contre le mandat britannique et le projet sioniste en Terre Sainte.
Entre le 10 septembre 1936 et le 15 juin 1938, l’Italie remit au Grand Mufti de Jérusalem, qui dirigeait la révolte du peuple palestinien contre les forces militaires de la Grande Bretagne et contre l’immigration juive, environ 138000 livres sterling, une somme non négligeable pour cette époque, qui correspond environ à 10 millions d’euros. Cette contribution financière fut décidée par le Duce lui-même au lendemain de la guerre d’Éthiopie, non seulement pour « ennuyer les Anglais », mais aussi en souvenir des positions anticolonialistes qu’il avait eu dans sa jeunesse quand il était socialiste révolutionnaire et de celles du premier fascisme. En plus de l’argent le ministère des Affaires étrangères décida d’envoyer aux mujâhidin palestinien une cargaison d’armes et de munitions.(…)
Le Nazisme et l’islam
Claudio Mutti
Je n’ai pas pour but de m’occuper des orientations spirituelles d’Hitler et de sa position vis-à-vis de la religion ; je me limite seulement à dire avec Léon Degrelle [le fondateur du Rex belge], que « contrairement à tout ce qu’on a pu raconter, Hitler n’était pas du tout un païen » et nous renverrons le lecteur aux nombreuses pages de Bormmann-Vermerke dans lesquelles le Führer manifestait à un cercle restreint d’intime sa conception du divin.
FIN
Une lettre de Boris Le Lay explique très bien les relations entre musulmans et nazis:
L’association Breizh-Israël est très active en ce moment. Son président vient d’envoyer une lettre au Maire de Carhaix, ville qui accueille le festival des Vieilles Charrues:
Lettre adressée au Conseil municipal de la ville de Carhaix, 29270 Finistère Centre, suite aux diverses manifestations pro palestiniennes. Elle a été expédiée aux 28 conseillers municipaux, individuellement et sera lue au cosneil municipal le lundi 26 Juin.
L’association entend vous communiquer les répercutions de cette action. Le président s’est mis en raltion avec l’opposition divers droite pour qu’elle agisse « dans le bon sens » vis à vis du maire.
Rosporden le 23 Juin 2006
A : Monsieur Christian Troadec
De : Monsieur Boris Le Lay
Objet : imposture pro-palestinienne
Ci joint: élément photographique figurant Amin Al Husseini, grand père de Leila Shahid, rencontrant officiellement Adolf Hitler
Cher Monsieur,
Depuis maintenant un certain nombre d’années vous participez en tant qu’élu à toutes sortes de manifestations en faveur de la Palestine. En tant que Porte-Parole de l’association loi 1901 « Breizh Israël », je tiens à vous faire part de notre mécontentement.En tant qu’individu, vous êtes parfaitement libre de vous enticher de telle ou telle cause, tel ou tel sujet. En tant qu’élu, votre comportement fait office d’exemple. Vous n’êtes, une fois élu, plus un élu de gauche ou de droite, malgré vos amitiés politiques, mais le premier magistrat de tous les carhaisiens. Malgré cela vous avez supporté activement tout un attelage mêlant extrémistes de gauche, antisionistes et pour certains, des antisémites rabiques associant tous les fantasmes qui amalgament à tout va USA, « impérialisme américain » et capitalisme ou « ultra libéralisme » dans la vulgate néo-gauchiste, intrinsèquement lié au « Juif », personnage cumulant toutes les « tares de l’occident » et dont l’incarnation est l’état d’Israël.Parmi la nébuleuse marxiste et antisioniste pour ne pas dire plus, qui gravite autour de votre commune, on retrouve Piero Rainero, président de France Palestine Solidarité pour la Bretagne. Cette fusion entre gauchisme, post marxisme et anti-sionisme est une vieille constante historique que l’on retrouve très fréquemment. Nous notons que vous avez reçu Madame Leila Shahid, petite fille du Grand Mufti de Jérusalem, Al Husseini, grand ami d’Himmler et d’Hitler (pour vous en convaincre, ci joint des pièces photograhiques attestant de nos propos). Madame Shahid était également une amie intime de monsieur Yasser Arafat. Yasser Arafat et Leila Shahid ont pour commun dénominateur le Grand Mufti qui s’allia aux nazis dont voici une petite synthèse historique :Le rapprochement culmine pendant la guerre, avec la création au printemps 1943 de la première division des Waffen-SS musulmane bosniaque (Handzar), qui compte plus de 12 000 hommes. Le Mufti, installé à Berlin en 1941, passera en revue cette unité à de nombreuses reprises en Croatie, en France et à Bneuhammer, en Silésie. La division Handzar se rendra tristement célèbre, en perpétrant de nombreux crimes de guerre en Yougoslavie : massacres, viols, pillages, et incendies de villages entiers avec leurs habitants. Selon l’historienne Bat Ye’or, ses atrocités « choquèrent même les Allemands. Femmes, enfants, vieillards furent tués à coups de hache, empalés, enterrés vivants, suspendus à des crocs de boucherie, ensevelis dans des fosses sous la chaux vive après avoir été sauvagement mutilés ( 1 )».De son côté, Hajj Amin Al Husseini publiera un pamphlet antisémite intitulé Islam und Judentum (« Islam et judaïsme ») et le distribuera aux soldats de la division Handzar. Le 28 novembre 1941 a lieu la rencontre tant attendue par Al Husseini, préparée par des entretiens préliminaires avec le dirigeant SS Himmler et le ministre des Affaires étrangères von Ribbentrop. La transcription de la conversation entre Husseini et Hitler a été publiée après la guerre.Le grand Mufti commence par remercier le Führer pour la sympathie dont il a toujours fait preuve envers le monde arabe, et envers la cause palestinienne en particulier… Les pays arabes sont fermement convaincus que l’Allemagne va gagner la guerre. Les Arabes sont les « alliés naturels de l’Allemagne », ayant les mêmes ennemis que cette dernière, à savoir les Anglais et les Juifs… Ils sont donc « disposés à coopérer ».Dans sa réponse, Hitler témoigne sa sympathie au Mufti, mais refuse d’engager des troupes allemandes supplémentaires au Moyen-Orient, pour renforcer l’Afrika Korps de Rommel. Toutefois, il promet à Husseini, « qu’une fois que la guerre contre la Russie et l’Angleterre sera gagnée, l’Allemagne pourra se concentrer sur l’objectif de détruire l’élément juif demeurant dans la sphère arabe sous la protection britannique (2)». Après cette entrevue, le Mufti restera l’hôte de l’Allemagne, participant à la propagande nazie à travers les programmes de Radio Berlin à destination des pays arabes. Dans ses émissions, il incite les Arabes à « tuer les juifs » et fait l’éloge de la « solution finale ». « Si, à Dieu ne plaise, l’Angleterre était victorieuse, les juifs domineraient le monde», déclare-t-il ainsi le 11 novembre 1942. «Mais si l’Angleterre et ses alliés sont vaincus, la question juive, qui constitue pour nous le plus grand danger, sera définitivement résolue. »Obnubilé par la « question juive », Al Husseini intervient à plusieurs reprises pour mettre en échec des projets visant à échanger des juifs contre des prisonniers ou de l’argent. Lorsque Adolf Eichmann envisage d’échanger des prisonniers de guerre allemands contre cinq mille enfants juifs, et d’envoyer ces derniers en Palestine, avec l’accord du gouvernement anglais, Husseini proteste personnellement et obtient finalement gain de cause : les enfants juifs seront exterminés dans les chambres à gaz en Pologne (3).Le Mufti a développé une activité intense pendant la guerre, pour empêcher que des rescapés juifs ne parviennent en Palestine, alors même que les artisans de la Solution finale étaient prêts à sauver des enfants juifs, contre de l’argent ou contre des prisonniers de guerre. Contrairement à ce qui a parfois été soutenu (4), il ne fait aucun doute que le Mufti était parfaitement informé de la politique d’extermination des juifs, et qu’il l’approuvait sans réserve. Ceci ressort notamment des relations suivies qu’il a entretenues avec plusieurs dirigeants nazis, parmi lesquels Heinrich Himmler, von Ribbentrop et Adolf Eichmann, pour lequel Al Husseini éprouvait une admiration sans borne. Dans son journal intime, il qualifie ainsi ce dernier de «joyau sans prix» et de « plus grand ami des Arabes».Les contacts entre Al Husseini et Eichmann sont apparus au grand jour lors du procès d’Eichmann, qui s’est tenu à Jérusalem en 1961. Lors de ce procès, le procureur général Gideon Hausner a produit des documents établissant que le Mufti avait été reçu au début 1942 par Adolf Eichmann, qui lui avait fait un exposé sur la « solution finale ». « Le Mufti fut si fortement impressionné qu’il demanda aussitôt à Himmler de désigner quelqu’un de l’équipe d’Eichmann en tant que son conseiller personnel, pour l’aider à résoudre définitivement la question juive en Palestine, une fois qu’il serait réinstallé dans ses fonctions par la victoire de l’Axe. Eichmann accepta cette offre (5) ». Selon un témoin du procès de Nuremberg, le Mufti aurait même rendu visite personnellement à Adolf Eichmann à l’intérieur du camp d’extermination d’Auschwitz, et « incité les gardes faisant fonctionner les chambres à gaz à travailler avec plus d’ardeur (6)».Yasser Arafat (de son vrai nom Rahman Abdul Rauf al Qudwa al Husseini) ayant vécu adolescent chez le mufti se considérait comme son fils spirituel et le qualifiait encore en 2002 de « héros de la cause palestinienne ». Ainsi dans le quotidien en langue arabe de Londres, le « Al Sharq Al Awsat » il affirme ce qui sera repris par le quotidien « Al Quds » le 2 août 2002 : « Nous ne sommes pas l’Afghanistan. Nous sommes le Grand Peuple, ont ils réussi à remplacer notre héro Hajj Amin Al Husseini ? ». Il n’est pas inutile de savoir qu’en 1944, après avoir visiter Auschwitz, le Grand Mufti Al Husseini déclarait : « J’irai le cœur léger dans ma tombe sachant que 5 millions de Juifs ont été tués».Parmi ses autres exploits, Yasser Arafat envoie le 2 Avril 1969, deux représentants du FATAH à Barcelone lors du congrès de l’internationale nazie pour obtenir de l’armement et des financements. Il obtiendra l’envoie de conseillers militaires dont Ali Bella, alias Eich Altern, ancien responsable des Affaires Juives de la Gestapo pour la Galicie (région de Pologne ou des centaines de milliers de Juifs ont été exterminés). Qui plus est en 2004, Yasser Arafat ne reniait pas son appartenance à l’organisation dénommée « Frères Musulmans ».Leila Shahid, ancien Porte Parole de l’autorité palestinienne en France et reçue par vous récemment déclarait suite à la parution de son livre, dont vous avez supporté la publicité et dans lequel elle reconnaissait être la petite fille du Grand Mufti de Jérusalem : « Si le Mufti avait été un criminel, il aurait été condamné ». Nous vous laissons seul juge de pareils propos négationnistes. Elle oublie de préciser que les Britanniques ont voulu le faire comparaître devant le tribunal de Nuremberg, mais qu’il fut exfiltré par les Français sur ordre de De Gaulle dans le cadre de sa politique étrangère pro-arabe.L’autorité palestinienne que vous défendez possède une télévision publique, celle là même que vous souhaitez voir financer par les impôts européens. On peut y entendre le 10 septembre 2004 : « Le Prophète a dit : la résurrection n’aura pas lieu tant que les musulmans ne combattent pas et tuent les juifs. ».Ainsi monsieur le Maire, vous avez fait et continuez de faire la promotion de représentants notoirement antisémites comme le prouvent les éléments que nous vous soumettons. Qui plus est s’est déroulé sur votre commune le 10 Juin 2006 un « repas palestinien » avec Olivier Besancenot, Porte Parole de la Ligue Communiste Révolutionnaire dont le passif est assez éloquent et dont nous allons brièvement vous rappeler certains hauts faits.La LCR s’affiche en 2004 au Forum Social de Londres au coté du parti politique trotskiste anglais le « Socialist Workers Party ». Ces derniers ont inspiré l’événement et ont invité notamment Tariq Ramadan, Frère Musulman, tel Yasser Arafat, et lui aussi petit fils d’un fanatique tristement célèbre, Hassan Al Bannah fondateur de la dite secte intégriste des « Frères Musulmans ». Le SWP anime une liste électorale, « Respect » ou se côtoient militants d’extrême gauche et Frères Musulmans. Les responsables de la LCR s’affichaient donc aux cotés d’un certain député, George Galloway, chassé du Labour car trop extrémiste, qui commence chacun de ses discours par un vibrant « Salam Aleikum ». Egalement présente, Salma Yaqoob, islamiste radicale qui n’hésite pas à expliquer que la lutte contre le terrorisme est une guerre « raciste », « islamophobe ». Les victimes espagnoles, américaines, irakiennes, indonésiennes, indiennes et anglaises des attentats à la bombe apprécieront. Nous attendons toujours de voir en quoi la pratique d’une religion a un rapport quelconque avec une appartenance raciale, donc physique et non spirituelle.La JCR suit le même chemin et la collaboration avec l’islamisme est désormais à l’ordre du jour comme le prouve leur Webmaster, Yaris Papathéodorou, qui en plus du site de la LCR, anime d’autres sites pro-islamistes amalgamant tout refus du port du voile dans l’espace public comme « raciste et islamophobe ». Besancenot figurait aux cotés de Salma Yaqoob et de Galloway à ce fameux forum ou lors du discours, on compara Falloujah à « Stalingrad » ou Bush était sensé incarner un nouvel Hitler !Ce maelström dans lequel vous vous débattez, Monsieur Christian Troadec, peut encore être illustré par la prise de position d’un des leaders du mouvement « altermondialiste », le philippin Walden Bello qui expliqua à Beyrouth qu’il ne fallait pas faire la fine bouche face aux méthodes des kamikazes palestiniens et irakiens compte tenu que les USA et les israéliens étaient « l’incarnation de l’empire du sang, de la terreur et de la cupidité».A cela s’ajoute les initiatives de vos amis politiques dans la région nantaise et qui vise au boycott des produits israéliens. Je vous rappelle que nuire à une personne en raison de son appartenance, raciale, ethnique ou nationale est ce que l’on nomme du « racisme ». Vouloir nuire à l’ensemble des israéliens parce qu’israéliens s’apparente à cette définition. Parmi les instigateurs :« Association France Palestine Solidarité – Pays de Loire Gaza Jérusalem – Club des Palestiniens de Nantes – Ligue des Droits de l’Homme 44 -GASPROM, Association Islamique de l’ouest de la France – Association culturelle Musulmane de Nantes Nord – Agir contre le Chômage, Les Alternatifs, Ligue Communiste Révolutionnaire, Union Démocratique Bretonne(UDB) ».Pourquoi ne pas boycotter les produits palestiniens puisque la population de ce pays a porté au pouvoir des fanatiques islamistes issu du HAMAS qui visent officiellement à détruire l’état d’Israël ? Ne sentez vous pas là comme une incohérence ou un « deux poids, deux mesures » ?En soutenant la mouvance rouge/verte, vous prenez un chemin dangereux, dangereux pour vous et votre réputation. Soit vous agissez en conscience et vous faites le partenaire de l’antisémitisme virulent et alors vous devrez en assumez toutes les conséquences morales, soit il s’agit d’un péché par ignorance et alors votre position pourra évoluer. En tant que Porte Parole de l’association « Breizh Israël », je tiens à vous informer que pas un de vos administrés ne sera pas au courant des choses exposées dans cette lettre (qui ne représente qu’une infime partie de la réalité), de votre engagement –peut être malheureux des suites d’un manque de connaissances historiques- aux cotés d’antisémites notoires et de fanatiques pro-islamistes.Nous interpellons solennellement le conseil municipal de Carhaix pour que la vérité historique soit de rigueur sur les agissements conjoints de l’extrême gauche et de l’arabo-islamisme radical parrainer jusqu’à lors officiellement par le maire de Carhaix. Nous sommes convaincus qu’un débat sur le bien fondé des menées pro palestiniennes s’ouvrira et que les conseillers prendront toute la mesure de l’enjeu ici présenté et qu’ils appelleront à ce que ce genre de dérives graves prennent un terme.Monsieur Le Lay, Président de l’association « Breizh-Israël »Annexes et Sources1. Bat Ye’or, Juifs et chrétiens sous l’islam. Les Dhimmis face au défi intégriste, Berg international, 1994, pp. 209-210.2. Cité par K. Timmerman, op. cit., p. 109.3. Cet épisode est relaté par Paul Longrear et Raymond McNemar, « The Arab/muslim nazi Connection», cité dans K. Timmerman, op. cit., p. 110.4. Ainsi, Henry Laurens écrit que « l’arrivée [du Mufti] en Allemagne coïncide avec le début de la solution finale et jusqu’ici on n’a pas trouvé de preuves archivistiques démontrant qu’il ait eu connaissance de ce qui se passait alors » (Le Retour des exilés, la lutte pour la Palestine de 1869 à 1997, Robert Laffont, 1998, p. 560).5. Gideon Hausner, Justice à Jérusalem, Flammarion, 1976.6. Cette accusation a été formulée par un des adjoints d’Eichmann, Dicter Wisliceny, lors de son procès à Nuremberg. Voir B. Lewis, Sémites et antisémites, p. 200.7. Nouvel Observateur, article « Les gauchistes d’Allah »Deux peuples, deux terres, mais un partage de valeurs communes comme l’enracinement, la défense de valeurs spirituelles et l’attachement à l’identité de nos peuples respectifs.
http://www.dreuz.info/2012/06/quand-la-lutte-contre-lislamisation-se-teinte-dantisemitisme-et-brouille-les-pistes/
je suis cité dans cet article (JPG : pour être exact, Le Gall est cité dans un commentaire dont la responsabilité revient à son auteur). On reprend et exagère mes propos tenus à Madame Tasin samedi dernier, avant l’agression des musulmans. (JPG : pour être encore plus exact, c’est riposte laïque, dans un compte rendu de cette réunion, qui affirme ce que notre commentateur a repris)
Et par un fabuleux tour de magie, on en arrive à une fabuleuse déduction: nous serions antisémites. rien de moins. c’est quand même un peu fort. cela relève de la diffamation.
Le site Breiz Atao, géré par un seul et unique individu (Boris Le Lay) n’a ABSOLUMENT rien à voir avec Adsav, le parti que je représente ou le mouvement Jeune Bretagne.
Cordialement, Ronan Le Gall
Le communiqué qui suit a été largement répandu auprès de la presse ces derniers jours. Une rapide enquête a permis d’établir que ses auteurs peuvent être considérés comme des proches du mouvement Adsav qui représente en Bretagne l’extrême-droite identitaire et nationale-sioniste (il y a quelques années, un dirigeant de ce groupuscule avait été poursuivi pour racisme après avoir diffusé un texte anti-palestinien outrancièrement excessif).
“BREIZH ISRAËL est née
Suite aux évolutions géopolitiques globales, une initiative heureuse vient de voir le jour avec la création de l’association « Breizh Israël ». Cette association entend mener une action de fond, s’inscrivant dans la durée en Bretagne pour un rapprochement entre nos deux peuples.
Face à la montée de l’islamisme en Bretagne (récente expulsion d’un imam à Brest), aux actions menées par des associations telles « France Palestine Solidarité » ou encore de groupes diffus proches de la mouvance dieudonniste, nous avons décidé de réagir et de pointer du doigt la collusion entre les éléments anti-bretons et anti-juifs. Nous notons également une fusions selon le principe de l’alliance objective entre la gauche radicale et l’arabisme via la lutte très médiatiquement correcte du « peuple palestinien ». Ceci aboutit à la plus grande confusion qui créé dans les esprits un amalgame malheureux qui voudrait que le peuple palestinien devrait par nécessité recevoir le soutien du peuple breton. La société française suit les inclinaisons qui lui sied, en revanche en Breizh (bretagne) cette dérive philo palestinienne au profit de la gauche ultra radicale et de l’islamisme ou de l’arabisme ne saura être tolérée.
Cette agitation-propagande revêt divers aspects dont la diffusion de tracts appelant au boycott des produits israéliens, mesure aussi arbitraire qu’infâme compte tenu du fait qu’on ne saurait réduire les israéliens à un seul état d’esprit politique qui justifierait de sanctionner collectivement leur économie. Nous citons ici certains éléments participants à cette action en Loire Atlantique :
Association France Palestine Solidarité – Pays de Loire Gaza Jérusalem – Club des Palestiniens de Nantes – Ligue des Droits de l’Homme 44 -GASPROM, Association Islamique de l’ouest de la France – Association culturelle Musulmane de Nantes Nord – Agir contre le Chômage, Les Alternatifs, Ligue Communiste Révolutionnaire, Union Démocratique Bretonne(UDB)
Notre association entend donc développer un partenariat entre communauté juive de Breizh (Bretagne), de France mais aussi avec Israël. Cela passera par une résistance déterminée aux éléments de la mouvance anarchiste, gauchiste, vert/rouges, radicaux de gauche, de partis politiques tels l’UDB, le PCF, la LCR, appuyée ponctuellement par la JCR et autres associations d’agitation.
Partant du postulat que la logique massificatrice et auto destructrice prônée par la mouvance d’extrême gauche ou de « l’autre-mondialisme » (« altermondialisme ») est explicitement hostile à tout redressement national breton, partant du postulat que ces éléments sont également hostiles à tout redressement national juif, partant du postulat qu’elle fait le jeu des éléments de substitution ethno-culturels arabo-musulmans, partant du postulat qu’en Breizh (Bretagne) il ne saurait y avoir qu’une seule et unique règle, la règle bretonne, partant du postulat qu l’Europe n’a vocation qu’à être judéo-chrétienne, nous annonçons donc notre entrée sur le terrain de l’action.
Selon la logique mise en œuvre par la gauche radicale qui vise à l’alliance objective avec les éléments arabistes, islamistes pseudo-modérés, et africanistes de tous ordres, afin de réaliser leur sa pulsion suicidaire, les bretons entendent donc répondre par une étroite collaboration avec le peuple juif, pour la défense du combat israélien, pour la survie de l’état hébreux, étant attendu que les bretons sont en droit de réclamer pour eux mêmes comme pour les juifs un état national fort.
Qui plus est, partant du constat que les ennemis de cause juive sont les mêmes que les ennemis de cause bretonne, notre action se justifie pleinement.
Notre association se dotera d’ici à quelques semaines d’un site internet.
Le Bureau de l’association comporte 5 membres donc un président, un vice-président, un secrétaire général, un trésorier et un porte parole.
Pour le Bureau de l’association « Breizh Israël », Kevin Ar Meur, Porte Parole.
COMMUNIQUE DE BREIZH-ISRAEL
lundi 14 août 2006.
Breizh Israel rend hommage a l’etat hebreu pour son courage et sa determination
Optique bretonne et europeenne
L’operation israelienne menee avec vigueur par Tsahal en territoire libanais a permis d’amoindrir de maniere significative l’intolerable presence des milices islamistes appuyees , sinon commandees, par Teheran. Cette operation qui precede l’attaque de l’Iran par l’alliance occidentale dans les prochains mois, dans une optique similaire de neutralisation preventive de la menace en vue d’aneantir les potentialites nucleaires du regime islamo-totalitaire iranien, est donc un succes tactique. Desormais il sera difficile pour Teheran de s’aventurer dans une ouverture de second front au nord d’Israel sans une base solide pour d’eventuelles attaques terroristes d’autant que l’ONU et ses grands inquisiteurs ne pourraient plus restes l’arme au pied sans reagir face a de possibles incursions terroristes en Sud Liban.
L’Europe croupion, l’Europe turque s’est contente de tirer sur l’etat hebreu grace a ses medias aux ordres dans ce qui fut une mise en scene aussi affligeante que maladroite pour discrediter Israel dans sa lutte contre la terreur. Malgre ce concert absurde ou derriere les discours humanitaires se cachaient le cynisme et la lachete des politiques europeens, il reste cependant des hommes et des femmes qui n’ont pas bu le calice du mensonge et de l’intoxication. Nombre d’europeens ont note le caractere partial et grotesque des conclusions mediatiques tirees a chaud, sans mise en perspective avec pour commun denominateur le recours a l’emotionnel contre le rationnel qu’induit la geopolitique. Que dire de la litanie des bilans de victimes soit disant civiles mais pourtant prevenues par l’armee israelienne par voie de tracts et dont on ne sait si elles sont effectivement innocentes compte tenu du fait que les combattants de guerillas ne portent aucun uniformes et qui plus est se cachent au sein de la dite population avec pour but le plus de degats collateraux susceptibles d’alimenter la propagande anti-israelienne.
Parmi ces europeens avertis et lucides, les patriotes bretons tiennent a signifier leur gratitude vis-à-vis d’Israel. Dans une optique nationaliste bretonne, la lutte engagee par l’etat hebreu s’apparente en tous points a la notre. La lutte israelienne de legitime defense face a l’avancee des masses musulmanes surexcitees contre l’occident rejoint le combat breton d’emancipation face a un etat francais pre-musulman. Victime de la meme opprobre de la part d’un establishment ultra corrompu, le plus avec la Belgique, le peuple breton et ses defenseurs ne peuvent que comprendre le sentiment d’injustice qui saisit la communaute juive de France face a la triste mais evidente alliance qu’a choisi de nouer le gouvernement republicain avec la sphere islamo-arabe. Le point de vue breton existe et doit penetrer la vision de chaque Juif europeen afin que ceux-ci sachent que l’avenir reside dans une nouvelle conjugaison de possibles dont les questions ethno-europeennes sont parties prenantes et dont la resolution aboutira a un changement radical dans les relations euro-israeliennes.
Israel a besoin de l’Europe, l’Europe a besoin d’Israel
Israel est la pierre precieuse du peuple juif, il est son temple. Cependant si pour son maintien les Juifs du monde entier regardent d’avantage vers les USA, a terme dans une optique de longue duree , Israel et l’Europe doivent nouer un dialogue devant aboutir a une indefectible alliance.
L’Europe a besoin d’Israel de par son modele de societe qui inspire le respect et la fascination dans la realisation de l’objectif sioniste. Celui-ci doit alimenter la pensee de chaque patriote europeen. La foi, l’abnegation et l’esprit de sacrifice ont nourri l’effort juif pour l’erection de l’etat d’Israel. Cet esprit doit etre le meme pour l’erection d’une Europe regeneree. En retour, Israel ne peut seulement nouer d’amitie durable avec les seuls USA. De par la proximite geographique, de par l’evident lien qui unit les Juifs et leur passe et present europeen, de par l’heritage commun evident, Israel devra compter sur l’Europe, a condition que celle-ci se debarrasse des elites qui trahissent l’ideal europeen et occidental par une politique de suicide incarnee par une immigration afro-islamique catastrophique, un esprit munichois intolerable avec l’integrisme t le soutien actif aux etats et groupes anti-occidentaux. Ce pacte audacieux ne pourra etre noue qu’apres la revolution interne a l’Europe et qui suppose une prise de conscience des enjeux demographiques, culturels et geopolitiques induits par la denatalite europeenne, l’islamisation progressive de l’Europe de l’Ouest et le nihilisme culturel produit du gauchisme a papa et du multiculturalisme delirant d’une micro elite enfermee dans sa tour d’ivoire.
Une victoire tactique, mais un defi strategique
L’action israelienne ne peut cependant etre pour les europeens et naturellement les bretons qu’une bonne nouvelle dans un environnement menacant. La France s’est contente, avec toute la mediocrite qui est desormais la sienne, d’aboyer sur un etat qui entend encore defendre sa substance, culturelle et spirituelle, tandis qu’elle-même tremble devant des bandes extra europeennes vetus de joggings et de casquettes et dont les actions sont pour l’heure encore du domaine du seul droit commun. Le defi est cependant entier car, pour Israel, une Europe paralysee par l’implantation musulmane massive supposerait d’ici a vingt ou trente ans un encerclement total. Pour les europeens Israel joue le role de sentinelle face a un monde arabo musulman qui globalement sera amenee a abattre chacun de ses regimes de type stato-national laic par des gouvernements revolutionnaires musulmans. D’ailleurs la paralysie amorcee par le discours pseudo pacifiste de Chirac et consorts a ete tres bien analyse par Abdelkarim Chankou, redacteur en chef du « detective marocain » qui lie le destin europeen a la question israelienne, decrivant en ces termes la situation du vieux continent : « D’autant que, il faut le dire, aucun pays européen, dans les mêmes conditions de combat, ne pourra tenir face au Hezbollah plus d’une semaine sans que le front intérieur ne s’ébranle comme un château de cartes. En fait, aucune armée européenne ne pourra s’attaquer à une milice islamiste sans que les communautés musulmanes et arabes établies dans les pays de cette armée ne se soulèvent et ouvrent un second front ».
Israel a donc la solidite pour tenir en echec un ocean de haine, mais la progression la plus terrifiante de l’ennemi est en Europe et ce n’est pas le republicanisme benet qui n’a plus guere de victoires a fete que celle de sa cinquieme colonne sportive qui pourra endiguer le bouleversement qui s’annonce. Entre un etat qui defend legitimement son peuple face a des egorgeurs fanatiques et une administration qui renie la moindre parcelle de droits a ses nations sans etat comme l’est la Bretagne et dont le climat insurrectionnel interne n’echappe a personne, les patriotes bretons ont fait leur choix et comptent pour amis et allies les israeliens et plus largement les Juifs du monde entier qui offre le plus bel exemple de ce que produit l’amour des siens et de sa Tradition nationale. Face a ce defi, Israel nous est un besoin evident et chacun de ses succes nous encourage a le soutenir et a s’inspirer de lui.
Pour le Bureau de Breizh Israel, Kevin Ar Meur, Porte Parole
Breizatao (Boris Le Lay) fev 2011:
http://www.fdesouche.com/111198-neo-nazis-vs-fdesouche-com
sur le très informé site antifa « Reflexes », on apprend que ce même Boris Le Lay était à l’origine président d’une association apparu en 2006 au nom sans équivoque de « Breizh-Israel ».
Dans un communiqué annonçant cette création, les buts de l’association étaient clairement exposés : « L’association Breizh Israël est née en mai 2006 pour faire valoir la solidarité des patriotes bretons avec leurs homologues sionistes… », « …pour un rapprochement des deux peuples… », et bien entendu l’incontournable « …face à la montée de l’islamisme en Bretagne… ». Une de leur très rare action (la seule en réalité) au court de leur très courte existence fut un contre rassemblement devant la préfecture de Quimper face à des organisations de soutien à la Palestine qui réclamaient la reprise de l’aide financière de l’Union Européenne à la Palestine après les élections de 2006 qui placèrent le Hamas à la tête l’autorité palestinienne.
Bien qu’habitués à une certaine confusion dans l’esprit de pas mal de nos « cas d’études », celui-ci nous semble un cas d’école. En effet comment peut-on passer en à peine deux ans de la création d’une association pro-Israël à la participation d’une autre clairement antisémite celle-ci. Sauf à penser que cela s’inscrirait dans le cadre d’une opération de manipulation destinée à recueillir des informations sur leurs ennemis… Mais nous laisserons cela aux adeptes de la théorie du complot et nous resterons sur notre analyse d’une grande agitation et perturbation intérieure [2]. »
suite
Annonce du journal officiel officialisant la création de l’association « Breizh-Israël » :
je n’ai pas le lien mais je me souviens avoir lu que le plus grand parti ‘néo-nazi’ en Allemagne était tellement infiltré par les agents du gouvernement que les procureurs avaient de la difficulté à trouver un ‘vrai’ ‘neo-nazi’ dans le lot.
le Congrès Juif Canadien avait infiltré des groupuscules néo-nazi (symboles nazis, salut fasciste, bottes d’acier, etc.) dans les années 60 afin de les faire grossir pour essayer de faire croire aux gens que le ‘néo-nazisme’ menaçait le Canada. 20 ans plus tard les services secrets canadiens ont fait la même chose avec un groupe nommé Heritage Front.
Les admirateur d’Adolf qui trollent FDesouche sont peut-être payés par l’État? C’est peut-être quelque chose du genre même s’il existe quelques vrais ‘néo-nazis’ qui fantasment sur 3e Reich.
http://forums.france2.fr/france2/Election-presidentielle-2007/religieuse-hysterie-terrain-sujet_30241_82.htm
Posté le 18-08-2008 à 04:08:30
Tiens vous faites la même faute que Boris Le Lay sur son blog, Pocker au lieu de Plocker…….Créateur de Breizh Israël en 2006 pour « lutter contre l’islamisme et les éléments anti-bretons et anti-juifs » Boris Le Lay clamait à l’époque la vocation Judéo-chrétienne de L’Europe et avait organisé une manifestation de soutien à Israël….. Il est aujourd’hui hystériquement antisémite… Comprenne qui pourra ! En tout cas, l’incohérence de son parcours et la lecture de son blog ne laissent planer aucun doute sur la grande confusion mentale qui l’habite !
http://contre.propagande.org/pravda/modules/news/article.php?storyid=223
Le MDI est une organisation revendiquant l’ethnodifférentialisme, ouverte à tous ceux qui cherchent à se regrouper pour lutter contre le « sionisme », quelles que soient leurs origines. Le mouvement se structure autour d’un bureau composé d’une demi-douzaine de membres ayant chacun en charge un secteur d’intervention. Parmi ces derniers, nous retrouvons Boris le Lay, au poste de chargé des relations extérieures, girouette animatrice du blog « le réveil des indigènes » qui est passé sans transition de la défense des intérêts d’Israël en qualité de président de Breizh Israël à la haine du sionisme2. Afin de se parer d’une envergure nationale de façade, le mouvement désigne une petite dizaine de responsables d’antennes régionales et locales. L’implantation dans les quartiers semble être la priorité du mouvement. En septembre 2008, Banlieues anti-système (BAS) fusionne avec le MDI. Soumayya Sekhmet Fal est nommée à la tête du secteur banlieue et responsable des Jeunesses Kemi Seba dont l’objectif est de recruter et d’intégrer les jeunes des quartiers. Seyf Awa, quant à elle, rejoint la direction de la branche panarabe qu’elle coanime avec Siddiq Seth, « spécialiste » de la question palestinienne. Pour compléter le tableau, le MDI a également mis en orbite une branche panafricaine chargée d’animer le mouvement sur les problématiques identitaires noires. Au regard de la structuration du mouvement, l’objectif de conquérir les quartiers est indéniable. Pour l’instant, quelques cellules faméliques revendiquent leur existence dans un nombre très limité de communes. Cependant la capacité de mobilisation du MDI a été multipliée par cinq en deux ans. La stratégie employée est simple : agiter la théorie du complot, déverser sur la Toile des vidéos expliquant que le « sionisme » est à l’origine de tous les maux : crise financière, écrasement du peuple palestinien, humiliation des Arabes, néocolonialisme au Maghreb débouchant sur la déstabilisation de l’économie, le chômage des jeunes et l’émigration ; que les Juifs ont été les initiateurs de l’esclavage des Noirs… En parallèle, le MDI organise des meetings dans les quartiers, des prises de parole sauvages à Châtelet et des rassemblements lors de ses multiples comparutions judiciaires. Indéniablement, le discours du MDI s’est radicalisé alors que Siddiq Seth explique que « c’est parce que nous avons le même ennemi que nous allons nous unir et marcher ensemble quitte à faire couler notre sang jusqu’à la mort et éradiquer le sionisme dans nos pays respectifs(3) ».
http://www.planete-islam.com/showthread.php?16382-Les-Identitaires-%E0-un-colloque-commun-avec-l%92UMP-Riposte-La%EFque-et-un-juif-anti-nazi&s=b05a96451f25cce1f1ade21ad72b5f56&p=313020&viewfull=1#post313020
Boris Le Lay est catholique traditionaliste et un nationaliste breton, d’abord islamophobe et anti-immigration il a fait parti de groupes indépendantistes breton. Puis, dans l’optique d’une lutte contre l’arrivée massive d’immigrés africains (notamment musulmans: nous) qu’il considère comme une destruction de l’identité de son pays (il n’a pas tord) et une source de problèmes (il n’a pas tout à fait tord non plus) il a eu l’idée absurde de s’allier aux pires ennemis des musulmans: les sionistes.
Il a alors créé l’association « Breizh-Israel » (Breizh veut dire Bretagne en breton), et il a fait connaissance de juifs sionistes… Et là, réaction naturelle: il a vu que ce n’était que des pourritures et il s’est mis à les haïr.
Pas crédible! Cela ressemble plutôt à un type qui travaille en sous-marin pour les sionistes au sein du mouvement anti-juif, dont il est un expert aguerri.
Pour ceux que ça intéresse, l’avocat de Faurisson est devenu musulman:
Conversions, rebond. Par John Bastardi Daumont (…) Un non évènement, d’ailleurs, mais qui semble pourtant intéresser de près les fauteurs de division. (…)
Conversions chez les antisionistes
Comment Voltaire devint favorable à l’Islam
Napoléon, admirateur de l’Islam et de son Prophète
Thomas Jefferson taught himself Arabic from his own Quran (Jefferson a appris l’arabe par lui-même afin de pouvoir lire le Coran!)
Discours de Paul-Éric Blanrue au colloque de Téhéran sur l’hollywoodisme.
Excellent discours! Les autres ont de quoi être jaloux…
L’association anti-raciste belge est-elle devenue antisémite?
Podcast–The Heretics’ Hour: Günter Deckert on Sylvia Stolz’s release
April 18, 2011
- Sylvia’s prison life;
- Film of Stolz party coming from Lady Michele Renouf;
- Sylvia has been permanently disbarred from practicing law;
- Summer speaking tour is promised;
- Latest German election results – Greens succeed;
- First Jew-friendly right-wing parties were Flemish;
- Problem of Muslims is numbers – problem of Jews is influence.
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White Nationalist Professor Calls for « Deal » with Israeli Far Right
In a radio interview with Croatian academic Dr. Tom Sunic, broadcast on Dr. Sunic’s online « Race and Reason » program on Dec. 21, 2010, White nationalist Professor Kevin MacDonald of California State College at Long Beach, called for a « deal » with the Israeli « Far Right » for the expulsion of Palestinians from Palestine, in return for the expulsion of Muslims from Europe.
Prof. MacDonald is the editor of the racialist periodical, Occidental Observer: White Identity, Interests and Culture.
The following are quotes from a transcript of the broadcast:
Prof. Kevin MacDonald:
« …People like (Holland’s) Geert Wilders is the prototype of this type of politician…Yeah, they’re very pro-Zionist and they’re not only pro-Zionist, they’re in favor of the most radically Right-wing segments of the Israeli political spectrum, so you’re talking about the settler movement, this sort of radical ethno-nationalist, and, of course, what they have in common is that they are very critical of Islam. Actually, from my point of view I wish these people well. If they are successful in developing political parties that are opposed to Muslim immigration and are opposed to Muslim culture becoming mainstream in Europe, I think that’s all to the good.…Wilders’ statements on Islam are accurate and on the money…I think he’s doing a really good job…« …What they want in Israel is this apartheid society, this racialist society…There’s increasing tension. Israeli is being delegitimized everywhere in the world…There is this element on the Far Right in Israel that want to make alliances with similar-minded people in Europe or wherever. Uh, they can find this common ground. It’s a good development over all…« …If we could get the Muslims out of Europe as a deal where Israel survives and throws out the Palestinians to Jordan, I would take that deal in a heartbeat… »Dr. Sunic: « Excellent. Well, Kevin, I always enjoy talking to you… » [End quote]
Marine Le Pen dans Israël Magazine
Qu’elle fasse 5 ou 25% en 2012 … cela ne changera rien de toute façon, puisque que comme en 2002, avec son père, au second tour, nous assisterons à l’union des démocrates pour barrer la route au FN.

« Les juifs n’ont rien à craindre du FN, bien au contraire! » dit-elle dans un communiqué officiel à la télé, suite à l’annulation de son entrevue sur les ondes de Radio J.
Ha’aretz, Jan 7, 2011:
The Daughter as « De-Demonizer »
« Prasquier’s fears are even more profound: “The circle of her voters is liable to be joined by Jews who are disappointed by Sarkozy, who bear a grudge against him for intervening in the peace process and for the pressures he is applying to Prime Minister Benjamin Netanyahu,” he says. Actually, Le Pen has already managed to forge ties with the Kahanists in France, members of the Jewish Defense League, who consider the leaders of the community “traitors who deserve to die.” »
Par Philippe Delbauvre
A propos de la confusion du camp nationalisteAu sujet de l’article publié par Rivarol (1), intitulé « Le camp nationaliste en pleine confusion » et mis en ligne ici même le 25 mars 2011.
Après lecture et relecture de l’article rivarolien, je continue à penser que le problème est mal posé et que par voie de conséquence l’article (« Ni keffieh, ni kippa ») que j’avais écrit naguère, parmi d’autres, sur le sujet, reste d’actualité.Il va de soi que la position « Ni keffieh, ni kippa » est sans conteste la plus confortable qui soit puisque, tant d’un point de vue géopolitique qu’en terme de politique intérieure, elle renvoie dos à dos deux plaies dont les nationalistes et assimilés (je songe ici aux evoliens par exemple) ont eu et ont à souffrir en raison de l’attachement qu’ils portent à leur patrie.
Il ne s’agit pas de mettre en cause l’argumentaire, au demeurant sérieux, de cet article qui a le mérite de remettre certaines vérités en lumière via Pierre Vial ou d’autres mais plutôt de prendre acte de la complexité du problème qui, souvent, n’est pas posé comme il devrait l’être.
C’est ainsi que tant en terme de judaïsme que d’islam, l’article incriminé fait preuve de simplisme en postulant par le fait que dans un cas comme de l’autre les plaies sont, chacune, homogène et équivalentes.
Or, c’est faux.
En matière d’islam, des pays comme l’Iran, la Syrie, ou l’Egypte, tous les trois majoritairement musulmans ont néanmoins des politiques tant intérieures que diplomatiques différentes : opposition au nouvel ordre mondial dans le cas des deux premiers et judéophilie depuis les accords de camp David entre Egypte et Israël.
Ce qui s’avère être vrai à l’échelle mondiale l’est tout autant au sein même de la maison France où tant les juifs que les musulmans présentent, dans un cas comme dans l’autre, de fortes différences en leur sein.
C’est ainsi que les déclarations ainsi que les prises de position tant d’un BHL que d’un Finkielkraut ne représentent pas la communauté juive dans leur totalité. C’est ainsi qu’ils sont nombreux les juifs à contester la pseudo-représentativité de nos deux « penseurs ».
Il en est de même au sujet de la communauté musulmane qui s’étend – au même titre que pour le christianisme ou le judaïsme d’ailleurs – de l’agnosticisme voire de l’athéisme jusqu’à ce que l’on appelle l’intégrisme.
Que les uns comme les autres n’aient pas vocation à vivre en France – à quelques exceptions près comme c’est le cas pour les harkis – tant en raison de Vercingétorix que de Clovis dont nous ne faisons que transmettre les messages, c’est une évidence qui s’impose à nous ; ce n’est pas une raison pour sombrer dans la caricature qui postule, au motif réel qu’il s’agit de deux plaies, que celles ci sont équivalentes.
C’est ainsi que les musulmans n’ont, sur le sol national, que très peu d’élus et que les politiques, bien conscients quoiqu’ils en disent, savent très bien qu’un profil peut à lui seul déclencher la répulsion : d’où le peu d’entrain de ces politiques à présenter des candidats issus de la diversité… Chacun comprendra.
Au sujet des juifs, la situation est toute autre puisqu’on ne manque pas de ministres ainsi que de parlementaires qui agissent dans l’intérêt de la tribu et d’Israël : sans d’ailleurs toujours le cacher (sic). Qui peut au demeurant constater la vigueur et l’omniprésence du lobby ?
On ne peut pas non plus mettre à égalité des institutions musulmanes qui, globalement, ne s’en prennent pas aux nationalistes et des organisations juives diverses qui tant sur le terrain que verbalement ont toujours pris les nationalistes conséquents et cohérents pour cible.
L’endoctrinement des jeunes Français, ce dès l’école primaire, où une conception très subjective de l’histoire leur est inculquée, se fait bien au profit du Lobby et non au bénéfice de l’islam.
D’où mon refus du renvoi dos à dos.
Ce qui doit être fait, c’est justement ne pas se laisser enfermer dans une logique, certes confortable, mais erronée. En conséquence, nous devons en matière de diplomatie être opposés tant aux pays musulmans qu’à Israël, mais en pratiquant certaines exceptions en prenant pour axe l’opposition au nouvel ordre mondial.
Concernant Marine le Pen, et ce n’est pas un hasard, ce n’est nullement vers l’islam ou les pays musulmans qu’elle se tourne mais bien vers le Lobby ainsi qu’Israël ; la lecture de l’agence Nations presse info est à cet égard enrichissante ; elle se comporte, à ce titre comme tous les politiques du Système et elle admet la clef de voûte conçue à la fin de la dernière guerre mondiale, période dont je persiste à croire qu’elle symbolise – alors qu’il n’y avait pratiquement pas d’arabo-musulmans en France – la mise sous tutelle de la France. Clairement exprimé, rien n’indique dans son attitude comme dans ses propos qu’elle s’oppose au nouvel ordre mondial : c’est exactement le contraire.
C’est en effet ce dernier qui est la cause essentielle des maux qui touchent aussi bien la France que l’Europe et par voie de conséquence contre lequel nous nous devons de réagir.
Tant la forte immigration que le melting pot sont caractéristiques du nouvel ordre mondial; en conséquence, il faut remonter à la source du mal et l’extirper à la racine, c’est à dire radicalement : se focaliser sur les symptômes ne sert à rien et nous ne sommes pas ici, au motif que la formulation « ni keffieh, ni kippa » est confortable, pour nous offrir des vapeurs…
La lucidité géopolitique nous pousse à soutenir, partout où elle se trouve, l’opposition au nouvel ordre mondial, et ce y compris parmi les quelques pays musulmans qui freinent sur le terrain l’expansionnisme (sic) du nouvel ordre mondial, véhiculé au Proche Orient par Israël et en France par le Lobby.
La lucidité historique nous pousse à refuser l’admiration ou la fascination pour l’islam qui pousse certains des Français à se laisser pousser la barbe au motif que cette religion serait une alternative au monde contemporain : aussi bien le paganisme d’un Vercingétorix que le catholicisme d’un Clovis sont suffisamment riches pour aller chercher ailleurs ce que nous avons ici et que nous avons d’ailleurs le devoir de transmettre à nos descendants.
(Philippe Delbauvre fut responsable de la doxa et de l’animation virtuelle à Voxnr, structure qu’il quitta en raison de l’orientation mariniste prise par ce mouvement.)
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