- Un monument à la droite canadienne Stephen Harper veut redessiner la mémoire de la Seconde Guerre mondiale avec son «monument aux victimes du communisme»
- Canada’s Stephen Harper Wants to Redesign a New Collective Memory of World War II
- Canada’s Harper Sinks Millions Into a ‘Russian Sins’ Memorial
Les droitistes conspirationnistes débiles du Washington Times: on croirait entendre l’autre débile Alex Jones parler de Bohemian Grove…
VIDEO – Livres complotistes: se méfier des différents messianismes, catholique, juif, etc. Certaines personnes chez les catholiques (influencés par les jésuites) ont intérêt à créer une situation où des troubles entraîneront les « tribulations de la Fin des Temps ».
Tout d’abord, contrairement à ce que de nombreux conspirationnistes de même que des agitateurs de droite répètent sans cesse, nous ne vivons vit pas présentement la « Fin des Temps ». Ceci relève d’une interprétation stupidement littéraliste et matérialiste de la religion. Méfiez-vous de ces agitateurs qui tentent de vous convaincre que la Fin des Temps est imminente. Certes, il apparaît certain que les forces des ténèbres et les forces antichristiques prennent le dessus sur l’humanité. Or il apparaît tout aussi évident que le conspirationnisme est investi par des éléments de Droite souhaitant raviver un certain fondamentalisme religieux, pour leurs propres fins. Et puisque nous avons tous une dimension religieuse quelque part dans notre inconscient, nous sommes tous touchés à des degrés divers par cette campagne de peur annonçant la « Fin des Temps ». Qui croyez-vous a tout à gagner à provoquer un regain de fanatisme religieux en alimentant les délires millénaristes? Clairement: ceux qui veulent éradiquer la dimension spirituelle profonde des religions. Ce sont eux qui poussent les religieux au délire, au fanatisme, à la caricature. Et ce ne sont pas des Communistes, ce sont des ploutocrates antisociaux qui sont les maîtres de la manipulation.
Blood Moon Prophecy’ Casts Shadow on Christian Embassy Sukkot Celebration Some evangelical Israel supporters believe Monday’s lunar eclipse portends ‘End of Days.’
Torah Sage Predicted Almost 100 Years Ago a Third World War Before Redemption
Comme si l’ancien testament concernait l’histoire récente et actuelle… Il faut vraiment être taré pour gober ça. Il y a des gens non seulement tarés mais dangereux qui font tout pour que ça arrive! Si leur prophétie se réalise pas tout seul, ils vont se charger eux-mêmes de la concrétiser pour se donner raison.
Michele Bachmann est « extrêmement excitée » par l’Accord avec l’Iran parce qu’il provoquera le jugement de Dieu sur le monde comme prédit dans Zacharie 12:3.
Michele Bachmann: Iran deal a cause for celebration because…….End Times
Michelle Bachmann: Obama’s poor relationship with Israel will bring the return of Jesus
Bachmann: Iran nuclear deal makes ‘Christ’s return imminent’
Michele Bachmann’s creepy End Times fantasies: Why the religious right yearns for World War III « The prophets longed to live in this day that you and I are privileged to live in, » Bachmann said. (Welp!)


La vague de réfugiés, quelle est la vraie cible, par Israël Adam Shamir (Incluant des citations de Marx surprenantes!) « un certain Karl Marx, en arriva à la déduction révolutionnaire suivante : la foi de Mammon, cette “religion des Juifs pour les jours de semaine” – ce sont ses propres mots – est devenue la véritable religion des élites américaines. Marx cite, en l’approuvant, un certain colonel Hamilton : “Mammon est l’idole des Yankees, ils ne l’adorent pas simplement en paroles, mais aussi de toutes les forces de leur corps et de leur âme. A leurs yeux, la terre n’est qu’une immense bourse des valeurs et ils sont persuadés que leur unique mission sur la Terre est de devenir plus riche que leur voisin.” Marx conclut : “Là où la domination effective de la mentalité juive sur le monde chrétien a achevé son expansion, totale et éclatante, c’est en Amérique du Nord.” La mentalité juive victorieuse, pour Marx, est basée sur l’”appât du gain et l’égoïsme, son credo, c’est les affaires ; son dieu : l’Argent.” [2] «

D’autres vont encore plus loin et suivent LLP, Livernette, eux-mêmes disciples du mythomane W.G.Carr, ils croient que les « illuminati » ont planifié trois guerre mondiales en montant de toute pièce une opposition contrôlée: le communisme dans la Première guerre, les nazis dans la Seconde guerre et enfin l’islam dans la Troisième et dernière guerre mondiale. Or tout cela est faux. Pas plus que le nazisme, le communisme et l’URSS n’ont jamais été le mal incarné et n’ont jamais été « sous le contrôle total des ploutocraties », contrairement à ce que prétendent les conspirationnistes. Idem pour l’Islam. Il ne faut pas confondre ainsi une cause avec les agents provocateurs qui la rejoignent pour la détruire. Accuser toute forme d’opposition significative d’être contrôlée par l’ennemi est un cas typique de désinformation et d’inversion de la réalité; Nabe avait raison: le complotisme fait perdre contact avec le réel de manière satanique.
L’empire des ploutocraties antisociales d’Occident a toujours voulu éradiquer le socialisme. S’ils ont laissé la Russie devenir socialiste, c’était précisément dans le but de « démontrer » aux peuples occidentaux que le Socialisme est mal et ne pourra jamais rien apporter de bon. Il s’agissait ainsi de détruire une fois pour toutes les mouvements de lutte ouvrières en Occident!
« Les causes de la Première Guerre mondiale ? Le partage du monde et la peur du mouvement social » De Jacques R. Pauwels (7 nov. 2014) Depuis longtemps, les grandes puissances mondiales la voulaient, cette guerre. Pour s’approprier des colonies et pour en finir une fois pour toutes avec les idées révolutionnaires qui gagnaient de plus en plus toute l’Europe.
VIDEO – Jacques Pauwels: La Grande Guerre 14 -18, le résultat d’un incident à Sarajevo ? «Pas du tout…» « Les gens de biens contre les gens de rien » ou bien comment, pendant les décennies de la Belle Epoque, les élites des deux côtés ont préparé cette revanche contre le peuple. Comment elles préféraient la guerre à la révolution qu’elles redoutaient tant.
The Great Class War 1914-1918 Summary of Dr. Jacques Pauwels’ new book, “The Great Class War of 1914-1918”: (…) These gentlemen did not “sleepwalk” into the war, but entered it with a clear head and open eyes. The European elite expected that war would bring great benefits. War would make it possible to put an end to the process of political and social democratization, a process that had started with the French Revolution in 1789. In other words, it would offer the elite an opportunity to arrest, and perhaps even to “roll back” the rise of the allegedly ignorant and dangerous lower classes, which threatened its power, wealth and privileges. The elite also believed that war would exorcize the spectre of social revolution, eliminating that danger once and for all.
C’est une erreur de présenter le Socialisme comme une affaire juive. Le fait est que les juifs ont des intellectuels à l’affût des nouvelles tendances, ainsi des intellectuels juifs très critiques ont pris le devant de la scène dans le monde socialiste. C’est bien plus tard que certains de ces juifs pseudo-socialistes se sont mis à travailler en sous-marin pour les ploutocraties occidentales afin de garder un oeil sur les « méchants » socialistes.
»La Droite rejette le marxisme comme le produit « du complot » subversif. » –Douguine
« Après la création de l’Etat d’Israël, Staline commença à associer les juifs soviétiques à la conspiration capitaliste mondiale et entama une campagne d’arrestation, de déportation et d’exécution des principaux écrivains juifs. Il préparait une campagne antisémite de plus grande ampleur encore lorsqu’il mourut, en 1953. Après la mort de Staline, le communisme prit une coloration de plus en plus ethnique, sous l’impulsion de gens qui désiraient renouer avec sa gloire passée, corrompue, selon eux, par les juifs. » (Le Monde)
Has Soviet Anti-Semitism Halted? The Record Since Stalin’s Death
L’anticommunisme, profession des sionistes, par N. Bolchakov (Novosti, 1972).
La sionologie, un antisionisme soviétique – Zionology : Soviet Anti-Zionism
« The Zionist movement, created by the Jewish big bourgeoisie at the end of the 19th century, was born with a decidedly counterrevolutionary purpose. From the founding of the World Zionist Organization in 1897 to the present, Zionism, as ideology and political practice, has opposed the world revolutionary process.
Zionism is counterrevolutionary in a global sense in that it acts the world over against the three major forces of revolution: the socialist community, the working class movement in capitalist countries and the movement for national liberation.
Zionist counterrevolution began by making inroads in the European working class movement. In the early years, when the growth of monopoly capitalism and the expansion of reactionary tendencies that accompanied the establishment of the imperialist phase of capitalism demanded the unity and solidarity of the proletariat, the Zionists focused on dividing the working class.
They propagated the thesis that all non-Jews were, and would always be, anti-Semites; asserted that the only possibility for the Jewish masses’ well-being and justice was to emigrate to the “promised land”; and defended class collaboration, thus diverting the Jewish proletariat away from the struggle for their real emancipation and dividing and weakening the working class movement. It’s not fortuitous that in czarist police archives one finds documents calling for support for the Zionist movement as a way of stemming the tide of proletarian revolution.
Theodore Herzl, the founder of Zionism, wrote at the time in his diary:“All our youth; all those who are from 20 to 30 years old, will abandon their obscure socialist tendencies and come over to me.”
However, the efforts of Zionist counter-revolution could not hold back the wheels of history. The victory of the Great October Socialist Revolution in Russia ushered in a period of transition from capitalism to socialism on a world scale. The first victory of the proletariat, the premise of future victories, was a heavy blow to Zionism.
Most of the money that filled Zionist coffers came from Russia, where czarism had humiliated and oppressed the Jews for centuries. Russia provided a million immigrants for the Zionist colonization of Palestine. When the Russian Revolution liquidated the exploitation of man by man, it also destroyed the basis for Zionism in the Soviet Union.
Leninist policy on the national question toppled all Zionist myths that the Jews could not be fully incorporated, with equal rights, into society and destroyed all the racist claims on the inevitability of anti-Semitism. The Zionists never did, and never will, forgive the Soviet state and its Leninist Party, not so much for cutting off the money flow from Russia and for the loss of workers for the colonization effort, but because the Bolsheviks implemented a correct policy that incorporated the talents and efforts of the Soviet Jews into the tasks of building a new society and thus demonstrated the class origins of discrimination and anti-Semitism, breaking with the past and providing a genuine solution to the Jewish problem, a solution which was not and could never be a massive exodus to Palestine.
Zionist counterrevolution took on an anti-Soviet thrust. Before October 1917 the Zionists collaborated with Kerensky. Later they supported all the attempts at counter-revolution and enthusiastically participated in the different white “governments” set up in different parts of the country during the Civil War [in Russia]. They were active in all the moves against the Soviet Union from abroad, and their powerful propaganda machine spread a spate of lies about the first workers’ and peasants’ state in the world.
Not even the Soviet victory over German fascism, which saved so many Jewish lives, made the Zionists change their anti-Soviet stand.
With the outbreak of the cold war the Zionists collaborated in all the subversive and diversionary activities against the USSR and other socialist countries. The secret services of the Zionist state of Israel coordinated their spy activities with the CIA. Zionist agents played an active role in the counter-revolutionary attempts in Hungary and Czechoslovakia.
Today Zionism seconds the hypocritical anti-Soviet campaign on presumed violations of the human rights of Jews in the Soviet Union and does all it can to put pressure on Soviet citizens of Jewish origin so they will leave their true homeland and go to Israel. This effort by Zionist counter-revolution can only lead to new failures. And to complete the picture there is the Zionist counter-revolutionary action against the national liberation movements.
Soon after World War I, Zionist settlers penetrated into Palestinian territory, acting as the spearhead of British imperialist interests in opposition to the Arab peoples’ hopes for independence. Their role was clearly spelled out by the prominent Zionist leader Max Nordau in a statement to the British authorities:
“We know what you want from us: that we defend the Suez Canal.We must defend your route to India which passes through the Middle East.We are ready to take on that difficult task. But you must allow us to become powerful enough to carry out that task.”
And, as a matter of fact, the Zionists became a power and succeeded in establishing their own state in 1948: the Zionist state of Israel. Now their task is to defend oil routes, protect all the interests of U.S. imperialism and block the advance of the Arab revolution.
Backed by tremendous amounts of imperialist economic and military aid, the Zionists are constantly acting against national liberation movements.
At one time it was their mission to penetrate African and Asian independence movements, guarantee that the newly independent states followed paths acceptable to imperialism, that they not stray from the confines of neo-colonialism. Israel offered courses, advisers, all sorts of aid.
But the ploy wasn’t very successful. Israel’s increasing role as imperialism’s policeman in the Middle East, its racism and avowed expansionism made the young African and Asian nations see the dangers of Israeli “aid,” the treachery of Israeli foreign policy.
Nevertheless, the Zionist state took up a new role in the struggle of world reaction against progress. It went beyond the geographical confines of the Middle East, established friendly ties with all reactionary regimes and began to supply arms, equipment and advisers to those who were trying to suppress national liberation struggles.
The Israeli armaments industry specialized in designing and producing all sorts of weapons for urban and rural anti-guerrilla warfare.
The South African racist regime, the dictatorships of Guatemala and El Salvador, and the fascist Pinochet are among the best clients of the Israeli armaments industry.
Israeli arms sales in 1978 were estimated at $400 million.
One of their best clients was the Nicaraguan dictator Anastasio Somoza.
Zionist counter-revolution was present in Somoza’s Nicaragua in the form of Galil guns and Pull-push planes, but they couldn’t stop the victory of the Sandinista revolutionaries.
This is a symbol of our times: neither the machinations of Zionist counterrevolution, nor Israeli arms, can hold back the victorious march of the peoples of the world.«
(Source: Nov 4, 1979 edition of Granma, official newspaper voice of Castro’s government.)
Ceux qui savent de quoi ils parlent savent que les juifs ont grand peur du communisme, du nazisme et de l’Islam! Or les théories du complot vont souvent en sens inverse de la réalité en prétendant que les juifs sont derrière le communisme, le nazisme et même l’Islam!
In a lengthy essay the Castro government published in the November 4, 1979 edition of Granma—an official newspaper—the Cuban Marxists critiqued Israel and Zionism. Castro’s newspaper said, in part: “The Zionists never did, and never will, forgive the Soviet state and its Leninist Party . . . because the Bolsheviks implemented a correct policy that incorporated the talents and efforts of the Soviet Jews into the tasks of building a new society and thus demonstrated the class origins of discrimination and anti-Semitism, breaking with the past and providing a genuine solution to the Jewish problem, a solution which was not and could never be a massive exodus to Palestine.” “With the outbreak of the cold war the Zionists collaborated in all the subversive and diversionary activities against the USSR and other socialist countries. The secret services of the Zionist state of Israel coordinated their spy activities with the CIA. And to complete the picture there is the Zionist counter-revolutionary action against the national liberation movements. “The Zionists became a power and succeeded in establishing their own state in 1948. Now their task is to defend oil routes, protect all the interests of U.S. imperialism and block the advance of the Arab revolution. Neither the machinations of Zionist counterrevolution, nor Israeli arms, can hold back the victorious march of the peoples of the world.” These are fighting words, to say the least, and do explain perhaps why those who were responsible for framing Lee Harvey Oswald would have selected his profile as a “pro-Castro agitator.” The profile would satisfy both the hard-line anti-communists and the Zionists.(…) (Smoloko)
Le socialisme, le libéralisme, le modernisme, ne sont pas des inventions juives. Il faut cesser de chercher ses idées du côté de la religion, car la religion est un domaine qui a été subverti par la désinformation jésuitique anti-moderne et anti-liberté. La menace de la judéo-maçonnerie illuminati libérale-démocratique est un leurre : en fait les plouto-autocraties défendent l’ancien monde, avec son aristocratie et ses privilèges, ses familles richissimes, son autoritarisme hiérarchique donc anti-liberté, sous couvert de défense de la liberté et de la démocratie. Or ils font l’inverse : ils détruisent la liberté et la démocratie.
L’omniprésence sur internet de la théorie du complot révolutionnaire judéo-maçonnique illuminati vient du fait qu’il y a beaucoup trop d’influence de droite conservatrice dans les milieux conspirationnistes. Les théories du complot judéo-maçonnique (incluant ses variantes révolutionnaire-communiste, libertaire-égalitariste et anti-traditionnelle) sont ou bien fausses (désinfo ou distraction), ou bien non-prouvées ou non-prouvables, et ne servent vraiment qu’à nos ennemis. Cela nous fait croire que tout est sous contrôle, alors que rien n’est plus faux. Les plouto-autocraties ont véritablement peur des mouvements populistes de libération nationale, qu’ils soient apparentés au nazisme ou au communisme révolutionnaire, peu importe. Oubliez toutes les théories de conspiration qu’on vous a servis (sur les Khazars révolutionnaires, etc.) et vous vous débarrasserez d’un grand fardeau inutile!
Contrairement à ce que disent les conspirationnistes, la plupart de ce que les universités et les médias disent est vrai, le problème est leur interprétation des faits, parce qu’ils sont presque toujours dans le mauvais camp. (Bien que cette triste réalité soit déjà en train de changer: pour preuve la popularité croissante de BDS sur les campus. Par ailleurs, pour comprendre le pouvoir du crime organisé et des lobbys ou groupes de pression, incluant le lobby juif, les meilleures références sont des chercheurs universitaires et des journalistes.) Il suffit d’inverser leur discours anti-communiste, anti-nazi, anti-musulman, anti-arabe, pro-juif, etc. Nul besoin d’inventer des théories conspirationnistes fumeuses sur un 4e Reich bâti aux USA par des nazis recrutés par l’OSS…
Dire que tous les attentats terroristes musulmans sont le fait des Américains et des Sionistes est une façon de disqualifier le combat légitime contre la ploutocratie américano-sioniste en disant que tous les musulmans qui prennent les armes ne sont que les idiots utiles des Américains. L’arnaque intellectuelle ici est de faire équivaloir le combat contre l’islam(isme) à un combat contre l’Américanisme sioniste. Ce conspirationnisme est une victoire pour les sionistes, car ainsi nous nous trouvons à combattre les musulmans à leur place. Il faut voir l’influence de certains idéologues du « complot islamo-américain » (comme Alexandre Del Valle) tant dans les milieux de Droite nationale que dans les milieux sionistes et juifs ultras! Leur discours reoupe celui des néocons tels Frank Gaffney qui s’imaginent avoir débusqué l’influence des « Frères Musulmans infiltrés dans le gouvernement Obama ». Certains plus habiles, et bien meilleurs désinformateurs, nous parlent de complot sioniste pour mieux nous vendre la théorie du contrôle américain des musulmans, le complot « américano-islamiste ».N’oublions pas que l’ennemi sioniste emprunte désormais maintenant le langage du nationalisme afin de récupérer la masse des gens qui se méfient de plus en plus des antiracistes, du socialo-communisme et de l’Islam!
VIDEO – La Polémiste (Elisabeth Levy) Soeur spirituelle de Soral? Comme les sionistes ultras, ils tentent de faire entrer de force dans le mainstream les idées d’extrême-droite. « La méchante gauche est responsable de tout! », comme dira Zemmour. Ils ont usurpé le discours nationaliste, c’est pourquoi ils combattent l’antiracisme de BHL qui assimile les nationalistes français au nazis et aux fascistes.
VIDEO – Techniques de manipulations d’Arno Klarsfeld et complicité journalistique, par Scady « C’est toujours la fôte à l’extrême-gauche amie des terroristes et du Hezbollah! » dixit le sioniste.Goldnadel : gauche de l’esbroufe n’amasse plus mousse Tous les problèmes des juifs et de la France viennent de la gauche selon ce sioniste juif débile et fervent partisan du conflit des civilisations.
La nouvelle peste brune Qu’ils soient Pieds-noirs, judéo-sionistes, immigrés italiens, polonais ou d’Europe centrale ou simplement identitaires français : ils ont tous quelque chose de commun. Ils ont en effet les mêmes rêves plein les têtes ainsi que les mêmes obsessions. Et désormais le même plan maléfique : semer les germes de la guerre en France. Et tous y trouvent leur compte. Pour les Pieds noirs et affilés, ils y gagnent, du moins espèrent-ils, une revanche sur ces « maudits Arabes » qui ont tété leur haine depuis leur berceau, autant dire qu’ils l’ont suçotée des mamelles de leurs mères.

Comme si le néocon Zemmour ne servait pas les intérêts juifs néoconservateurs en mettant tous les problèmes du monde sur le dos de la gauche et de l’Islam… MDR.
On est quasiment d’accord sur ce fait… même si la droite cachère dont tu fais partie se sert de cet alibi pour se défendre de toute sympathie fasciste!
On peut identifier facilement deux catégories de juifs sionistes, grosso modo : 1) BHL, Attali : antiracistes apatrides vs 2) Zemmour, Goldnadel, Elisabeth Levy, Finkie, Arno Klarsfeld : néo-nationalistes « de France ». Ils font face à un danger commun, une menace commune: la délégitimation d’Israel. Dommage collatéral de l’antiracisme, l’antisionisme conquiert l’espace public et envahit le centre (« mainstream »). La condamnation d’Israël n’est pas une mode qui ne fait que passer, il conquiert de plus en plus d’espace public, dans les médias et les universités, et cela à travers le monde. Plus on sympathise avec le sort des Palestiniens, plus les sentiments antisionistes se répandent, plus la gauche antiraciste, qui condamne radicalement Israel, se fait maintenant entendre sur la place publique. Parallèlement, à cela, on assiste à une autre forme de dommage collatéral: on voit la popularité des thèses populistes antijuives et complotistes sur la domination sioniste mondiale dépasser les clivages gauche-droite. RÉSULTAT: 1) La planète penche de plus en plus du côté pro-palestinien, ce qui risque de mettre en échec définitivement le projet du Grand Israel en plus de révéler au monde le racisme juif fièrement affiché et mis en acte par l’État juif. 2) La thèse du complot sioniste mondial semble se confirmer par la manie des juifs à essayer de tout contrôler (médias, argent, gouvernement, politiciens, etc.) et à voir de l’antisémitisme partout. Que faire pour empêcher l’antisionisme d’envahir le centre? La solution a deux volets complémentaires: 1) Inventer et médiatiser la menace de l’ « islamo-gauchisme » en en faisant le vecteur principal du « nouvel antisémitisme » qu’est l’antisionisme (tout en minimisant le rôle de la droite extrême). Pour faire gober la menace antisémite « islamo-gauchiste », il faudra embaucher (coopter) ou à tout le moins médiatiser une mouvance antisioniste appellée « Dissidence » ayant comme public cible les banlieues, afin d’exciter et d’instrumentaliser ces banlieues. Il s’agit de donner l’impression que la Dissidence n’a fait que révéler une réalité: celle de la menace islamo-gauchiste et antisémite qui sommeille dans les banlieues. 2) Le courant antisioniste de gauche sera affaibli et discrédité du fait qu’on y mêlera un paquet d’idées issues de la droite nationale (ou traditionaliste) et du complotisme de droite, pour les discréditer, rendre leur discours irrecevable dans les universités et les médias afin de les pousser à la marge définitivement. Pour pirater ainsi le mouvement complotiste et le pousser toujours plus à droite et toujours plus loin dans le délire complotiste, ce sont encore les mêmes leaders de « la dissidence » qui sont les mieux placés pour aboutir à des résultats concrets et significatifs. Résultat : La condamnation d’Israel sur la place publique doit être efficacement repoussée loin du centre (« mainstream »), marginalisée et discréditée comme une banale forme d’antisémitisme, le « nouvel antisémitisme », peu importe que celui-ci soit d’origine islamo-gauchiste, ou encore complotiste d’extrême-droite (incluant droite nationaliste et traditionaliste).
VIDEO – Enzo Traverso: De l’esprit critique au conservatisme (De Trotsky à Kissinger: de la Révolution internationale à la Contre-Révolution internationale!) Partie I – Partie 2
VIDEO – Pour une historiographie marxiste et critique : entretien avec Enzo Traverso Traverso a tout compris sur le virage conservateur des juifs au 20e siècle, leur passage de Trotsky à Kissinger!
VIDEO – UPJB-14juin2013-Enzo Traverso : « La fin de la modernité juive. Histoire d’un tournant conservateur »
PHILOMAG: Historien et essayiste subtilement engagé, Enzo Traverso est l’un des intellectuels italiens les plus remarquables de notre temps. Spécialiste « gentil » de l’histoire du judaïsme, il fait paraître un livre qui devrait, au moins par son titre, faire parler de lui : La Fin de la modernité juive. Si la teneur en est aussi complexe que le destin du judaïsme lui-même, le propos peut en être résumé simplement : il y a encore peu, les créateurs juifs étaient synonymes de dissidence et de progressisme radical ; depuis la création de l’État d’Israël et, surtout, depuis son devenir-central dans les querelles géopolitiques planétaires, le signifiant « juif », indépendamment des engagements propres à chaque Juif concret, est devenu le cheval de Troie « Plexiglas » du néoconservatisme contemporain. Traverso résume lui-même à gros traits : « Si la première moitié du XXe siècle a été l’âge de Franz Kafka, Sigmund Freud, Walter Benjamin, Rosa Luxembourg et Léon Trotski, la seconde a plutôt été celle de Raymond Aron, Leo Strauss, Henry Kissinger et Ariel Sharon. » Voilà pour le diagnostic, à la fois plutôt flagrant et propre à faire se lever tous les boucliers de la bien-pensance en qualifiant son auteur d’« antisémite ». On aimerait que ses ennemis tout désignés y regardent à deux fois : si Traverso peut être soupçonné d’une chose, ce serait plutôt de philosémitisme aggravé, étayé par une connaissance impressionnante de la culture et de l’histoire juives. Il est donc fondé à remarquer que là où le créateur juif, philosophe, écrivain ou artiste, fut depuis Spinoza le paradigme souvent indépassable de l’homme du « contrepoint et de la dissonance », il semble aujourd’hui volontiers se faire le porte-parole avant-gardiste des ordres les plus dominants, conformistes et brutaux. Non seulement les droites européennes classiques brandissent leur philosémitisme et leur prosionisme comme un pavillon de complaisance, mais même les extrêmes droites ont, depuis une décennie, fait la paix – singulièrement en France – avec leur vieille obsession négative. Israël, comme avant-poste de la lutte de la civilisation contre la barbarie : le refrain est désormais si connu que nous bâillons en l’entendant.(LIRE LE RESTE…)

L’INTELLECTUEL COMPULSIF:
L’auteur établit une critique de l’intellectuel compulsif et analyse le pouvoir dont il dispose, qui est davantage un pouvoir d’affect que d’idée. Il réalise ces constats en s’appuyant sur une étude de cas où l’antisémitisme est en cause. Il pose à nouveau la question de la réaction philosémite en France, du judaïsme, mais aussi de la situation israélo-palestinienne et de son histoire.
Thèse La réaction philosémite à l’épreuve de l’histoire juive
Au croisement de la philosophie, de la sociologie et des sciences politiques, La réaction philosémite à l’épreuve de l’histoire juive se propose de mener à bien l’analyse et la théorie complète d’une modalité contemporaine du discours réactionnaire français. Après les attentats du onze septembre 2001 est apparu en France un courant idéologique renouant avec le mot d’ordre de la « défense de l’Occident », tel que l’extrême droite notamment française avait pu en élaborer le contenu et la forme dans l’entre-deux Guerres, affirmant alors sa parenté idéologique avec le fascisme (italien) et l’antisémitisme (allemand). Toutefois, la particularité de son avatar contemporain, c’est d’une part qu’il se présente comme une « défense de la démocratie », et d’autre part qu’il s’organise autour des deux mots d’ordre que sont « la défense du sionisme » et « la lutte contre l’antisémitisme ». Ce travail de recherche démontre que, par delà ce réhabillage rhétorique, le contenu idéologique demeure pour l’essentiel inchangé, constituant l’invariant d’un courant intellectuel et politique qu’il convient précisément de qualifier de réactionnaire, en ce sens qu’il ne repose sur aucun contenu de pensée affirmatif, mais sur la peur, notamment de l’ « étranger », du « révolutionnaire », ou plus simplement du « peuple », mais aussi, au-delà, sur la peur du philosophe, et des juifs.Ivan Segré LA RÉACTION PHILOSÉMITE | La trahison des clercs
Sans aucun doute, le premier livre à s’attaquer avec exactitude et justesse à la violente campagne pseudo-« philosémite », dans laquelle Yvan Segré lit les traits d’une trahison politique (qu’il qualifie ici de « réactionnaire ») et non ceux d’une fidélité à l’universalisme juif. La Réaction philosémite, ou La trahison des clercs est l’ouvrage d’un logicien hors pair, que double, de bout en bout, un ironiste rare. Ivan Segré vit en Israël
En titrant La Réaction philosémite, et en sous-titrant La trahison des clercs, un horizon d’attente se dessine…
À l’aube du XXIe siècle, un courant idéologique significatif s’est manifesté en France, dont les représentants ont été notamment Alexandre Adler (historien), Emmanuel Brenner (sociologue), Eli Chouraqui (cinéaste), Alain Finkielkraut (philosophe), William Goldnadel (avocat), Jean-Claude Milner (linguiste), Robert Misrahi (philosophe), Pierre-André Taguieff (politologue), Shmuel Trigano (sociologue), Yves-Charles Zarka (philosophe)… Le déclenchement de la nouvelle Intifada (septembre 2000) et la perception d’un renouveau de l’antisémitisme en France ont conduit ces intellectuels à produire un certain nombre de publications, documentaires, réquisitoires ou plaidoiries qui répondraient aux deux mots d’ordre que sont la « lutte contre l’antisémitisme » et la « défense du sionisme ». Leurs détracteurs les ont qualifiés d’intellectuels « communautaires » ou « communautaristes », dénonçant de la sorte l’exacerbation d’un particularisme identitaire, en l’occurrence juif. On sait par ailleurs que Julien Benda rend raison en ces termes du titre de son célèbre ouvrage : « Comme l’ancien prophète d’Israël, le clerc moderne enseigne aux hommes : « Déployez votre zèle pour l’Eternel, dieu des armées ». Telle est depuis un demi-siècle l’attitude de ces hommes dont la fonction était de contrarier le réalisme des peuples et qui, de tout leur pouvoir et en pleine décision, ont travaillé à l’exciter ; attitude que j’ose appeler pour cette raison la trahison des clercs. » Il semble dès lors aller de soi que notre argument aura pour enjeu de renouveler celui de Julien Benda, autrement dit de mettre en évidence la « trahison » de l’universel qui orienterait les intellectuels dits « communautaires ». Et comme il s’agirait, en l’occurrence, d’« exciter » un particularisme juif, la trahison des clercs apparaîtrait pour ce qu’elle est littéralement, à savoir le retour à « l’ancien prophète d’Israël », qui serait le retour à une forme particulariste du divin (ou de la pensée). Or, précisément, notre argument n’est pas celui-là, puisqu’il s’agira dans cet ouvrage de réfuter que ce courant de pensée soit « communautaire ». C’est aussi pourquoi cet adjectif sera systématiquement placé entre guillemets. Nous soutiendrons en effet non seulement que ce courant idéologique est réactionnaire, et non communautaire (au sens propre cette fois), mais en outre qu’il relève davantage de la trahison d’un particularisme juif – soit une trahison des clercs entendue en un sens rigoureusement adverse : un devenir clerc. Et nous montrerons, au travers de l’examen minutieux d’un choix de textes représentatifs du courant intellectuel dit « communautaire », que ce que nous avons nommé la réaction philosémite est la pièce maîtresse, en France contemporaine, d’une opération idéologique d’envergure visant à imposer le mot d’ordre d’une « défense de l’Occident ».Ivan Segré L’INTELLECTUEL COMPULSIF La Réaction philosémite, 2
L’Intellectuel compulsif est un essai de micro-histoire contemporaine. Ivan Segré se saisit d’un fait symptomatique, réunit une documentation et en propose l’analyse méthodique. Le 24 novembre 2003, Arte diffuse un documentaire israélo-palestinien, Route 181, réalisé par les cinéastes Michel Khleifi et Eyal Sivan. Dès le 29 novembre, Alain Finkielkraut, plus tard suivi par d’autres, soutient qu’il s’agit d’un film antisémite et, pire, d’un « appel au meurtre des Juifs ». C’était en 2003 ; l’affaire dura jusqu’en 2007. Qualifier d’antisémite et d’appel au meurtre des Juifs une œuvre commune israélo-palestinienne, voilà qui exige d’être analysé… Il est donc ici question, à nouveau, de la « réaction philosémite » en France, du judaïsme, mais aussi de la situation israélo-palestinienne : il s’agit, pour reprendre les termes de Daniel Bensaïd, de « mettre l’histoire juive elle-même à l’épreuve de l’histoire palestinienne ». Histoires israélo-palestinienne et juive qui donnent lieu à d’âpres controverses, auxquelles celui que l’auteur nomme ici « l’intellectuel compulsif » prend plus souvent qu’à son tour une part malencontreuse.Extrait de l’ouvrage d’Ivan Segré : L’intellectuel compulsif : « Argument » Avec l’aimable autorisation des Editions Lignes
VIDEO – Ivan Segré: La réaction philosémite (playlist)
AUDIO – Entretien »Là-bas si j’y suis » avec Ivan Segré La réaction philosémite ou la trahison des clercs éditeur : Editions Lignes (22 mai 2009) Qu’appelle-t-on penser Auschwitz ? Préface de Alain Badiou éditeur : Editions Lignes (22 mai 2009) Sur le film d’Eyal Sivan et Michel Khleifi : Route 181. Fragments d’un voyage en Palestine – Israël label : Momento (6 juillet 2004) Écouter l’émission.
Débat aux USA: « Il est temps de rejeter le politiquement correct. La majorité pacifique des musulmans ne compte pas face aux 15% de radicaux qui veulent détruire l’Occident »
Il est permis de contester la rectitude politique, si c’est pour aider la guerre des sionistes contre l’islam et les arabes. Pas besoin d’être sioniste, juste besoin de s’en prendre aux ennemis d’israel, les arabes, l’islam, les antijuifs etc.
DE SOS-RACISME À ÉGALITÉ ET RÉCONCILIATION par Rouge le Renard. Excellente description de la manipulation des banlieues par la « dissidence » au service des intérêts atlanto-sionistes qui ont tout intérêt à diaboliser les banlieues (accusées d’être pleine d’ « islamo-gauchistes ») en les poussant à l’extrémisme complotiste ou islamique.
Insuffisance de la théorie du complot et judéo-bolchévisme (Douguine)
Entretien d’Alexandre Del Valle à Israel Magazine
Europe-Israel: Les convergences des totalitarismes communiste, fachiste (sic) et islamiste
VIDEO – Thomas Guénolé dresse le portrait d’Alain Finkielkraut #ONPC À NE PAS MANQUER! (Émission complète On n’est pas couché)
Finkie: L’Oraison funèbre d’une France encore vivante.
VIDEO – Danse avec le FN
VIDEO – Voyage au coeur de la machine anti-Islam
« Communautarisme », ce mot devenu la clé de toute rhétorique raciste
VIDEO – Attention à B. LeLay, à son apologie du suprémacisme blanc
Télé facho – Bondy Blog Ce blogueur a raison de s’inquiéter de cette droitisation du discours mainstream-télé, car ce dernier ne sert en dernière instance que le sionisme et son combat contre l’ « islamisation ».
Il y a 15 ans éclatait l’affaire al Durah en France et Pallywood… But what really happened? Our video below is as relevant today as it was when we first posted it in 2008. It chronicles the beginning of “Pallywood” – Palestinian efforts to stage false footage for broadcast in the mainstream news.
Il y a encore ces négationnistes juifs qui croient que la tuerie d’Al-Dura est un fake conçu par les médias contrôlés par les pro-palestiniens.
Goldnadel : misère ordinaire de la gauche antiraciste Toujours la fôte à la gôche…
VIDEO – La dissidence, Antisystème, info alternative : symptomes d’une dépolitisation planifiée ?
Hispaniland, un rôle galvanisateur dans la dynamique contestataire de l’ordre mondial Samuel Huntington avait grand peur de l’immigration latino-américaine catholique: « leurs valeurs ne sont pas les nôtres »… En effet ils n’ont pas un très grand respect pour l’impérialisme américano-sioniste.
UN CONSPIRATIONNISTE NOMMÉ TRUMP (…)Soyons précis : Alex Jones n’est pas la source unique de Donald Trump. Quand Trump, quelques jours plus tard, propose d’interdire aux musulmans d’entrer aux Etats-Unis, il s’appuie sur un sondage. D’après ce sondage, effectué auprès de 600 musulmans vivant aux Etats-Unis, 25 % d’entre eux soutiennent le principe du jihad sur le sol américain, tandis que 51 % estiment que oui, les musulmans d’Amérique devraient avoir le choix d’être gouvernés par la charia. Ce sondage a été publié par un think tank fondé par un ancien ministre de Reagan, Frank Gaffney, et à l’origine d’un certain nombre de grandes affirmations conspirationnistes. La rumeur increvable selon laquelle Barack Obama serait secrètement musulman, c’est lui. L’autre rumeur selon laquelle une juge de la Cour suprême voudrait imposer la charia aux Américains ? Encore lui. Plus récemment, l’adolescent de 14 ans expulsé quelques jours de son lycée, car accusé d’avoir fabriqué une bombe ? Toujours lui (l’adolescent, qui fabriquait en fait une horloge, a reçu depuis le soutien de Barack Obama et de Mark Zuckerberg). Ce que révèle l’incroyable popularité de Trump, c’est l’existence de toute une Amérique, persuadée que la presse lui ment, que son président lui ment à la télé, que seul Donald lui dit la vérité, seul contre tous.(…)
Donald Trump Jr. Retweets the ‘Neo-Nazi Movement’s Favorite Academic’ Le clan Trump fait de la pub à Kevin MacDonald, preuve de plus que les juifs sionistes appuyant Trump n’ont pas de problème avec « l’antisémite » MacDonald, car de toute façon selon lui tout le « problème juif » tient au fait que les juifs seraient de dangereux militants de gauche, qui menacent de détruire la civilisation avec leurs idées de gauche. C’est exactement la ligne de pensée de FOX News (Rupert Murdoch, Glenn Beck), qui juge que « Soros contrôle les médias, les politiciens et les et groupes de gauche », que « les médias contrôlés par les juifs sont anti-Israël », ou que « les juifs antisionistes sont des traîtres ». Exactement comme les mccarthyistes d’autrefois qui ne voyaient le problème juif que sous l’angle du « péril communiste ». Pour des idéologues droitards comme Kevin MacDonald, le problème avec les juifs est qu’ils diffusent des idées de gauche! Pour eux tout le discours de gauche n’est que propagande juive (obsession anachronique du « péril judéo-bolchévique ») et la propagande juive se limite au discours de gauche. (C’est bien la preuve que les identitaires ne sont que des droitards qui n’ont jamais vraiment dépassé et encore moins démasqué l’escroquerie totale du clivage duopolistique gauche-droite.) Cette grille de lecture assimile toute idée de gauche à de la pure propagande juive et toute propagande juive à la gauche. Pour MacDonald, tout le problème posé par les juifs tient en une seule phrase : d’un côté, les juifs gardent le nationalisme (Droite) jalousement pour eux-mêmes alors que, de l’autre, ils imposent aux non-juifs le cosmopolitisme international antiraciste (Gauche). Ce n’est pas surprenant de voir le clan Trump–qui est constamment dépeint comme « nazi » (en fait plutôt Alt-Right, droite alternative, droite nationaliste) et cela malgré son alignement sur le sionisme–endosser les thèses de Kevin MacDonald. (Ce même MacDonald qui d’ailleurs voit dans le national-socialisme un « reflet-miroir du judaïsme »!) Le candidat Trump incarne en effet non seulement les thèses d’Alex Jones et David Duke mais également celles de Kevin MacDonald : avec Trump nous avons un quasi « nazi » en mode sioniste et philosémite!
Au fond, McDonald nous explique que c’est la faute des non-juifs si les juifs ont pris le dessus. Selon lui, c’est notre faute puisque nous aurions dû être des « gagnants » (« Winning » comme dirait Trump) et non des faiblards naïfs, gentils et compatissants. Selon lui, la grande victoire des juifs au 20e siècle vient du fait de leur intelligence supérieure, de leur travail acharné (MDR!!), de leurs talents et de leur capacité supérieure à adopter et suivre les « stratégies évolutionnaires » (au sens darwiniste) les mieux adaptées à notre époque, contrairement à nous les non-juifs qui sommes de vrais perdants au regard de sa grille d’analyse des « stratégies évolutionaires ». En affirmant cela, MacDonald nie le fait que les juifs ont obtenu tout ce pouvoir et toute cette richesse par des moyens malhonnêtes comme le mensonge et la manipulation (désinformation, intox), ou illégaux comme le meurtre, l’extorsion, la fraude, le gangstérisme, le trafic illégal, le racket, le prêt usuraire, voire en fomentant des guerres et pire encore, etc. Du point de vue de MacDonald, la source de notre problème est la morale chrétienne et non la puissance juive démesurée et leur richesse phénoménale mal acquise et usurpée. Selon lui, donc, nous devrions imiter les stratégies évolutionnaires juives, car ce sont ces « stratégies évolutionnaires » qui expliquent la victoire de la communauté juive si petite et minoritaire sur la population non-juive pourtant si nombreuse et majoritaire. Bref, pour MacDonald, les juifs ont gagné non par usurpation et abus de confiance, non par le crime et la malhonnêteté, mais tout simplement parce que ce sont des gagnants-nés, autrement dit parce que ce sont eux les meilleurs, qu’ils ont adopté des « stratégies évolutionnaires » intelligentes alors que les nôtres seraient trop stupides, opposées à l’accumulation de richesse et de pouvoir et axées sur la valorisation du travail et sur la maxime chrétienne d’aimer et aider son prochain et pas seulement son ethnie ou sa race. Cette manière de voir se relie directement aux conclusions du livre The Bell Curve, un livre très aimé par les racistes blancs étant donné qu’il affirme l’infériorité du QI moyen des noirs par rapport au QI moyen des blancs. Or ces racistes blancs semblent oublier est que ce livre affirme également la supériorité intrinsèque des juifs sur tout le monde!
Aperçu de l’analyse binaire et ultra simpliste de MacDonald :
CONSTAT DE MACDONALD : « LE NAZISME EST UNE COPIE DU JUDAÏSME (SIONISTE) »
Note:
La France est-elle antijuive? Réponse de P-A Taguieff, dans son nouveau livre (2015)
Ces quartiers français qui se rêvent en Palestine «Une France antijuive?» de Pierre-André Taguieff
Une France antijuive? regard sur la nouvelle configuration judéophobe (2015)
Comparez avec Pascasher (2014) La France antijuive? La gauche antijuive? publié un an plus tôt. On dirait presque que Taguieff a entendu parler de pascasher… ou bien c’est juste que la parodie de pascasher a bien visé. Car évidemment c’est pour se foutre de la gueule des juifs que pascasher titre ironiquement, « La France antijuive? » ou encore « Les médias antijuifs? » ou encore « Les médias juifs antijuifs? ». C’est pour tourner en dérision leur discours extrémiste en montrant à quel point il est exagéré. Aussi, pascasher se fout assez souvent de la gueule de Taguieff et de sa clique… (Il est peut-être pas juif mais c’est à toute fin pratique un intellectuel communautaire pour la communauté juive.)
MÀJ: Taguieff est bel et bien un lecteur de ce blog, voir la note 9 (ci-dessous) dans son dernier torchon Traité de comploLOLogie (on sait comment ça s’écrit mais on veut pas le faire c’est tout, on est gentil mais insoumis de nature):
BONNE NOUVELLE: CORBYN ÉLU À LA TÊTE DU PARTI TRAVAILLISTE
Corbyn chahuté pour ne pas avoir dit « Israël » dans un événement pro-israélien A l’issue d’un discours sur la reprise du processus de paix, le leader de l’opposition a été interrompu par un homme criant « Dites le mot Israël »
Corbyn speech confirmed worst concerns, Labor MK says
Siege of Gaza must end, Jeremy Corbyn tells Labour Friends of Israel
Jeremy Corbyn: 9/11 was ‘manipulated’ In comments that will raise questions about his suitability to lead the Labour Party, Mr Corbyn appeared to blame George Bush and Tony Blair for using the September 11 attacks in New York to allow them to go to war
Corbyn’s conspiracy theory: 9/11 attacks were ‘manipulated’ to make it look like Osama Bin Laden was responsible, says Labour leader
Purge of Jeremy Corbyn Voters Unmasks Britain’s Labour Party
Israel critic heads UK Labour Jeremy Corbyn was elected head of the Labour Party with more than 60% of the vote, in light of friendly relations with Hamas and Hezbollah.
Corbyn may say he’s not anti-Semitic, but associating with the people he does is its own crime
British PM brands Corbyn-led Labour ‘threat to national security’
Jeremy Corbyn, socialist seen as hostile to Israel, elected head of Britain’s Labor Party
Anti-Israel Jeremy Corbyn is new UK Labour leader
Anti-Austerity and Anti-War Jeremy Corbyn elected UK Labour leader
UK: Jeremy Corbyn defeats Jewish Lobby
Victoire du socialiste Jeremy Corbyn, l’anti-Manuel Valls
Le nouveau leader de la gauche britannique milite en faveur de la fin d’IsraëlMême la gauche israélienne dénonce l’élection de Corbyn au Royaume-Uni
Why Jeremy Corbyn Scares British Jews So Much
Jeremy Corbyn is Not Wrong about Trident in the Face of Israel’s Undeclared Nuclear Arsenal
‘New Yorker’ says anti-Zionism is ‘firmly rooted’ in British left, and it’s anti-Semitic
Fourest et la presse israélienne : même combat contre le pro-palestinien Corbyn
Israel Up in Arms over the “Corbyn Threat”
Iceland’s capital votes to boycott all Israeli products
Russia deftly trolls Cameron’s Twitter account after British govt sez Corbyn is ‘threat to National Security’
BBC ‘Anti-Corbyn Bias’ Challenged by 61,000-Strong Petition
VIDEO – Corbyn on Iraq Iran Libya Afghan Wars And Austerity Snippets 2012The Guardian’s Terrible Dilemma over Corbyn. Challenge to the “Red Neoliberals”
A Zionist’s flawed argument against Jeremy Corbyn
Jeremy Corbyn v. David Cameron
British Army would use “Whatever Means Possible” should Jeremy Corbyn become Prime Minister. British General
Caroline Fourest à nouveau épinglée par @rrêt sur images
Corbyn et ses « amis intégristes » : Fourest ou l’art du raccourci
GB : Une baronne anti-israël envisagerait de rejoindre les Travaillistes
“By Means Fair or Foul”: The British Army versus Jeremy Corbyn
Sur ce blog:
Les nationalistes Staline et Poutine contre le mondialisme des trotskistes et des financiers
Les médias « antijuifs » et autres théories du complot… Mise au point de Guillaume Weill-Raynal et de Marc-Édouard Nabe
Vers une collaboration entre Occidentaux et peuples colonisés basée sur l’antiracisme et l’anti-impérialisme, solution finale à l’emprise des loges et leur démocratie de marché
Les chèvres de Judas mènent le mouvement de vérité à l’abattoir
L’ENNEMI INTÉRIEUR – LES CHÈVRES DE JUDAS
Le mouvement juif Néo-conservateur : du trotskisme au bellicisme sioniste
Le Prof Kevin McDonald et Geert Wilders dans le même lit ; Himmler n’aurait pas toléré
Le maccarthyisme: de l’humour juif
11 septembre, points de détail et idiotie conspirationniste
Waffen SS: la diversité positive
Le vol des brevets des nouvelles technologies allemandes et l’opération Paperclip
Bush, Rockefeller, Rothschild et Hitler
Le mythe des origines juives d’Hitler et de plusieurs membres importants du gouvernement nazi
Du mythe des nazis « pantins de la ploutocratie internationale »
Du mythe des « nazis pro-Israël » et de ceux qui voient des complots partout…
Des faux nationalistes: sionistes, autant anti-nazis qu’anti-IslamUne historienne à découvrir: W.K. sur le « racisme nazi »
La théorie du complot reptilien extra-terrestre de David Icke est-elle anti-juive?