La crise du covid a accentué un clivage psychologique et social autour de la question de l’autorité de la science médicale. L’ultimatum a été posé ainsi: « ou bien vous vous soumettez aveuglément à l’autorité de la science ou bien vous rejoignez le monde miteux et hors la loi des sectes et autres rebelles antisociaux plus ou moins dangereux ». On nous force à choisir entre ces deux options comme s’il n’y avait d’autre possibilité, or le simple bon sens permet de voir qu’il existe quantité d’autres possibilités. Ce choix qui nous est imposé promet de créer davantage de problèmes, puisque les deux positions alternatives (Science monolithique vs Sectes fanatiques) sont mensongères, dès lors le choix est vicié à la base.
Nous avons discuté précédemment de la récupération du conspirationnisme (antivax ou autre) à des fins politiques et économiques: politiquement droitistes (nationalistes ou impérialistes), culturellement théocratiques et économiquement antisociales (capitaliste prédateur). Cela s’intègre dans le projet de récupération des religions, surtout des organisations chrétiennes, et des sectes en général par la droite politique et des grandes fortunes capitalistes industrielles, tel que commandé par le Pentagone après la Seconde Guerre mondiale pour assurer l’hégémonie du modèle économique américain. L’influence sectaire sur le conspirationnisme n’est en quelque sorte que la mise à jour, à l’ère d’internet, de ce vieux programme de récupération de la religion par des groupes intérêts politiques et économiques au service du gouvernement américain, plus particulièrement la Défense. Les sectes et les religions sont ainsi devenues de plus en plus des outils de manipulation psychologique et de « destruction créative » sociale pour des groupes de l’ombre et leur agenda politique et économique. Peu de gens se questionnent sur l’origine réelle des intox droitistes (anti-« théorie critique », anti « marxisme culturel », anti-woke, anti-antiraciste, anti-antifa) circulant sur les réseaux sociaux. Dans l’arène politique, ce sont souvent des sionistes comme le gouverneur de Floride Ron DeSantis ou le sénateur Rand Paul (fils du célèbre Ron Paul) qui attirent l’attention visiblement pour diriger le mouvement patrite ou dit « de vérité ». Le néocon sioniste DeSantis a passé une loi interdisant le boycott d’Israel (BDS), il milite pour toutes les causes antisociales (anti-communistes) et spécialement anti-gouvernement cubain. DeSantis propage l’obsession anti-woke, anti-LGBTQ, accusant les éducateurs de faire du « grooming » s’ils parlent d’orientation sexuelle (idée débile reprenant le délire de Qanon, qui accusait les démocrates progressistes d’être globalement pédophiles, or on sait maintenant que QAnon a été conçu par le même État profond qu’il prétendait dénoncer). C’est effrayant de voir comment la lutte contre les restrictions sanitaire et la vaccination obligatoire a fini par donner comme crédit à cet homme très louche (probable atout de la CIA, selon ce qu’on peut voir de son historique militaire plein de trous, exactement comme Buttigieg). DeSantis passe maintenant pour un héros libertarien du mouvement trumpien mais en mode ouvertement néocon et sioniste, comme l’expliquent Abbie et Robbie Martin dans leur récente émission de Media Roots Radio.
D’autres sont directement et plus ou moins intensément reliés à Jeff Epstein et Ghislaine Maxwell, c’est le cas par exemple d’Elon Musk et RFK Jr. Mais à l’arrière-plan, on trouve souvent à l’origine des sectes de la CIA, plus ou moins proches des sionistes, comme la secte Moon (fasciste religieux), Falun Gong (anti-communiste chinois), les Mormons (libertarien anti-gouvernement), l’Église de scientologie (idem), etc. Le Council for National Policy, organisation politique et think tank moins connu que le Council on Foreign Relations mais non moins influent, travaille avec les groupes religieux-sectaires dans un objectf commun de propagande droitiste. Pratiquement toute la droite américaine en fait partie. Le CNP a été fondé par un chrétien évangélique sionist très influent, Tim LaHaie (proche de la pensée de Pat Robertson), sur la ligne de l’organisation conspirationniste John Birch Society, créée par de puissants intérêts corporatistes et par des jésuites et d’autres fanatiques chrétiens de droite. Le président Trump fut typiquement le président rêvé par la JBS, d’Infowars et de FOX, un peu comme le fut avant lui le candidat présidentiel Barry Godwater. Le CNP fut intimement impliqué dans les opérations Contras, des escadrons de la mort en Amérique latine au service du Pentagone dans sa « lutte contre le communisme international », comme le révéla le scandale Iran-Contra (qui dévoila également l’existence d’une liste de dissidents, Maincore, visant à établir leur profil psychologique, un peu comme Cambridge Analytica des décennies plus tard). Les Contras étaient financés par la CIA avec de l’argent sale de la drogue, de la prostitution, le trafic de personnes et pire encore. Selon de nombreuses auteurs, incluant Victor Ostrovsky, Michael Collins Piper et Andrew et Leslie Cockburn, l’État d’Israël a repris plus tard le contrôle de l’entraînement des Contras (de même que des moudjahidines, dont certains éléments se retrouvèrent plus tard à constituer Al-Qaida); cela à la même époque où Israël et la diaspora sioniste opéra son virage droitier, voire extrême-droitier, tel qu’exposé dans maints articles de ce blog.
Josh Reeves a documenté il y a dix ans l’influence du Council for National Policy à l’intérieur même du mouvement dit patriotique ou nationaliste américain, voire du mouvement « de vérité » post-9/11, beaucoup plus récent. Plus récemment, il débusquait dans The Spellcasters (15$US) l’influence scientologique qui imprègne la quasi totalité du mouvement dit « de vérité ». Ce qui lui a valu d’être mis au ban d’internet, son travail étant presque introuvable sur les moteurs de recherche google ou youtube. Ces connexions vont bien plus loin encore que les célèbres scientologues ou parascientologues ou ex-scientologues que sont Louis Farrakhan, Jim Marrs, Alex Jones, Oliver Stone. Il faudrait ajouter à cela l’OTO (voir Crowley), qui est influencé par la scientologie au moins depuis l’infltration de l’agent du renseignement militaire de la Marine du nom de L. Ron Hubbard. Sur ce blog, nous avons pointé du doigt l’influence de l’OTO dans la mouvance Trump, or il s’agissait vraisemblablement d’un paravent de plus pour la scientologie, d’autant plus que Trump lui-même a des liens très significatifs avec ce groupe. Ce blog a également documenté l’influence et l’infiltration de groupes nationalistes par des scientologues, souvent pour le compte de la CIA mais surtout d’Israel et du Mossad, comme le soulignait Michael Collins Piper depuis le début des années 1980, et surtout en référant à l’exemple de la destruction de l’IHR qui est du ressort de sa propre expérience personnelle (voir le document Coup d’État, de Michael Collins Piper, disponible sur balderexlibris).
Josh Reeves 2-1-20 This is War (Sur le livre « Comment Trump a sauvé la scientologie » écrit par un « spin doctor » scientologue)
Josh Reeves: L.Ron Hubbard built the Georgia Guidestones (La source de cette allégation est le même homme qui a révélé l’existence des huit niveaux OT, de même que la croyance ahurissante qu’un méchant extraterrestre impérialiste intergalactique « Xenu » serait nul autre que le Christ.)
Le plus important documentaire de Josh Reeves, sur le Council for National Policy
Le super sioniste antisocial « libertarien » Ron DeSantis est considéré comme un héros du côté des obsessifs antivax et anti-restrictions pseudo-covidiques. Il s’est fait prendre en photo aux côtés d’un Chabad Loubavitch Dr Zelenko, qui tenait récemment, dans un article très lu, des discours radicaux contre la vaccination anti-covid et l’influence des grosses familles riches sur les politiques sanitaires et Big Pharma. Il semble que ce sont de plus en plus les pires sionistes (comme le « libertarien » Rand Paul) qui prennent le contrôle de ce mouvement miteux et sectaire. Récemment, Owen Shroyer d’Infowars (récemment coincé comme petit joueur agitateur des émeutes du 6 janvier au Capitole) faisait la promotion de ce texte incendiaire écrit par Zelenko. Ce dernier fait entre autre la promotion des (7) lois de Noé… un programme radicalement antichrétien introuvable dans la Bible. Écouter:
D’un autre point de vue, il y a également lieu de s’inquiéter d’un éventuel « retour parousique du messie » Trump, car les signes semblent l’annoncer… d’après ce que Donnie Darko (@DonnieDarkened) a rassemblé comme info. Il semble que quelque scripteur shakespearien, auteur de cette fable convenue qu’est l’histoire officielle, souhaiterait faire de Trump « l’homme de péché » dont parle la Bible. Josh Reeves sonnait l’alarme il y a quelques années sur le fait que les forces occultes nous préparent un système dictarorial extérieurement très effrayant seulement pour mieux mettre en valeur leur « sauveur » qui le vaincra en apparence (apparence mensongère puisqu’ils sont unis derrière le rideau), afin de pouvoir élever leur prétendu sauveur au rang du retour du Christ lui-même.
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Il se pourrait bien que toutes ces distractions récentes, que ce soit les nouveaux variants ou la vaccination ou la controverse électorale américaine, soient en train de nous faire oublier qu’on est lentement mais sûrement en voie de faire face à un nouveau scandale des armes de destruction massive irakiennes, avec ces appels à une commission d’enquête sur les origines du virus, menant à des inspections des installations chinoises à Wuhan et possiblement une guerre mondiale allant au-delà des sanctions et possiblement, dans le futur, jusque dans l’espace.
Les appels à une commission d’enquête suggèrent déjà d’avance que la fuite probable viendrait du laboratoire de Wuhan. C’est dire qu’on s’en va tout droit vers une inspection d’armes de destruction massives à laquelle la Chine devra se soumettre sous peine de subir les foudres de la communauté internationale. A minima, des milliards de dollars seront exigés en dédommagement, ce que la Chine refusera certainement de payer, probablement elle-même déjà convaincue de la responsabilité centrale des Américains dans l’éclosion de cette pandémie. En effet, Pékin accuse depuis le début de la crise les États-Unis d’avoir un rôle central dans l’éclosion de la pandémie. Cette nouvelle était connue depuis le début et c’est tout à fait plausible. La Chine pourrait très bien avoir raison à ce sujet. La grippe espagnole fut probablement répandue par des militaires américains. La Corée du Nord a accusé les États-Unis d’avoir délibérément fuité l’Ebola en 2014.
La différence avec la guerre en Irak est que l’opinion publique est déjà préparée d’avance, conditionnée à avoir peur de la Chine, ses espions, ses appareils électroniques omniprésents à l’Ouest, ses applis, sans parler de la persécution des Ouighours dénoncée comme génocide, etc.
L’appel à créer une commission d’enquête comme celle du 11 septembre va probablement conduire à ce que se multiplient les demandes d’inspection d’ « armements de destruction massive » en Chine, comme en Irak avant l’invasion de 2003… Et on sait où ça mène… On va peut-être avoir droit à une nouvelle mouture du vieux mensonge des ADM irakiennes… Et le pire est que cette fois les libéraux et les plus extrêmes « woke » ne seront pas opposés à la guerre. En effet l’opinion publique a été longuement préparée et travaillée pour y ancrer profondément la peur paranoïaque de la Chine (-persécution des Ouighours, accusations d’espionnage international via les applis chinoises comme TikTok, via le matériel électronique fabriqué en Chine, etc.)
Ce sont des grands médias menteurs qui ont obtenu ces fuites de courriels du gouvernement, soit le Washington Post et Buzzfeed. Comment être sûr alors que cette nouvelle poussée en faveur de la théorie de la fuite d’un laboratoire n’est pas elle-même une sorte d’opération psychologique du renseignement américain? Le renseignement est passé maître dans l’art de brouiller les pistes et de faire accuser des hommes de paille plus ou moins innocents. Bien sûr, Fauci est une crapule de haut niveau, ses multiples entorses à l’éthique élémentaire au service des dominants (le 1%) sont connues depuis des décennies, mais les attaques contre lui ont contribué, à le faire passer au contraire pour un martyr de la science et à le blanchir aux yeux du grand public (tout comme les attaques médiatiques contre Trump ont renforcé sa crédibilité auprès d’une large part du public qui ne croit plus un mot des médias). On dirait que certains du côté du renseignement ont décidé de faire de lui un homme de paille pour valider le grand récit xénophobe et enfumeur actuel des médias droitiers (ex: FOX) selon lequel « les États-Unis sont sous le contrôle de la Chine » par le biais de Fauci, de « l’OMS sous contrôle chinois », de la nouvelle administration Biden, etc., cela en symétrie presque parfaite avec le Russiagate, également créé et publicisé par le renseignement, qui devait nous convaincre que « les États-Unis de Trump sont sous contrôle russe ».
Il ne faut jamais faire confiance aux grands médias quand de telles fuites sont mises de l’avant par eux (ici il s’agit du Washington Post et Buzzfeed). Il s’agit probablement d’une fuite voulue par des gens du renseignement désireux d’alimenter la haine et la peur du public envers la Chine, de nous entraîner dans une guerre froide contre la Chine, en la désignant à priori (avant d’en avoir la preuve) comme responsable d’une fuite d’un virus possiblement d’origine artificielle en provenance d’un centre de recherche de Wuhan sur les coronavirus, alors que quantité d’autres scénarios sont possibles. Sans oublier le fait que la recherche à Wuhan était sous les ordres du gouvernement des États-Unis, financée avec de l’argent américain, menées en coopération avec des compagnies privées américaines du complexe militaro-industriel.
Depuis le début de la pandémie, Steve Bannon, défenseur de l’Europe judéo-chrétienne et fier ami d’Israël, tient exactement ce discours consistant à blâmer la Chine. Une manière facile d’ignorer nos propres problèmes domestiques en pointant dans d’autres directions, récupérée ensuite par des fauteurs de haine et des fauteurs de guerre néocons. Quantité de personnalités influentes néoconservatrices nostalgiques de la guerre froide, d’influents think tanks comme le Committee on the Present Danger—China, des sectes comme les Moonies (réseau FOX) et même le conspirationniste Alex Jones qui hait les « Chi-coms » et les Marxistes internationaux, cherchent des façon de nous mener en guerre contre la Chine ou nous considèrent déjà en guerre contre elle (c’est vrai au moins au niveau des sanctions).
Certains semblent vouloir se servir du Dr Fauci comme homme de paille pour déclencher une guerre froide contre la Chine on dirait bien. J’ai souvent eu l’impression que le président Trump gardait Dr Fauci en poste pour pouvoir faire de lui son homme de paille, le bouc émissaire de ses propres échecs en matière de santé publique, ou peut-être de quelque chose d’encore pire mais qu’on ignore…Cela pourrait aller dans la direction suivante: on fera de Fauci (avec la fuite de ses courriels qui révèlent certains de ses mensonges) le bouc émissaire de la droite patriote, pour que la droite patriote le voie comme un agent au service de la Chine, de l’OMS sous contrôle chinois, preuve que le gouvernement américain serait sous contrôle chinois depuis Obama (que Rand Paul a combattu en joignant le Tea Party), etc. « Les USA sous contrôle chinois », c’est le discours de Tucker Carlson (FOX), qui a beaucoup d’influence sur les « patriotes » et les populistes. Les médias quant à eux vont rejeter le blâme sur la Chine directement.
Ce n’est pas une défaite pour les tireurs de ficelles qu’on commence à parler maintenant des origines du virus. C’est probablement une nouvelle PsyOp qui fait évoluer le grand récit de PsyOp déjà en cours. La théorie a d’abord été diffusée via les réseaux Trump-Infowars-Bannon et maintenant les grands médias nous disent que c’est permis de le croire, que ce n’est plus considéré comme une folle théorie du complot. Maintenant, les médias et le gouvernement américain changent leur fusil d’épaule et nous « révèlent » que les théories du complot sont parfois confirmées. C’est la CIA, l’armée et le gouvernement qui viennent nous dire qu’il est maintenant permis de croire à cela alors qu’hier c’était encore une théorie du complot complètement folle et taboue. Notre perception de la réalité va-t-elle se conformer aux ordres de la CIA, ce n’est pas impossible, puisqu’ils le font déjà chez la plupart d’entre nous sans qu’on s’en rende compte. Ce revirement surprenant fait penser à un piège de psychologie inversée, nous amenant subtilement à voir la « nécessité » d’un changement de régime en Chine, ou au moins d’exiger des milliards en dédommagement si la commission d’enquête » révèle que « c’était entièrement leur faute ». C’est un peu comme si le mensonge des armes de destruction massives irakiennes avait été avancé d’abord par des théoriciens du complot avant d’être « confirmé » par les médias et le gouvernement. (C’est un peu ce qui s’est produit en fait à l’époque: le mensonge des ADM vient des néocons paranoïaques qui endossaient par ailleurs plein de théories du complot délirantes sur le compte de l’Irak de Saddam Hussein, par exemple la théorie que Saddam avait orchestré l’attentat d’Oklahoma City, mais heureusement Clinton n’avait pas suivi leur recommandation pour un changement de régime en Irak).
Les appels à une véritable commission d’enquête suggèrent déjà d’avance que la fuite probable vient du laboratoire de Wuhan. Il se peut que tout ce qui se passe soit en train de nous faire oublier, comme la controverse électorale américaine de 2020, qu’on est lentement mais sûrement en voie de faire face à un nouveau scandale des armes de destruction massive irakiennes, avec les appels qui commencent à se faire entendre pour la création d’une commission d’enquête sur les origines du virus, menant éventuellement à des inspections des installations chinoises à Wuhan et possiblement une guerre allant au-delà des sanctions et possiblement, dans le futur, jusque dans l’espace (du moins on nous prépare à ce scénario de film, ou plutôt étaient-ce tous ces films qui nous y préparaient?)…
Sur la « libération de la parole » des grands médias qui acceptent maintenant l’idée que le virus a peut-être fuité d’un labo (de Wuhan ou ailleurs): Jon Stewart a développé l’idée à l’émission de Stephen Colbert (NBC), soulignant la coïncidence de l’éclosion de l’épidémie à Wuhan, dans la région qui comporte étrangement un site ce recherche sur les coronavirus. Il juxtapose ça avec la demi-admission des officiels de la santé publique US quant à la possibilité d’une origine artificielle.
C’est pour rire, ce sont deux humoristes, mais ils ont pour mission de livrer les nouvelles d’actualité à la jeunesse qui ne regarde bien souvent aucun bulletin de nouvelles traditionnel mais uniquement Stephen Colbert ou le Daily Show (autrefois avec Jon Stewart). Ça veut peut-être dire que le gouvernement utilise le pouvoir doux, soft power, des médias et des émissions de divertissement pour creuser un sillon dans l’esprit des foules qui va nous conduire comme hypnotisés vers une guerre contre la Chine ou au moins davantage de xénophobie haineuse contre la Chine.
Tucker Carlson devient une grande vedette, sur les ondes de FOX. Carlson est un néocon, un traître et un pion ami de la CIA, comme son père qui tenait un haut poste à la CIA. Il tente de prendre le contrôle de la dissidence et de ses idées libertaires de droite aux États-Unis, comme l’ont remarqué tous les bons chasseurs de néocons. Les néocons sont en train de changer leur image en se faisant passer pour des défenseurs des libertés dans la lutte contre la tyrannie communiste, woke, etc. C’est toujours diviser pour régner. En fait les grands médias et les réseaux sociaux sont exactement sur une ligne droitiste antisociale et font semblant de devenir woke pour marquer des points dans l’opinion publique en envoyant des signaux de vertu. Intéressant d’apprendre que Rachel Maddow et Tucker Carlson ont travaillé ensemble (ils se ressemblent en plus!) il y a 15 ans, maintenant ils ont chacun leur créneau complémentaire pour faire des médias leur zone de guerre à eux : elle pousse la gauche à haïr la Russie (« la Russie nous contrôle ») pendant qu’il pousse la droite à haïr la Chine (« la Chine nous contrôle »). Ça sent fort la CIA, même si techniquement ils ne sont peut-être pas employés par la CIA, ils diffusent leur propagande quand même.
Trump a réveillé des gens au sujet des élites dominantes contre le populisme, et de la nécessité de confronter ce problème. Mais il a fait tout cela de la pire manière qui soit : en agent provocateur pour qu’on idolâtre ces vérités, en faisant en sorte que ses fans se radicalisent jusqu’à virer fou au Capitole. Il les a remontés et fanatisés au point de faire peur au monde au général, ce qui va se retourner inévitablement contre le mouvement sain et équilibré de recherche libre et indépendante. Le mouvement des chercheurs ordinaires et indépendants avait déjà un problème de proximité avec les milices et c’est devenu pire avec le phénomène Trump, car il s’est trouvé à accueillir dans son camp des milliers de militants politiques radicalisés, trumpiens ou autre, qui se disent chercheurs de vérité mais qui sont souvent des crinqués à faire peur et font parfois des gestes qui relèvent du terrorisme selon la loi du pays. Si ces révélations créent des troubles ou un prétexte pour des faux troubles déclenchés par des provocateurs, les chercheurs indépendants et les radicalisés politiques seront mis ensemble dans le même sac ou au moins le même salissage de réputation dans les médias.
Dans la série des « théories du complot » que les médias nous disent maintenant qu’on a le droit de croire et qu’on a même de bonnes raisons de croire:
* Les attaques avec des armes électromagnétiques contre des individus, ex: diplomates dans des ambassades, etc.
* Les ovnis
* L’origine artificielle du covid
etc.
Certains semblent faire exprès de nous rendre paranos. L’idée jusqu’ici assimilée à une théorie du complot que des armes technotroniques seraient utilisées contre des individus ciblés par divers niveaux de gouvernements est maintenant confirmée dans les grands médias, il ne s’agit plus d’une théorie du complot interdite, il y aurait donc complot avéré. Robbie Martin et son invité gumby4christ font remarquer que cela ressemble énormément à des symptômes de schizophrénie de croire qu’on est visé spécifiquement par des armes électromagnétiques… Ça va rendre des gens fous! Ce qui peut ensuite servir un agenda de chaos généralisé multiforme multifactoriel… justifiant en bout de ligne encore plus de contrôle. Et ça va pas juste aggraver l’état des fous et causer des crises de folie, ça va rendre une grande partie de la population paranoïaque! C’est à cela que me faisait penser la théorie des chemtrails: il y a peut-être un niveau de PsyOp, probablement militaire, qui propage d’un côté des théories du complot et fabrique d’un autre côté des raisons objectives de croire à diverses théories du complot, pour brouiller les pistes au maximum et faire un maximum de recrutement dans le camp conspi débile qu’ils contrôlent (pratiquement tous les sites conspis sont de l’opposition contrôlée, autrement dit CIA ; l’une des meilleurs astuces de manipulation est d’aborder les gens en disant qu’on veut leur « révéler les mensonges » et « dénoncer la désinformation ».) Celui qui avait témoigné contre Assange en lien avec l’accusation de piratage portée contre lui vient d’admettre que c’était faux. Mieux, on apprend que ce faux témoin est un informateur du FBI reconnu coupable d’attouchements sexuels sur neuf garçons et de diverses fraudes.
Question: est-ce possible que ce retournement spectaculaire dans le feuilleton Assange soit encore un scénario scripté, voulu par certaines autorités qui voudraient par exemple radicaliser un certain mouvement conspi en réhabilitant Assange… (Un certain mouvement conspi comme QAnon, qui s’est fondé en partie sur le prétendu pizzagate auquel Assange-Wikileaks avait donné du crédit pour notamment nuire à l’élection d’Hillary Clinton. Les Qanoniens croyaient en effet que Trump allait libérer Assange, étant donné que sa victoire était due en bonne partie à l’aide d’Assange-wikileaks et de ses « révélations » sur la corruption des Clinton.) Cela arrive quelques jours à peine après que le mouvement Qanon ait repris vie suite au suicide de McAfee, faux suicide selon Qanon, et qui porterait la signature de Q.
On dirait bien que l’objectif de cette guerre psychologique sur tous les fronts, en particulier dans les médias du pouvoir et les médias dits alternatifs, est de faire en sorte qu’on ne puisse plus jamais faire la part des choses dans l’information qui nous est servie, que tout soit brouillé au maximum, de nous tenir dans la confusion la plus totale, pour qu’on abandonne toute tentative de comprendre et qu’on se soumette aux experts, à ceux qui pensent à notre place, qui nous diront à l’avenir que penser de ceci ou cela, sans explication autre que « c’est pour notre bien ». Là est probablement le plus grand complot: dans la multiplication des grands récits, grands récits qui entrent forcément en conflit les uns avec les autres. Les informations vraies sont mélangées avec du faux, ou présentées par des charlatans, et les informations déboulent à une telle vitesse que pesonne n’a le temps de se former à juger ces faits de manière autonome. Tout est fait pour que le jugement individuel autonome soit court-circuité par la méfiance, le rejet viscéral et la soumission à l’autorité. Le jour où les grands médias diront la vérité, peu de lecteurs des médias alternatifs seront prêts à reconnaître cette vérité, peu éviteront le réflexe de rejet automatique, très rares seront ceux qui pourront faire la part des choses et juger par eux-mêmes. Il est de plus en plus difficile de faire preuve d’objectivité en reconnaissant la réalité, car nous sommes de plus en plus conditionnés à condamner ceux qui ont une opinion contraire à la nôtre. Il n’est pas juste ni sensé de rejeter la totalité d’un discours seulement parce que c’est un menteur qui nous l’indique. Faire la part des choses permet ensuite de mieux cerner la stratégie de récupération de ces vérités par les menteurs. Puisqu’un bon menteur ment le moins possible, il importe de ne pas rejeter automatiquement tout ce qu’il dit.
Il faut jamais oublier que l’ère post-vérité qui a commencé avec Trump (ou avec Sunstein sous Obama) est celle de la méfiance radicale vis-à-vis des médias de masse et croyance de plus en plus forte dans les théories conspis qui se démocratisent à un rythme fou! La nouvelle propagande doit impérativement compter avec cet état de fait, elle se faufile maintenant en des endroits insoupçonnés pour se faire valoir. Ainsi les médias alternatifs et conspis sont investis par des désinformateurs du gouvernement qui y font désormais passer leurs messages, puisque les médias alternatifs ont maintenant davantage de crédibilité aux yeux d’une part grandissante du public en général. Ce qui se passe ici, avec cet informateur qui prend la parole enfin, ne peut pas être un hasard et cela sert probablement certains plans qu’on ignore. Certaines théories sont probablement fabriquées exprès pour fins de propagande, manipulation, fabrication du consentement, montées et gonflées volontairement un certain temps et ensuite récupérées lorsque les fruits sont mûrs pour la cueillette (« mensonge dénoncé et vérité enfin révélée »=crédibilité supérieure=le meilleur slogan de vente pour un récit journalistique ou conspi). Avec la tuerie de Sandy Hook, un tas de gens conspis se sont mis à croire que des acteurs de crise créent toutes les nouvelles importantes et que toutes les nouvelles sont fausses en dehors des médias alternatifs diseurs de vérité. Ce qui est fort probable en revanche c’est que les médias en général, de masse ou alternatifs, sont pleins d’acteurs. Quand on réfléchit au fait que des acteurs du gouvernement (ou de firmes privées) dirigent probablement le mouvement des médias alternatifs et conspis, on comprend qu’il faut se méfier du discours simpliste disant que les médias de masse mentent et que les médias alternatifs disent la vérité, car les désinformateurs ont compris depuis longtemps cet état de fait, qu’on ne fait plus confiance aux médias de masse et qu’on finit par croire l’inverse de ce qu’ils disent. Ils ont changé de stratégie, ils ont évolué mais notre compréhension des choses n’a pas évolué.
Avec la tuerie de Sandy Hook, une part de la culture conspi s’est mise à croire des idées délirantes, par exemple que des acteurs de crise créent toutes les nouvelles importantes, qu’en définitive toutes les nouvelles sont fausses en dehors des médias alternatifs diseurs de vérité. Ce qui est fort probable, en revanche, c’est que les médias en général, de masse ou alternatifs, sont remplis d’acteurs. Quand on réfléchit au fait que des acteurs du gouvernement (ou de firmes privées) dirigent probablement le mouvement des médias alternatifs et conspis, on comprend qu’il faut se méfier du discours simpliste disant que les médias de masse mentent et que les médias alternatifs disent la vérité, car les désinformateurs ont compris depuis longtemps cet état de fait, ils ont compris qu’on ne fait plus confiance aux médias de masse et qu’on finit par croire souvent l’inverse de ce qu’ils disent. Ils ont changé de stratégie, ils ont évolué mais notre compréhension des choses n’a pas évolué.
Et si ce réflexe consistant à ne plus faire confiance aux médias était un réflexe conditionné induit par une influence du genre des opérations de manipulation psychologique? C’est un fait que les services secrets sont en guerre contre les médias, et le président Trump a été ovationné debout par les gens de la CIA durant son discours contre les médias, pour lequel la CIA l’avait invité. La présidence Trump est elle-même une conséquence du fait que la population ne croit plus en l’autorité de médias, lele croit même souvent l’inverse; ainsi un fin manipulateur, adepte de psychologie inversée, saura récupérer la haine déversée sur lui par les grands médias, car cette haine de la part d’une source discréditée comme les grands médias aura pour effet de renforcer sa propre popularité auprès du public réel, qui en a assez des médiamensonges. Le rejet des médias par le peuple déçu a ainsi été récupéré par la CIA. La relation hostile mais symbiotique entre Trump et les médias, leur guerre apparente, chacun prenant l’autre pour Nemesis et pour repoussoir, s’avérera une stratégie effroyablement efficace.
Relation symbiotique: les médias avaient besoin de Trump pour reconquérir et divertir le public.
Société du spectacle: Trump s’est mis en scène comme un tueur de médias pour cacher sa complicité et sa relation symbiotique avec eux. Ils vont s’attaquer mutuellement pour gagner en crédibilité et pour monter une partie de la population contre l’autre, le tout orchestré par la CIA.
Relation symbiotique: Trump s’est servi des médias comme ils se sont servis de lui. Ils ont regagné en popularité grâce à lui et lui a été élu grâce à eux.
Les néocons parlent depuis longtemps d’internet et de l’info-espace comme une zone de guerre, où ils pourront littéralement mener des attaques militaires. La guerre contre Assange et Wikileaks étant un aspect de cette guerre contre les médias, contre le simple travail de libre recherche indépendante.
Dit autrement, ils détestent tous ceux qui ne lisent pas les médias dominants ou ne veulent pas les croire, c’est pourquoi ils polluent et empoisonnent les autres médias et surtout les médias conspis avec de mauvaises infos, récupérant souvent la colère populiste pour la retourner en une soif d’inquisition contre une cible choisie. Ils profitent du fait qu’on croit plus ou moins aveuglément ce qui sort des médias alternatifs, en rejetant par réflexe les grands médias.
Si l’on exerçait notre esprit critique et qu’on avait toujours la méfiance qui est normalement de mise quand on examine les propos d’un politicien ou d’un média de masse ou alternatif (on dirait que depuis Trump cette méfiance s’est amenuisée), on se rendrait compte que la rébellion hautement médiatisée contre les mesures sanitaires et la vaccination quasi-obligatoire semble s’intégrer à un courant réactionnaire droitiste autrement plus vaste et déjà hautement médiatisé, qui a émergé ces dernières années partout où la CIA exerce son influence libertarienne-droitière patriotique, que ce soit dans les limites du débat public ou à la marge dans la culture conspi. C’est l’aire d’influence FOX News et RT/Sputnik, liée à l’influence russe réactionnaire illibérale et antisocialiste, anti-rectitude politique (anti-« woke »), férocement anti-Chine, comme le gouvernement des USA et du R-U. Même l’Allemagne subit cette influence par ses relais hyperlibertariens, qanoniens et extrême-droitiers.
Tout cela relève uniquement d’une tentative de diviser le peuple à nouveau en gauche et droite, en une droite décomplexée se posant en saints martyrs face à leurs prétendus oppresseurs inquisiteurs de gauche woke, alors que les deux camps sont secrètement appuyés par la CIA. Et cela alors que jusqu’ici tout le monde du 99% s’entendait sur le fait les politiciens à gauche et à droite sont tous vendus aux intérêts du 1%.
Certains dans le 1% veulent créer du chaos dans le 99%, pousser le peuple à bout pour qu’il s’entredéchire, qu’il se prenne à la gorge les uns les autres. Cette division du peuple qui se retourne contre lui-même est une astuce pour lui fait faire le sale boulot de destruction voulu par le 1%.
C’est un immense mensonge évident pour quiconque a un peu de culture d’affirmer que « la gauche ne subit pas de censure, c’est la droite et seulement la droite qui est visée ». En fait pendant des décennies, la guerre froide et la paranoïa anti-communiste a fait en sorte que des milliers de gens se sont retrouvés sans emploi, ostracisés, mis sur une liste noire, victimes de dirty tricks de la part des autorités. Aujourd‘hui encore un militant socialiste ou syndicaliste sera visé par les services secrets et la police fédérale qui essaieront de le piéger (dirty tricks). Ces faits sont connus mais le public « dissident » n’est pas très cultivé et ignore largement cette réalité historique. Les néocons tentent de faire croire à la dissidence et tente de recruter dans le grand public en disant que la culture de l’annulation est une chose de gauche visant la droite. Faux : durant la guerre en Irak, alors que la France dite gauchiste protestait contre cette guerre illégale, les USA ont annulé les French Fries, pour les appeler Freedom Fries. Des milliers de gens innocents ont subi la culture de l’annulation anti-communiste dans le prétendu monde libre durant les années de la guerre froide et même après. L’accusation d’antipatriotisme permettait de fermer le clapet de ces résistants antiguerre qui transcendaient les clivages gauche droite.
La culture de l’annulation est un concept avancé par la droite pour marquer des point de propagande. Les néocons et les sionistes ont introduit ce concept dans le débat afin de préserver leur propre liberté de propagande et pour recruter ceux qui autrement aurait pu être tentés d’appuyer BDS ainsi que l’annulation de tout ce qui enfreint l’éthique élémentaire, bien au-delà de la culture et du débat public. Les néocons ont su furtivement influencer le débat sur la liberté d’expression face aux réseaux sociaux prétendument « de gauche » dans l’objectif de recruter à droite, au sein de la droite sioniste, pour retourner la population contre BDS qui relève d’une saine culture de l’annulation bien guidée et éthique. Les néocons ont détourné le débat de la lutte populiste pour le socialisme ne un débat pour la liberté d’Expression. Les néocons réclament en effet le droit de défendre leurs vues rétrogrades et débiles pro-israéliennes ou pro-empire américain, déguisé en occidentalisme. Pendant ce temps, pendant qu’on parle de liberté d’expression opprimée, plus personne ne parle du droit à la vie privée et de la propriété des données personnelles volées par les médias sociaux collabos du gouvernement et même de gouvernements étrangers. On ne parle plus que de liberté d’expression réprimée par les censeurs de gauche qui tiendraient les médias et plus du fait que BDS est en train d’être écrasé et criminalisé (malgré quelques récentes victoires en justice dans certains États américains). C’est probablement voulu par les grandes plateformes de médias sociaux et les grandes multinationales du web que le débat soit infléchi de la sorte dans cette direction plutôt qu’on continue à parler de non-respect de la vie privée par les grandes plateformes et multinationales du web, car cela sert évidemment leurs intérêts. Cela leur permet de plus de se faire passer pour « woke » (équivalent du gauchisme collégien), donc d’envoyer des signaux de vertu aux intéressés et de redorer ainsi leur image. Pendant ce temps les compagnies pharmaceutique pillent librement l’entièreté de notre dossier médical et cela pour le reste de nos jours, en vertu des papiers signés au moment de la vaccination.
La droite néoconservatrice reprend systématiquement les codes de la gauche. La lutte des classes, le mal systémique, etc. Obsedée par la culture, elle dénonce la culture d’annulation en réclamant l’annulation de celle-ci. Elle détourne le débat sur le contrôle de l’internet vers le faux problème de la liberté d’expression et de la haine.
« OWN THE LIBS. » Les memes sont intrinsèquement droitiers, ils créent l’impression que gagner un débat c’est humilier la partie adverse.
La pensée libérale (woke) exacerbée, poussée à l’exagération, finit par servir de repoussoir et d’homme de paille pour le recrutement à droite, par la nouvelle droite néoconservatrice (qui brouille ses pistes en associant le néoconservatisme aux médias libéraux et au parti Démocrate). Le recrutement à droite est souvent basé sur une obsession, celle de la tout puissance « woke ».
Rebranding à droite. Parler de rectitude politique c’est ringard, désormais il faut parler de culture d’annulation. La nouvelle façon de diffuser les idées néocons et de recruter à droite.
La menace woke est une chimère inventée par la droite catholique, voir: Awakening to Wokeness sur le site Catholic Insight, on croirait lire un article de E&R, ou un reportage de RT contre la culture de l’annulation. Il semble bien que ce mouvement dissident soit sous contrôle furtif de catholiques de droite néoconservatrice.
L’empire utilise énormément la psychologie pour mener ses guerres illégales contre la population. Il peut souffler le chaud et le froid pour servir ses intérêts, il peut exciter la ferveur chaotique des fanatiques, enrager pour provoquer des basculements politiques, ou au contraire tétaniser, terroriser et glacer le sang pour fermer le clapet, intimider, induire l’autocensure et maintenir le statu quo. Malheureusement, à moins que ce soit planifié par des experts sournois, il est à prévoir que ce genre d’intimidation aura un effet contre-productif très fort et possiblement violent chez un certain public déjà très remonté contre les restrictions sanitaires et la soumission des gouvernements à Big Pharma. Rien qu’à songer à la « rage » de Bigard l’an dernier contre l’accusation de « complotiste ». Vous imaginez la suite. Il sera très aisé alors pour les pouvoirs en place de coller un attentat sous faux drapeau sur le dos de ces « forcenés » antivaccins, car ils seront nombreux à être enragés, exaspérés de subir quotidiennement l’intimidation et la provocation par leur entourage pro-vaccin et par médias interposés. C’est l’agenda de chaos qui nous attend, il faut l’avoir à l’oeil et veiller à ne pas tomber dans ce piège. Il faudra faire très attention vis-à-vis cette mode des attaques « terroristes domestiques » contre les centres de vaccination, pour stopper la vaccination, risquent bien de justifier un grand coup de filet contre les potentiels dissidents, ce qui à plus long terme sonnerait le glas du mouvement conspirationniste en « prouvant » sa dangerosité extrême, en prouvant qu’il vaut mieux prévenir que guérir et enfermer ou au moins stigmatiser et surveiller ces potentiels « terroristes » qui osent propager des théories « dangereuses » allant de « l’hésitation vaccinale » jusqu’aux théories du « complot génocidaire mondial par la vaccination ». Il y a avant tout un problème en ce qui concerne la liberté dans le domaine médical et scientifique, comme dans la culture en général. Tomber dans le débat scientifique en invoquant les dangers des vaccins, c’est oublier que même si les vaccins sont bons il n’est pas bon et ne sera jamais bon de supprimer la liberté individuelle en santé, et cela même s’il s’avérait que les vaccins n’ont que des bienfaits. C’est déjà un fait aberrant au départ que l’État impose un traitement médical, l’État n’est pas compétent en médecine et n’a pas le droit de supprimer la liberté individuelle en santé ni dans aucun autre domaine, l’État ne doit s’occuper que des rapports de droits entre individus. Peu importe que le vaccination soit prouvée sécuritaire ou non, il importe avant tout de faire comprendre aux gens que la liberté de choix prime sur les faits scientifiques de la dangerosité relative et des bienfaits relatifs d’un quelconque traitment. D’autant plus que le poids de la preuve ne repose pas sur ceux qui croient que le produit est dangereux, il repose en fait sur le dos de ceux qui veulent nous convaincre que c’est bon et qu’il faut l’imposer à tous. Si l’on tente de prouver sa nocivité on s’égare par rapport au vrai débat, à la vraie question qui est celle de la liberté individuelle et du non-droit de l’État d’imposer une mesure médicale, puisque l’État contreviendrait à l’éthique de la liberté individuelle. Que le vaccin soit bon ou mauvais, bref, peu importe puisque au départ il ne devrait pas avoir de poussée compulsive venant de l’État dans le domaine médical. Le concept même de santé publique est déjà en soi un problème épineux au niveau de la liberté individuelle. Si on exige que la santé publique se base sur des données scientifiques qui prouvent que c’est sécuritaire, alors la mesure sera imposée obligatoirement par l’État dès lors que la preuve sera faite. C’est un risque qu’on ne peut courir. C’est aussi une stratégie dangereuse d’invoquer des scientifiques pour nous défendre, car de tels prétendus scientifiques peuvent être des charlatans travaillant secrètement pour les sectes ou encore des taupes et des saboteurs des Ordres de médecins, ayant pour but de torpiller le mouvement pour la liberté et la responsabilité individuelle en santé. Le domaine médical, comme la culture en général, devrait être régi par le principe de liberté. Le débat devrait plutôt porter sur la question de la liberté en matière de culture, science, médecine. La question scientifique doit être tranchée librement par les scientifiques, mais ensuite l’avis des scientifiques et experts ne devrait jamais au grand jamais finir par dicter les mesures de l’État, ne devait jamais être imposé à la population par l’intermédiaire de l’État. L’individu doit être libre de suivre les conseils médico-scientifiques, ne jamais y être forcé par une autorité. Il ne peut y avoir d’intervention ni influence de l’État dans la médecine, l’État ne peut pas se servir de l’autorité scientifique médicale pour se donner des pouvoirs, il ne doit pas pouvoir imposer une médication. Comme il ne peut pas imposer une religion, qui relève évidemment du domaine culturel, donc du principe de liberté. La liberté en religieux est juste plus évidente que la liberté de la recherche scientifique et de la liberté individuelle par rapport aux autorités de la santé. Dans le cas des vaccins, la colère des antivax est quotidiennement alimentée, et c’est chose facile car ils ne supportent pas d’être poussés avec une telle insistance et par le chantage. Il suffit en effet d’évoquer le code de Nuremberg, soit l’interdiction formelle et la criminalisation de toute recherche expérimentale médicale sur des cobayes humains non-consentants et non-éclairés, pour jeter par terre tout l’édifice rhétorique de vaccination d’urgence contre la covid. Les vaccins anti-covid disponibles resteront encore longtemps au stade expérimental. C’est une pomme de discorde qui facilitera la réintroduction du clivage gauche-droite (la droite étant plutôt antivax, la gauche provax) et aider surtout à faire occulter la réalité de la guerre du 1% contre le populisme et le socialisme.
C’est la double épreuve que Rudolf Steiner aurait qualifié de luciférienne-diabolique et ahrimanienne-satanique:
*Irriter, pousser à bout, provoquer la rage du peuple, le pousser à commettre des actes stupides, fulminer et se discréditer soi-même. En imposant par exemple des lois insupportables, ou en rendant les grands médias si insupportables qu’ils rendront attirant en comparaison le monde sectaire et charlatanesque des voies alternatives et des médias alternatifs. Utiliser au besoin des agents provocateurs (comme le comédien Bigard) pour influencer, hystériser la foule et discréditer ses revendications. L’hystérisation et le charlatanisme contribueront au discrédit mieux que toute campagne de diffamation.
Ce qui mène à l’effet inverse :
*Glacer le sang : la NSA sait tout nous révèle Snowden, les équivalents du Patriot Act dans les nations occidentales font que le gouvernement espionne sans mandat et infiltre les groupes sociaux, le projet Star Wars permet de voir de l’espace tout ce que font les autres nations, la Space Force pourra frapper avec des moyens inouïs comme des lasers… On est intimidé, terrorisé, pétrifié, on apprend qu’il faut la fermer (autocensure), se cacher, abandonner tout espoir, toute tentative de changer les choses puisque tout est sous contrôle, même l’opposition au système est contrôlée…
La crise présente est le meilleur exemple du pouvoir des lobby, ici de Big Pharma, du fait qu’il peut retourner toute situation à son avantage, ou créer une situation catastrophique pour éviter de se retrouver soi-même dans le pétrin et se présenter en même temps comme le grand sauveur et porteur de la lumière de la vérité, la science et la raison.
Suite à la crise des opioïdes si désastreuse, la famille Sackler en était au point de devoir fermer la compagnie Purdue. La compagnie israélienne Teva devait être la prochaine à passer au crible des autorités fédérales américaines pour son rôle central dans cette hécatombe. L’affaire Purdue avait mis en lumière les pratiques extrêmement choquantes et contraires à l’éthique de Big Pharma, mettant en péril sa réputation, alors que le gouvernement était en train de faire un grand ménage, leur faire payer des milliards et emprisonner quelques psychopathes en col blanc. À ce moment, Wuhan était le centre mondial de la production de fentanyl… un autre opioïde, comme l’oxycontin Purdue.
Mis à part le fait qu’il faut rester éternellement en Afghanistan protéger militairement les plantations du plus gros producteur mondial de pavot (et construire des bases militaires pour préparer la guerre contre la Chine), beaucoup a changé pour Big Pharma depuis la crise du virus. Non seulement Wuhan n’est plus au centre de la production mondiale de fentanyl, puisque le marché mondial a été bouleversé de fond en comble, mais en plus tout va beaucoup mieux pour la compagnie Teva et surtout pour la réputation de Big Pharma en général, qui n’est plus du tout sur la sellette. Elle revient en force, étant perçue comme sauveur de l’humanité. Sa revanche sera terrible… Teva a gagné non seulement en crédibilité mais aussi en affaires, en poussant Trump à faire la promotion de l’hydroxychloroquine, ce produit désormais célèbre dont Teva est le principal fournisseur mondial. Israël passe maintenant pour le meilleur exemple de vainqueur du covid, malgré son mépris de l’éthique médicale et des droits et libertés fondamentales, son fichage biométrique, ses expérimentations médicales sur des prisonniers et autres cobayes non-consentants, etc. Plus d’infos dans cette entrevue de Whitney Webb avec Robbie Martin.
Yair Netanyahou (frère siamois de Boris Le Lay?) avec le fils de Jair Bolsonaro : l’unité Alt-Right sioniste affichée?
Bolsonaro, le président du Brésil appelé Capitaine Chloroquine, est fortement critiqué dans des manifs de grande ampleur au Brésil. Les manifestants sont probablement des appuis à Lula, puisque presque tout le Brésil préfère Lula, comme le monde entier ou presque (mais pas les antisociaux USA ni Israel ni le R-U). Ils attaquent l’appui de Bolso à la chloroquine mais le fond du problème est que le Brésil est économiquement en faillite et il n’a rien pu y faire. Ses vues sur la pandémie ont contribué à faire de lui un paria sans crédibilité, ce que ses ennemis politiques, très nombreux, s’empressent de récupérer à leur avantage. Le taré était en mission pour les USA pour détruire le pays de toute façon, écologiquement débile à un point difficile à imaginer, raciste anti-autochtone et proche des milieux sionistes extrémistes partisans du Troisième Temple. Il a des appuis presque seulement du côté des trumpiens et Qanoniens…
Dr Bret Weinstein invité par The Epoch Times (New Tang Dynasty, Falun Gong) à discourir sur les vaccins. Bret est un des rares, un des élus qui bénéficient d’une grande pub depuis qu’ils ont été déplateformés/démonétisés de youtube. La plupart tombent dans l’oubli, c’est signe que Dr Weinstein a des appuis. Pour ces célébrités, comme Alex Jones, le déplateformage par Youtube génère un gain de crédibilité important, c’est l’occasion de recevoir une pub massive. Carlson se présente comme candidat présidentiel en 2024, Brisson l’avaient vu venir.Weinstein est proche des néocons, il est sioniste, comme l’a momtré Robbie Martin sur son twitter. Bret a un frère, Eric, sioniste comme lui. Ce sont des vedettes de l »intellectual dark web » (la nouvelle droite Alt-Lite anglo, largement sous contrôle de Peter Thiel). Dr Weinstein a été invité à l’émission de Tucker Carlson. Ce dernier passe récemment pour un grand héros de la liberté d’expression, il se dit persécuté par la gauche, maintenant par la NSA. Alex Jones dit admirer combien Tucker l’a surpassé… Ils se prennent litéralement pour Sion contre la Matrice, comme dans la série de films des deux frères dégénérés Wachovski.
Fait étonnant: le biochimiste George Pieczenik, frère du célèbre ex-psychiatre de la CIA et désinformateur préféré d’Infowars Dr Steve Pieczenik (soi-disant descendant de Maïmonides), a été formé par Dr Fauci. Il a notamment découvert, dans ses recherches sur les bactéries, les techniques de manipulation de l’ARN messager… Joshua Lederberg, mentor de George Pieczenik, a été financé dans sa recherche par Sackler. Il a été formé par le fameux Dr Fauci, tout comme le Dr Steve Pieczenik l’affirme lui-même (sur les ondes d’Infowars). Lederberg a également travaillé comme conseiller pour Kissinger au Département d’État, tout comme Dr Steve Pieczenik. C’est un très, très petit monde… Pour plus de détails: Dudes Live (John Brisson Mark Lukacz) – The Great Pieczenik Brothers (Pt2 et autres sur la chaîne de Mark Kulacz) Steve Pieczenik est l’un des premiers à avoir répandu le récit de pizzagate et la théorie proto-Qanonienne de Trump comme élu du renseignement militaire pour sauver les États-Unis. Son cas a été amplement discuté dans les articles de ce blog concernant QAnon.
E&R et la dissidence font littéralement la propagande des néocons et des sionistes sous couvert de combattre le sionisme et d’entrer en dissidence contre « le système ». Ils combattent en fait le même « système » imaginé par Zemmour, soit un « système médiatique de gauche », celui-là même qui conspue Israël. La dissidence fait semblant d’être antisioniste mais c’est une façade pour tromper les gens et mener des opération de destruction des véritables diseurs de vérité. Quand on regarde leur travail, quand on gratte on découvre qu’ils défendent un sionisme néocon furtif du genre des évangéliques américains (anti-Soros, anti-gauche,etc.). Ce sont des sionistes en sous-marin, furtifs, qui combattent les vrais diseurs de vérité sous couvert de « dénoncer la désinfo ». en fait ce sont d’immense pourvoyeurs de désinfo et dès qu’un véritable diseur de vérité les pointe du doigt pour leurs mensonges, les dissidents lancent contre ce diseurs de vérité une campagne de salissage et de destruction en sous-marin, utilisant diverses médiations, mais surtout leur base de fanboys, leur avant-garde de brutes intimidantes et harceleuses. Leur crédibilité de diseur de vérité et leur énorme base d’appui dans le public conspirationniste leur permet de frapper fort et de marginaliser, faire taire, voire intimider et harceler les véritables diseurs de vérité, ceux qui pointent du doigt la désinformation de la prétendue dissidence antisioniste. L’objectif visé étant de détruire toute réelle tentative de dire la vérité, autrement dit faire le travail de la CIA, tout en ayant l’air de révéler des vérités cachées, de la même façon que les grands médias prétendent informer alors qu’ils font souvent le travail des élites dominantes illégitimes! La dissidence révèle ainsi son visage terrifiant: ils sont la troupe de choc, l’avant-garde composée d’idiots utiles et de fêlés, au service de la guerre de la CIA contre le journalisme d’enquête réel, contre les vrais diseurs de vérité! La popularité de la dissidence a été moussée avec l’aide des grands médias afin de faire de ses « leaders » des vedettes dotées d’une immense charisme, d’une aura de crédibilité sans pareil, leur donnant ainsi le moyen d’attaquer et de détruire tout diseur de vérité jugé vraiment dérangeant par les élites dominantes illégitimes. Leur façon d’y arriver est très habile et astucieuse: ils captent l’attention du public en prétendant être antiionistes et inventent des mensonges et des sophismes pour retourner le public contre le diseur de vérité. Ainsi le pûblic qui a tout à gagner ud travail de journalisme d’enquête, ceux-là même qui seraient normalement intéressés à l’écouter, qui ont tout à gagner à l’écouter et qui l’écouteraient s’ils n’étaient ainsi influencés et retournés par des agents saboteurs, ces idiots utiles qui croient les leaders-saboteurs dissidents sont commandés de lancer des attaques contre ces diseurs de vérité « rivaux » et authentiques. Ils font le sale boulot d’influenceurs et de saboteurs au service de la CIA, ce boulot que la CIA de même que les grands médias ne peuvent pas faire eux-mêmes, puisqu’ils n’ont pas de crédibilité ni d’influence auprès du public conspirationniste. Il n’y a qu’en influençant les conspirationistes de la sorte que la CIA et les élites dominantes illégitimes peuvent retourner le public ouvert d’esprit contre les vrais diseurs de vérité. Voir: Le CRIF et l’extrême-droite
Pour des dissidents comme Boris Le Lay, ancien propagandiste sioniste devenu antijuif, il importe peu de s’aligner un jour avec les sionistes pour lutter contre les « gauchistes immigrationnistes islamolâtres », pour le lendemain s’aligner avec les antisionistes et les chrétiens contre les Juifs: il s’agit toujours de prôner la haine à l’Ouest contre les peuples sémites et de pousser Musulmans, Chrétiens et Juifs en guerre les uns contre les autres. Son christianisme affiché, sa promotion du Christ-Roi (signe jésuite évident), servit probablement à entourlouper les dissidents chrétiens pour les manipuler et les utiliser pour mener sa croisade, une croisade menant en réalité à assurer le discrédit le plus total de la dissidence réelle et du christianisme réel, assimilés à la xénophobie, à la laideur morale et à la folie pure et simple.
Inverser le point sur les Gentils pour inclure juif à la place, et vous verrez à quel point la vision kahaniste se retrouve dans celle de la dissidence soralienne et conversanienne: anti-gauche, anti-BLM, « anti-antiraciste », anti-international anti-mondial, anti-séculier (contre la séparation religion-État), bref illibéral. Pratiquement sur la même longueur d’onde que Poutine et Bibi qui communient ensemble dans l’illibéralisme et la volonté de réunir le politique avec le religieux, au contraire du courant de sécularisation des derniers siècles.
Cette manière de voir, de considérer l’Europe comme vaginisée, métissée et dégénérée, bref comme une sale prostituée malade de tolérance, faiblarde, multiculturaliste, multiraciale, est directement issue des milieux kahanistes, mais pas uniquement de la LDJ. Elle sert à contraster et mettre en relief la supposée pureté raciale juive israélienne et la volonté de préserver cette pureté et ce monoculturalisme par la domination et la violence, voire l’extermination.Le plus stupéfiant est de constater que cette même manère de voir a contaminé une grande partie du mouvement nationaliste blanc ou judéosceptique, incluant à sa marge des groupes comme E&R, alignés sur les idées de Kevin MacDonald par exemple, qui prônait littéralement une alliance anti-arabe entre l’Europe et Israel.
Edgar Morin est attaqué par E&R et Ryssen comme un juif de gauche dangereux. Comme Stéphane Hessel, Edgar Morin a beaucoup été attaqué par les extrémistes juifs du genre de la LDJ, ces représentants miliciens du mouvement kahaniste qui règne sur la politique israélienne de nos jours. Un Einstein dénonçant le PM israélien comme un fasciste et un terroriste, Israël n’en veut pas. Les kahanistes à la Knesset prônent le nationalisme raciste, la violence et le génocide, ils veulent réinstaurer la religion au sommet de l’État, la disparition des idées libérales des Lumières, l’humanisme, la sécularisation, la séparation de l’Église et de l’État, le multiculturel, l’international, le métissage, le socialisme, bref la disparition de la gauche. Ryssen a beaucoup insisté sur la nuisance des juifs de gauche, mais n’est-ce pas là simplement l’expression de sa détestation de la gauche ? Il n’a aucun problème avec Zemmour, puisqu’il ne déteste que les juifs de gauche et cela à cause de leur gauchisme qui se traduirait par un « soutien hypocrite au racisme d’Israël ». Or ces penseurs juifs de gauche ont souvent été attaqués en justice à répétition par les Goldnadel de ce monde ! Ryssen revendique le droit d’être kahaniste en paix, on dirait bien. À moins que l’objectif de ce genre d’individus soit de rendre la « dissidence » de plus en plus semblable au sionisme kahaniste, pour le normaliser et permettre l’expansion mondiale mais furtive de son modèle social-culturel d’ultra-droite apocalyptique du genre des évangélistes américians ? L’influence anglaise et américaine se fait clairement sentir chez E&R, comme autrefois chez le jésuitique Faurisson…
La dissidence blâme « la franc-maçonnerie » en général, en oubliant que ce sont les loges britanniques qui tirent les ficelles de la franc-maçonnerie occidentale et même du Vatican. La dissidence prône le retour du religieux à la tête de l’État, tenant le même discours que les jésuites, l’élite au service du Pape (rappelons que contrairement à l’idéal jésuite, c’est au christianisme, soucieux de la liberté et de la dignité humaine, comme le fut par exemple Blaise Pascal, que l’on doit la séparation historique de la religion et de l’État!). Mais ils servent en fait à démoraliser la dissidence réelle et les chrétiens réels, en faisant la promotion d’infiltrés et de désinformateurs, tout en posant comme des chrétiens, pourrissant l’esprit des chrétiens dissidents, et faisant passer les chrétiens pour des gens aux idées rétrogrades, haineuses ou carrément folles aux yeux du public et des médias. En posant comme des dissidents et des chrétiens, ils font un tort immense au christianisme réel et à la dissidence réelle, et ils le font mieux que n’importe quel autre ennemi du christianisme et de la dissidence. Michael Collins Piper avait identifié cette influence de la désinformation anglaise pseudochrétienne dissidente du côté d’Alex Jones (allié des frères anglais Watson) et de Christopher Bollyn (possiblement un atout du renseignement britannique lié à l’Église épiscopalienne, une branche de l’Église anglicane). Rappelons que la dissidence contre la guerre en Irak a donné du fil à retordre aux dirigeants illégitimes fauteurs de guerre, et cette dissidence anti-guerre fut menée en majeure partie à l’époque, surtout aux États-Unis, par d’importantes organisation chrétiennes, ralliant une part importante du peuple américain, des organisations et des militants chrétiens soucieux d’éthique et condamnant les guerres illégales et en tous points contraires aux principes chrétiens et à la morale la plus élémentaire.
Il y a une vaste manipulation en cours visant à détruire la gauche et à canaliser à droite toute forme de dissidence. Dans l’opinion publique, avec la complicité des médias, la droite passe maintenant pour l’avant-garde de la lutte contre la culture de l’annulation, contre Big Tech et la censure « progressiste », contre Big Pharma et son emprise sur les gouvernements et les politiques dites sanitaires et d’ingénierie sociale en général. Alors que la gauche devrait normalement être elle aussi à l’avant garde de la lutte contre les grandes corporations, contre Big Tech et Big Pharma, elle passe au contraire pour la grande défenseresse de celles-ci, avec son amour de la censure et des vaccins.
Ce que couvre cette manipulation est le fait que ces gens de droite qui attaquent la culture de l’annulation et défendent la liberté d’expression sont trop souvent des purs néocons pro-israéliens jusqu’à l’os (à moins que cet appui à Israël soit motivé uniquement par la haine des arabes et des musulmans?).
L’opération de manipulation de l’opinion publique est couronnée de succès: l’Alt-Right et le mouvement trumpien ont réussi à associer le discours non-interventionniste (« fin aux guerres sans fin »), ainsi que le conspirationnisme à la droite de la droite et, plus curieusement, à un parti pris ultra pro-israélien, proche de Bibi Netanyahou–l’homme qui conclut l’alliance sioniste avec les évangélistes américains dans les années Nixon-Reagan. (Israel sait que son arme principale est l’opinion publique, particulièrement l’opinion publique américaine.) La réussite de cette opération se voit au fait que la gauche s’est retrouvée du même coup à avoir le monopole de l’antisionisme. C’est une fausse impression, puisque c’est tout simplement la droite qui a été entièrement retournée au service du sionisme, grâce à l’Alt-Right et au trumpisme ! Était-ce le but réel de la présidence Trump et du mouvement Alt-Right? Ce mouvement peut-il maintenant disparaître ou bien reviendra-t-il en force avec l’appui des Frères de l’Espace, des Pléiadiens proches de QAnon, pourquoi pas, puisque le président Trump est maintenant élu Président de la Fédération Galactique?Quand on entend les cris de victoire des conspis et des résistants qui voient l’échec du grand récit de la pandémie et des restrictions sanitaires, proclamant que les élites dirigeantes illégitimes sont à veille de perdre prise sur le pouvoir, il faut prendre un peu de recul pour évaluer à quel point c’est inexact et voir qui est en train de récupérer la situation à son avantage. Il faut être sur nos gardes à ce moment où la victoire semble proche car c’est peut-être à ce moment que l’empire décidera de frapper fort pour casser ce qui menace leurs intérêts et leur pouvoir. Par exemple, la Palestine était en train de gagner dans l’opinion publique, aux yeux du monde Israel avait l’air de ce qu’il est réellement. Ensuite est arrivé le 11 septembre qui a complètement retourné la situation en retournant la perception du public du problème israélo-palestinien et du terrorisme en général. Le mouvement pro-Palestine n’a jamais pu s’en remettre et la menace terroriste est devenue un moyen de glacer le sang et d’induire l’autocensure chez ceux qui ont une intelligence. Les théories du complot ont été catalysées exprès par les États-Unis après le 11 septembre pour discréditer d’avance toute tentative de réflexion critique et intelligente des causes réelles du 11 septembre et de la situation au Moyen-Orient, comme le signalait Weill-Raynal. Lorsqu’un mouvement semble sur le point de gagner la guerre contre l’empire et qu’on s’imagine qu’il y a de l’espoir c’est généralement le moment où l’empire prend les grands moyens pour écraser et tuer ce mouvement. La stratégie de diabolisation du socialisme passe maintenant plus que jamais par l’accusation d’antisémitisme consécutive à leur positionnement pro-palestinien et antisioniste. La gauche doit être détruite et avalée par un wokisme superficiel et creux, et l’accusation d’antisémitisme doit y conduire, car le point de non-retour a été franchi et ce n’est qu’une question de temps avant que l’antisionisme doit déclaré criminel au même titre que toute forme d’antisémitisme comme le souhaitaient Pompeo et Netanyahou.
Parallèlement, à droite, Trump qui s’est fait connaître comme un grand ami de Bibi Netanyahou et le meilleur allié qu’Israël a jamais eu à la Maison blanche, s’est peut-être retiré momentanément, mais ses idées vont regermer partout dans le monde sous de nouvelles formes ayant l’avantage de ne pas avoir toutes les tares qu’on pouvait reprocher à Trump. Même Zemmour aura l’air sérieux. Outre-Atlantique, Zemmour trouvera sûrement un grand appui auprès du Canadien Eric Duhaime, une sorte de Geert Wilders si on veut, un ex-professeur de démocratie en Irak pour la NDI (émanation du NED), qui vient d’entrer en politique.
Les néocons sont en train de marquer des points dans l’opinion publique en changeant leur image, en se reconvertissant en défenseurs de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux, en pourfendeurs de la rectitude politique et de sa culture de l’annulation. Tout en jouant les rebelles qui osent défendre Israël face aux tout-puissants gauchistes et à « la rectitude politique accusant Israël d’être raciste et Apartheid », laissant entendre que les médias et les politiciens français formeraient un pouvoir pro-palestinien écrasant (c’est du moins la perception qu’a Israël de la France). Quant à la liberté d’expression du mouvement BDS, silence radio du côté de nos grands défenseurs de la liberté d’expression, ou bien la question sera plutôt retournée en une question de liberté de confronter « les antisémites promoteurs de BDS ».
Cela participe à créer une fausse dichotomie opposant gauche antisioniste et droite pro-sioniste, et dont le but est de faciliter la propagande pro-israélienne. En Israël, c’est la gauche qui est sans arrêt accusée d’être nazie et antisémite, alors que la droite extrême prend le contrôle du gouvernement en étant ouvertement raciste et génocidaire. Ce même clivage (gauche antisioniste et droite sioniste) est en train d’être imposé subtilement dans l’ensemble du monde politique international par l’influence des réseaux pro-sionistes à travers le monde. L’exemple du président Bolsonaro au Brésil, droitiste ami de Trump et des USA, avec son appui au Troisième Temple et aux extrémistes pro-israéliens en est la parfaite illustration.
Like Anti-vaxxers, Netanyahu Also Prefers to Ignore Science Comme Netanyahou, Trump aussi, malgré son appui au vaccin, rejettait fièrement la science et a su conquérir les dizaines de millions d’évangélistes américains. Sans être très religieux, Trump et Netanyahou savent manipuler les partisans de la droite conservatrice pro-religion qui se méfient de la science comme du communisme. On est souvent sommé de choisir entre la religion et la science. La science est toujours présentée comme une chose de dangereusement anti-spirituelle, fondée sur la pensée linéaire intellectuelle stérile, alors que la réaction traditionnelle mystico-religieuse aurait supposément la solution « si on y revenait », si on arrivait à les réchauffer… Or la science est en évolution, la science elle doit dépasser le matérialisme et approcher l’esprit. Ce n’est pas la religion, fondée à une époque qui ne connaissait pas la science, qui peut apporter la solution aux problèmes du matérialisme. Ce serait déjà bien par contre que la religion redevienne spirituelle et se libère elle-même de l’emprise du matérialisme. Les dogmes et les fondements de connaissance dans le domaine religieux ne sont plus du tout compris par qui que ce soit (la théologie en est la preuve). La religion traditionnelle restera pour toujours stérile et réactionnaire dans le monde moderne (même si l’Église profite du matérialisme pour maintenir son pouvoir, elle fait progresser le matérialisme et assure sa victoire finale). La science n’a pas à être anti-esprit, en fait elle est déjà en soi une activité de l’esprit. Le matérialisme nie l’esprit, la science sérieuse en évolution ne peut pas nier l’esprit. Continuer dans la voie séparatiste de la science anti-spirituelle ou de la religion anti-science, c’est rendre toute évolution impossible et contribuer à faire du monde à venir un matérialisme totalitaire, un enfer sur terre. La religion actuelle rétrograde et obsolète ne veut rien savoir d’une science de l’esprit, elle s’accomode très bien du matérialisme ambiant et d’une science anti-spirituelle car ceux-ci l’aident à se mettre en valeur en lui servant de faire-valoir: la religion peut ainsi passer pour une alternative et une solution au matérialisme, ce qu’elle n’est pas, puisqu’elle ne veut pas d’approfondissement réel et individuellement libre de la vie religieuse, elle ne permet pas que les impulsions religieuses soient éclairées et ravivées par une science de l’esprit. Même si la science de l’esprit résolvait le problème du matérialisme, l’Église serait en peine: elle regretterait d’avoir perdu tout pouvoir puisque l’individu serait alors en contrôle de sa démarche de connaissance spirituelle (ce qui selon l’Église mènerait au Protestantisme). L’article plus haut sur Bibi et la science n’est pas ce qui importe ici, il met surtout en évidence le clivage stupide entre science et religion. Appuyer l’évolution de la science obligerait supposément à appuyer la dictature totale de la science dans tous les domaines, sinon c’est qu’on préfère la dictature de la tradition religieuse moyen-âgeuse obscurantiste et superstitieuse et alors on rejette toute la démarche scientifique sur lequel est basé tout le monde moderne. Or les deux voies sont stériles, autoritaires, et mènent à l’enfer sur terre: autant la foi aveugle en l’autorité de la religion stérile que la foi aveugle en l’autorité de la science actuelle assurent la victoire du matérialisme. Les jésuites sont des champions du matérialisme en ce qu’ils passent pour des hommes de Dieu mais sont en fait les plus grands promoteurs de la division la plus radicale qui soit entre foi et savoir, science matérialiste et religion pseudo-spirituelle théologienne.
Nous sommes appelés par des maîtres manipulateurs à choisir notre camp : soit la religion salvatrice contre le péril de la science sans conscience, soit la science salvatrice contre le péril de la religion obscurantiste. Les dés sont pipés, c’est une fausse dichotomie qui ne sert à rien de plus que nous asservir.
La liberté est intérieure, pas extérieure. C’est la vision allemande de la liberté au sens spirituel, différente de la vision américaine de Freedom qui est associée à l’extériorité, aux grands espaces. Les libertariens, patriotes ou autre, tombent dans le panneau en voyant la liberté comme quelque chose d’extérieur, qu’ils pourraient conquérir pour un groupe ou pour un peuple. Ce n’est pas la liberté que de se vouer à un nouveau gourou infaillible après avoir reconnu et répudié le culte de la majorité envers l’autorité infaillible des experts, de l’État, des médias. La liberté commence par celle de penser librement, d’exercer son jugement de manière autonome, de soupeser et tester les idées. Cela les traditionnalistes, les jésuites, les scientifiques matérialistes et les tenants du scepticisme (comme les anticonspis de Conspiracy-watch) croient que c’est impossible
Si on réussissait à abolir le capitalisme on anéantirait en même temps la vie sociale. Le socialisme ne doit pas régner en politique ou en culture, mais uniquement dans le vie économique. Le socialisme économique signifie avoir une économie plus fraternelle et sociale, solidaire, au lieu de prendre pour principe la liberté et la compétition, qui poussent à la guerre de tous contre tous contre la solidarité et la vie en commun, à la loi de la jungle qui va détruire la civilisation et qui est déjà en train de faire en sorte que les plus mal adaptés à régner se retrouvent à régner–aussi incroyable que cela puisse paraître. Le contrôle étatique de l’économie relève du communisme dictatorial voulant contrôler tout incluant l’État et la culture. L’économie est basée sur l’interdépendance, la liberté ne peut donc être le principe de base en économie. Le domaine de la liberté est plutôt celui de la culture, l’esprit, la pensée, la religion, l’éducation, la presse, etc.
Au moment où QAnon devenait étrangement populaire et plus tard lorsque l’émeute patriote a éclaté au Capitole, nous y avons vu une étape de l’évolution d’une vaste opération psychologique contre le socialisme et le populisme. Une opération psychologique en réaction au fait que le socialisme devenait dangereusement populaire, comme en témoignait la popularité extrême de Bernie Sanders, popularité qui transcendait les clivages politiques, puisqu’en effet Sanders menaçait de devenir candidat démocrate et possiblement président, ralliant les votes de nombreux électeurs déçus de gauche et de droite. C’est à ce moment, alors que la majorité était d’accord que le 1% est corrompu et exploite sauvagement les 99%, qu’ont éclaté la crise du virus et les manifs liées à l’affaire Floyd, alors que commençait une grande division qui allait tuer dans l’œuf cet espoir de plus de socialisme et de respect du peuple.
L’Ouest ne doit pas devenir socialiste, d’après nos maîtres. La popularité de Sanders, qui unissait populistes et socialistes, a surtout été un test, possiblement un ballon d’essai pour nos maîtres, un indicateur leur permettant de voir à quel point nous sommes égarés dans le socialisme et le populisme, leur indiquant combien nous méritons d’être punis à défaut de pouvoir tous être retournés contre le socialisme. Pour avoir osé vouloir introduire le diabolique communisme en Amérique, on nous infligea une dictature sous couvert de bien commun et de socialisme scientifique-technologique, on excita le conflit entre racistes et antiracistes avec l’affaire Floyd, on a instrumentalisé l’idée que Trump allait lutter contre l‘État comme moyen détourné de diviser le peuple, le 99%, en un camp pro-Trump et un camp anti-Trump, alors qu’autrefois ils étaient tous d’accord sur le fait que les politiciens sont tous pourris, au service du 1% contre les 99%. Pendant cette crise covidienne les milliardaires allaient voir leurs profits exploser à vue d’œil pendant que les commerçants fermaient boutique définitivement. Le mouvement socialiste n’a jamais pu avancer et n’a jamais pu se réunir pour coopérer, travailler ensemble, chacun s’est trouvé isolé, tenté par le repli sur soi et autres formes de fuite. Le trumpisme allait utiliser le populisme contre le socialisme et diviser les deux mouvements que Sanders avait réunis dans l’opinion publique (dans son concept très simple du 1% vs 99%).
Pour assurer la domination de l’Ouest sur le monde au profit du 1%, pour assurer que l’Ouest ne penche jamais réellement du côté du socialisme, l’Ouest attise les tensions avec la Chine. Le risque de guerre est grand et s’il advient qu’elle se concrétise, alors les opposants à la guerre seront qualifiés de propagandistes pro-Chine, accusés d’être communistes donc. Les promoteurs d’idées socialistes seront suspectés de diffuser la désinformation du parti communiste chinois.
La guerre contre la Chine donnera la possibilité aux maîtres de tenir le socialisme et le communisme bien loin de l’Ouest, de le réprimer sur son propre territoire, voire de l’interdire, le criminaliser.
Trump a passé son temps à dire que les antifas sont aussi pire que les néo-nazis et l’extrême droite. Une partie du public croit maintenant en une fausse équivalence entre antifasciste, socialisme et extrême-droite, sous prétexte que les deux auraient parfois recours à la violence. En fait, l’extrême-droite sous Trump s’est grandement avancée sur le terrain de la violence et du meurtre, il est devenu une menace comparable à Daech pour plusieurs, dans les rapports du gouvernement et dans les médias. Présentement l’État américain, dans un rapport récent de l’armée, considère que les socialistes et l’extrême-gauche sont une menace aussi importante, autrement dit maintenant que l’extrême-droite radicale (souvent pro-Trump) est assimilée à un Daech américain, on veut maintenant établir une équivalence entre cette menace et celle de l’extrême gauche antifasciste. Ironiquement, alors que Sanders a failli devenir président, les idées socialistes pourraient bientôt être jugées comme un facteur important de radicalisation au même titre que les idées trumpiennes les plus radicales, haineuses et violentes.
Pour le socialisme? Pour une politique assainie des groupes d’intérêts et de la finance? Pour une culture de la pensée libre? Il s’agit d’une maladie mentale, manifestation d’un trouble d’opposition, selon la psychologie anglo-saxonne. Pendant que le communisme dictatorial a reçu l’appui et le financement de l’Ouest qui voulait s’en servir comme faire-valoir et homme de paille pour salir l’idée même de socialisme à l’Ouest.
À l’avenir les idées socialistes seront vues comme de la maladie mentale et c’est déjà l’opinion du pouvoir anglais! La conception révolutionnaire socialiste de la France moderne, par exemple, est ainsi perçue comme une maladie mentale. Autre exemple, le Canada est une expérience sociale-démocratique sous contrôle de l’empire britannique ami des Américains.
Les sociétés secrètes anglo-britanniques ont propulsé les États communistes d’un côté pour diaboliser plus facilement le reste du monde, elle renforce les réactionnaires patriotes d’un autre côté pour passer pour les grands tolérants ouverts sur le monde et pour leur faire faire leur sale travail antisocialiste, dans l’objectif à long terme d’assurer que le socialisme ne puisse jamais se réaliser et se développer à l’Ouest, et que toute forme de populisme ou de communisme soit poussée à l’extrême de la radicalisation violente et antisociale, jusqu’à la violence des mouvement sociaux et à la tyrannie gouvernementale des États communistes, de sorte que l’idée s’auto-discrédite dans l’action, que les exemples concrets de communisme ne servent en définitive que de faire-valoir ou d’homme de paille au merveilleux monde démocratique libre et éclairé. La Chine et l’URSS ont été bâties grâce à la collaboration de l’Ouest, mais toujours en s’assurant que l’Ouest passe en bout de ligne pour le seul et unique éclaireur, libérateur de la planète et représentant du monde libre face à la tyrannie.
L’Ouest est destiné selon la volonté des loges anglo-britanniques à être un peuple de petits rois capitalistes individualistes, et l’Est à être un peuple d’esclaves pour que l’Ouest puisse vivre en rois, comme l’expliquait Rudolf Steiner peu après la Grande Guerre. La guerre contre la Chine donnera la possibilité à nos maîtres de tenir le socialisme bien loin de l’Ouest et de son économie, de sa politique, de réprimer ses mouvements et ses idées sur son propre territoire, voire l’interdire, le criminaliser, au même titre que les néonazis (ce qui n’est pas encore le cas aux USA). US Ranks DEAD LAST In Media Trust At 29%
On dirait que les gouvernements des USA et la France poussent leur peuple à la révolte, dans le même esprit que leur tradition révolutionnaire. C’est autodestructeur, tellement brûlant que ça me fait penser que c’est peut-être le résultat d’une influence extérieure voulant provoquer le chaos, la guerre civile. Une expérimentation de guerre civile, possiblement, menée par les loges britanniques, pour pouvoir étudier un cas réel aujourd’hui en 2021, pour en tirer des leçons et être en mesure, lorsque tout sera au point et que le savoir-faire, la recette gagnante sera dûment perfectionnée et utilisable, d’imposer ce chaos à volonté, où et quand ce sera nécessaire. Mais il s’agit toujours pour ces loges antisociales britanniques de « prouver » au monde que le socialisme est mal, forcément antichrétien et cause de chaos et de destruction. C’est dans cet objectif de destruction de l’Europe et de toute forme de socialisme que les loges continentales sont sous contrôle des loges britanniques.
L’annonce de Macron était une ruse pour accélérer la cadence des vaccinations, faire en sorte que les indécis et les hésitants aillent vite se faire vacciner (après quoi, à la rentrée il ne restera enfin que les irréductibles opposants, qui pourront plus facilement être qualifiés d’antivax dangereux, ostracisés et pénalisés). Le jour même de l’annonce de Macron, un million de nouveaux rendez-vous de vaccination ont été pris. Il n’est même pas certain que la loi exigeant le pass sanitaire sera adoptée en France telle qu’annoncée par Macron. D’autres pays ont exprimé leur refus de suivre cette voie (le peuple allemand serait très réfractaire et Merkel le sait trop bien!). Aux USA, la porte-parole du gouvernement a annoncé il ya une semaine que le gouvernement allait faire du porte à porte pour vacciner ceux qui ne l’ont pas encore déjà été. C’est la même chose que le projet Warp Speed de Trump, impliquant l’armée. Comme l’annonce de Macron, celle du gouvernement américain a eu pour effet de faire exploser la tendance à la vaccination.
Ce n’est pas impossible que les vrais exterminateurs voulant se débarrasser d’une majeure partie de la population mondiale, comme le suggèrent les Georgia Guidestones, sont peut-être à chercher du côté de ceux qui manipulent le mouvement conspi, soit des éléments d’ultra-droite de l’armée probablement liés aux anciens réseaux stay-behind incluant des satanistes adorateurs du pouvoir. Il n’est pas impossible qu’ils poussent les gens à ne pas se faire vacciner, pour que la maladie se propage mieux et fasse plus de victimes chez les « faibles » qui selon eux ne devraient pas exister de toute façon, si l’on suit la logique d’extrême-droite et du darwinisme social jusqu’au bout. Les conspis inventent clairement plein de théories pour nier la pandémie et invoquent des autorités alternatives charlatanesques prônant des thérapies souvent pires que rien (chloroquine). C’est un fait connu d’autre part que le mouvement conspi même s’il a des arguments de gauche, est souvent influencé par des gens plus ou moins néo-nazis (ou eugénistes, darwinistes sociaux), ou proches par exemple du catholicisme réactionnaire de droite illibérale (par ex. anti-sécularisation). Il y a aussi une connexion occultiste inquiétante derrière leurs idées conspi souvent libertariennes et/ou ufologiques, qui se relient même à du discordianisme sur fond de satanisme à peine voilé. (Benoit XVI, qui a eu une influence dans le révisionnisme et qui favorisait la droite politique, Opus Dei, s’intéressait à l’oeuvre du jésuitisant Tomberg, comme à l’occultisme traditionnel en général.) Mais ces éléments servent peut-être à détruire le mouvement conspi de l’intérieur en plus de l’utiliser le récupérer pour leur propres fins, comme le permet la morale jésuitique (le mal est justifié s’il sert la cause de Rome). Les sectes viennent vite se coller à tout mouvement de contestation de l’ordre établi et de ses dérives. La scientologie qui a complètement pollué le débat sur MK Ultra et l’arsenal biologique testé sur le peuple américain: c’est la Scientologie qui a obtenu les documents par demande d’accès à l’information dans les deux cas. Les sectes salissent tout et elles servent à cela, à attirer les gens ouverts d’esprits vers un piège. Les sectes financées par la CIA ont en commun de détester le communisme (Dieu en effet hait le communisme c’est bien connu). Dans la continuité de Gladio et des réseaux Stay-behind de l’Otan, des groupes sectaires opèrent d’autant mieux qu’ils n’ont pas à se cacher et qu’ils ont une couverture religieuse. Les mesures socialistes ont permis à l’humanité faible de se multiplier indument selon certains. Les plus convaincus de l’extrême-droite croient que la population n’aurait pas dû croître autant, que la civilisation socialiste a affaiblit l’espèce humaine et que seule une élite aurait dû pouvoir se reproduire en luttant pour la survie, comme au sein du capitalisme. Ainsi tous cette population humaine en surplus, qui doit son existence aux mesures socialistes d’après-guerre, seraient sacrifiables pour le mieux de l’évolution de l’espèce. (Écouter à ce sujet l’émission de John Brisson avec William Ramsay.) Les Georgia Guidestones attribués à « l’élite » dirigeante sont peut-être en fait les directives de ceux qui manipulent le mouvement conspi (des influenceurs comme Icke et d’autres sont proches de mouvements new age occultistes très puissants), et projettent en même temps leur propre idée exterminatrice sur Wall Street. Pourquoi croire que les Georgia Guidestones sont l’expression des forces anrisociales cachées derrière le mouvement conspi ? À cause des propos de Steve Pieczenik (dont le frère George fur l’un des découvreurs de la thérapie par l’ARNm) sur les ondes d’Infowars (paraphrase) : « Nous avons a provoqué la crise du covid pour donner au monde une bonne leçon, leur apprendre qu’ils ont besoin de leur divin empereur Trump et qu’ils doivent faire confiance aux ‘white hats’ comme nous ». (Sous-entendu: nous sommes à l’origine de la pandémie et nous vous apportons le remède vaccinal à ARNm.) Ce n’est probablement pas Wall Street qui veut exterminer les masses: on ne veut pas perdre son bétail tant qu’il rapporte autant, sauf dans des guerres qui rapportent, mais pas par des virus trop mortels, à moins que ça permette de vendre des vaccins et de prendre le contrôle de tout via Big Pharma. Dans ce sens, l’un joue dans la main de l’autre: Wall Street profite et abuse de la crise ce qui donne des arguments aux conspi, les conspis agités par des darwinistes sociaux nient la réalité, hystérisent le débat, recourent à des charlatans, faisant en sorte que le virus fait davantage de victimes, ce qui aggrave la crise et donne ensuite plus de pouvoir à Big Pharma qui prend le contrôle de tout, ce que les conspis souvent sectaires dénonçent comme mesures liberticides intolérables et alors le mouvement sectaire déteint salement sur la dénonciation légitime (culpabilité par association), le discours de vérité se retrouve associé aux sectes, ce qui renforce le pouvoir de Big Pharma qui a réussi à disqualifier tous ses opposants et détracteurs. Le cercle vicieux est parfait, la stratégie est d’utiliser le mouvement conspi comme opposition contrôlée de manière dialectique, nouer avec lui une relation symbiotique pour l’asservissement des peuples. Les conspi sont tout à fait inconscients des origines réelles des théories du complot auxquelles ils donnent beaucoup de crédit. Comprendre les liens du conspirationisme avec les réseuax stay behind c’est comprendre que ces théories sont elles-mêmes des émanations de l’État profond pour servir encore mieux, furtivement, sous couverture, les intérêts de l’État profond! Comme nous l’avons vu plus tôt, des Trump et des Netanyahou sont vendus à une forme aigue de conspirationnisme narcissique et paranoïaque. Ils nuisent à la liberté de recherche en discréditant le conspirationnisme dans l’opinion publique en même temps qu’ils se servent du conspirationnisme pour leurs propores fins, de propagande et d’agitation politique, pour manipuler le public et radicaliser leur base… la mener toujours plus à droite et contre le socialisme. Les mesures restrictives et sanitaires en réponse à la crise sont présentés par les conspis droitards comme des formes de communisme et de socialisme, une dictature de gauche, une victoire de la Chine sur l’Ouest en somme. Les financiers sont ravis de nous voir regarder d’un air méfiant ces formes dévoyées de socialisme montrer leur hideux visage et rendre la foule de plus en plus allergique à l’idée même de socialisme (au contraire de la tendance générale juste avant la crise de 2020, alors que Bernie Sanders était un monstre de popularité avec ses idées socialistes affichées sans complexe). Ainsi le conspirationnisme est instrumentalitsé pour détruire toute possiblité de socialisme, comme l’ont noté pliusieurs commentateurs politiques sérieux, inquiets de voir la mouvance soralienne prendre un tel envol et faire tant de ravages dans la jeunesse inculte et chez les simples ignares qui se croient intelligents parce qu’ils ont trouvé un gourou. Le conspirationnisme poussé à l’absurde devient un facteur de chaos dans la société, prouvant par l’exemple sa dangerosité extrême, et ça n’est pas un hasard si l’on trouve la signature du discordianisme, de la magie du chaos, du satanisme essentiellement, un peu partout dans la « dissidence », d’Infowars (qui fut hébergé par les satanistes discordiens de Disinfo.com) à E&R (associé à Douguine). Le discordianisme comme vecteur de chaos systématique et comme chèvre de Judas introduite dans le mouvement conspirationniste « truther » a été abordé dans l’article de ce blog sur Trump et la CIA, et son rôle dans l’éclosion du mouvement trumpien et de son empire de mèmes. Si le conspirationnisme, comme toute recherche journalistique controversée et indépendante, devient synonyme de danger public, comme conséquence du travail d’agents provocateurs et de saboteurs infiltrés, ce sera pour le plus grand bonheur des élites dirigeantes illégitimes et des autoritariens qui refusent la possibilité même de liberté.
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