N’allez pas croire que le rachat de Twitter par Elon Musk va sauver la liberté d’expression !
Nous avons mis en garde avec insistance contre le danger des théories du complot niant la tuerie de Sandy Hook, soulignant qu’il s’agit de toute évidence d’un piège tendu au mouvement des chercheurs indépendants à l’ère d’Internet. Alors que l’un des principaux promoteurs de cette douteuse et incroyablement populaire théorie, Alex Jones, vient de perdre le procès en diffamation intenté contre lui, la liberté d’expression est plus que jamais en danger. Michael Collins Piper a amplement souligné ce danger, comme nous l’avons régulièrement rapporté sur ce blog, en prédisant que ces théories allaient inévitablement exploser au visage de la communauté des chercheurs indépendants. Piper s’est ainsi attiré les foudres d’un bon nombre de prétendus chercheurs, ce qui a vraisembablement précipité sa mort tragique, en raison de sa santé fragile. Ne manquez pas, à ce sujet, son dernier livre FALSE FLAGS – Template For Terror (2013), qui se termine avec le cas Sandy Hook comme exemple d’infiltration cognitive du mouvement indépendant de chercheurs de vérité, de même que ses émissions spéciales avec son ami Mark Glenn, allant de 2013 jusqu’à la mort de Piper en 2015. Par exemple:
Les chercheurs indépendants de gauche Robbie et Abbie Martin (Media Roots Radio) ont préparé une émission spéciale en deux parties sur le cas Alex Jones et le danger qu’il représente pour la liberté d’expression en tant qu’il incarne l’exemple parfait du dangereux propagandiste manipulateur, prouvant au monde entier le danger qu’il y a à laisser les chercheurs indépendants s’exprimer librement sur Internet. Pour eux, Jones représente un exemple parfait de pilule empoisonnée, mettant en danger l’existence même du mouvement indépendant de recherche de la vérité. Robbie, Abbie et leur invité en profitent pour disséquer les théories délirantes concernant Sandy Hook, en montrant que celles-ci viennent souvent d’un homme clairement dérangé, soi-disant expert en sciences cognitives et manipulation mentale du nom de James Fetzer. Soulignons, quant à nous, qu’il s’agit du même monsieur Fetzer qui s’en est pris à Piper pour son rejet des théories débiles concernant Sandy Hook, initiant un mouvement de harcèlement et de dénigrement contre lui qui précipita sa mort tragique.
D’autres analystes ont remarqué, comme nous, que Qanon consiste en un retournement droitiste complet et systématique de toutes les théories du complot, lesquelles proviennent toutes d’un point de vue somme toute gauchiste. C’est ce que rapporte le chercheur (franc-maçon) Robert Guffey dans son tout récent livre (2002) Operation Mindfuck (télécharger), qui relie le discordianisme (OTO) au conspirationnisme qanonien. Cliquer ici pour écouter son entrevue avec conspirinormal.Dans l’entrevue (avec Conspirinormal, plus bas), Robert Guffey (lui-même franc-maçon) exprime plusieurs points de vue intéressants: par exemple que les théories qanoniennes détournent systématiquement des théories du complot originairement issues de la gauche pour les reconvertir en talking point de la (nouvelle) droite. Ce qui crée une situation de division idéale pour alimenter la stratégie de la tension, technique que la CIA a perfectionné durant la guerre froide.
Il renvoie aussi au New Apostolic Reformation (NAR) qui est grosso modo la même chose que le « nationalisme chrétien », par lequel les évangéliques et autres théocrates dont la volonté de puissance les pousse à établir un « dominion », c’est-à-dire à prendre le contrôle de l’État, du gouvernement, pour soi-disant lutter contre les forces du mal qui déchristianisent la nation. Mais qu’ils soient plus libertariens que religieux, ils pavent tous la voie au capitalisme le plus déréglementé, affaiblissant l’État au maximum. Détails sur le NAR par le magazine Rolling Stone.
Le détournement droitier du conspirationnisme de gauche s’inscrit dans le contexte d’un changement au sein de la CIA. Tout comme elle a créé le NED pour faire culturellement ce qu’elle faisait militairement ou paramilitairement, elle s’adonne plus autant qu’avant aux enlèvements et assassinats de dissidents de gauche, comme les réseaux stay-behind et les escadrons de la mort autrefois en Amérique latine. Elle travaille plutôt à utiliser ses nouveaux réseaux « stay behind » pour propager le militantisme de droite radicale violente, nationaliste chrétienne, fasciste, patriotique ou libertarienne. Exacerber la division pour alimenter la stratégie de la tension, c’est à cela que doit servir cette étrange métamorphose des idées conspirationnistes de gauche en idées conspirationnistes de droite, comme on peut le voir dans le phénomène QAnon, autre exemple de stratégie de la tension. Cela n’est pas sans rappeler le propagandiste de droite Tucker Carlson, cet équivalent d’Alex Jones mais pour les médias du courant central (FOX News): le jeune Tucker alla combattre aux côtés des forces anti-socialistes au Nicaragua exactement dans les mêmes années que la CIA menait au Nicaragua ses opérations de lutte contre les « communistes » (dissidents) avec ses réseaux « stay behind ». Maintenant ils travaillent ensemble, Carlson et Jones, suivant la même stratégie de la tension utilisée par la CIA depuis longtemps.
Certains voient en QAnon ni plus ni moins qu’une simple opposition contrôlée (ex: QAnon and the #Pizzagates of Hell sur la sordide vérité. derrière le délire QAnon). Dans une toute autre optique, on peut également considérer Infowars et le mouvement dit « truther » non pas comme de simples « oppositions contrôlées » (concept inventé par Orwell) mais comme un élément d’une grande tromperie spirituelle, dans laquelle des « diseurs de vérité » liés au nouvel âge antichristique dévoilent la réalité de la « tyrannie » dans laquelle nous vivons, sans qu’on sache qu’il s’agit par-là de mettre en valeur un faux sauveur, héroïque vainqueur du nouvel ordre mondial, qui sera nul autre que l’anti-Christ. Satan, pour sa grande tromperie, aurait ainsi créé à la fois le problème et sa solution, la tyrannie du nouvel ordre mondial de même que le héros promis à vaincre cette tyrannie. C’est ce qu’expliquent ces commentateurs, intéressants bien qu’anonymes:
Un enregistrement audio de Steve Bannon prouve que longtemps avant l’élection de 2020, l’équipe Trump avait déjà prévu de crier à la fraude électorale en cas de défaite, ce qui confirme leur rôle central (préméditation) dans l’émeute du Capitole. Le dirty trickster Roger Stone, qui a mené la campagne de Trump en 2016 et servi de trait d’union entre la campagne de Trump et Infowars, a été filmé en train d’expliquer que la stratégie doit être d’ignorer les résultats réels, nier la défaite et faire des tours de piste de victoire, peu importe les résultats.
Roger Stone Wanted A Second Pardon For Role In January 6th Un texto a donc récemment été révélé dans lequel Roger Stone dit vouloir demander un deuxième pardon présidentiel pour lui comme pour Bernard Kerik, pour leur implication dans les émeutes du Capitole. C’est pratiquement un aveu… (On sait déjà de source sûre son rôle central dans les émeutes « flash mobs » dans des bureux de scrutin en Floride lors des élections de 2000 Bush VS Gore, voir « Brooks Brothers riot » sur wikipedia.)L’opération Qanon et le trumpisme ont peut-être l’air insignifiants ou de moindre importance en comparaison avec les grands problèmes actuels. Mais les textos de Roger Stone indiquent que cet opérateur et dirty trickster (responsable des flash mobs qui ont permis à Bush de voler l’élection à Gore en 2000, engagé par Trump pour diriger sa campagne en 2016 et servir de lien entre lui et Infowars) révèlent qu’il a joué un rôe dans les événements du Capitole aux côtés de Bernard Kerik. Ce dernier est l’un des individus les plus louches en lien avec le 11 septembre. Il est souvent mentionné par les chercheurs du 11 septembre en lien avec les aspects les plus louches du 11 septembre, comme les passeports des pirates de l’air retrouvés intacts près des décombres. Ses liens avec Israel sont démontrés. Stone aussi, lors de la commission d’enquête qui a mené à son emprisonnement, avait des liens avec Israel. Dans ce contexte, Israel semble être chef d’orchestre, pour l’État profond, de l’opération « stay behind » en territoire américain, qui a donné le trumpisme et le mouvement Qanon. MCP avait signalé comme d’autres auteurs que les réseaux stay behind et les contras (contre-révolutionnaires), les escadrons de la mort anti-communistes, sont tombés sous contrôle israélien. Les moudjahidines sont la même chose dans le monde musulman et ont servi à piéger l’URSS en Afghanistan. Israel avait intérêt à récupérer ces forces pour ses propres intérêts et en même temps les USA préfèrent toujours faire faire le sale boulot par des intermédiaires (proxy), des fanatiques armés convaincus de combattre le mal, comme ils faisaient avec les Contras au lieu d’envoyer la CIA agir à visage découvert.
Pour plus de détails sur Kerik, fouillez sur un moteur de recherche (google reste le meilleur pour ce genre de recherche) le mot clé « Kerik » sur les sites takeourworldback.com et pascasher.blogspot.com.
Et si vous croyez naïvement que la reprise en main de Twitter par Elon Musk va faire progresser la cuase de la défense de la liberté d’expression, réfléchissez plutôt à qui est vraiment Elon Musk !
Dans les médias alternatifs, en réalité crypto-droitards, on tape sur ChatGPT qui serait « trop woke », LOL. Il y a aussi une IA droitarde financée par Peter Thiel: OpenAI. Elle n’est pas critiquée par personne… Encore une fois l’analyse des médias alternatifs est nulle, aucune critique systémique, seulement certaines compagnies sont critiquées et ce pour de mauvaises raisons (telles que le wokisme). Les médias alternatifs se révèlent comme des apologistes du système actuel, ils n’ont de problèmes avec Big Tech ou Disney pas parce que ce sont des corporations psychopathiques mais juste parce que ces compagnies seraient « trop woke ». C’est pathétique et déprimant de voir les soi-disant médias alternatifs porter de l’eau pour la droite la plus ordinaire du parti républicain le plus ordinaire…
Henry Kissinger on a potential artificial intelligence arms race L’éléphant dans le salon quand on parle de moratoire sur l’IA, c’est que ce sont des connards de contracteurs du Pentagone comme ElonMusk qui parlent de cela, en focalisant notre attentio sur une théorie débile selon laquelle l’IA serait trop avancée et devenue dangereuse en soi… Comme si l’IA allait devenir folle et prendre le contrôle comme dans un scénario de film de scifi (financé par l’armée américaine) comme Terminator. Pour Elon le milliardaire et ses suiveux imbéciles, le danger est que l’IA est trop woke et pourrait contrôler l’humanité. Ceux qui abondent dans le même sens dans les médias alternatifs et les réseaux sociaux sont véritablement des nullités. Elon Musk passe son temps à mettre l’humanité en danger avec ses inventions militaires et ses produits dangereux comme ses voitures sans conducteur.
Comme c’était le cas pour les armes ethnospécifiques liées aux progrès en génétique, c’est clairement encore une question d’armement qui est au coeur de tout le débat sur l’IA. Elon le contracteur militaire le sait très bien… Le grand danger de l’IA dont personne ne parle (à part ceux qui savent de quoi ils parlent) réside surtout dans son utilisation militaire, cher monsieur Elon le contracteur du Pentagone!! L’IA pourrait être utilisée pour tuer par des compagnies de contracteurs militaires avec une efficacité redoutable. C’est sur cela qu’il faut imposer un moratoire, pas sur les deep fakes par IA!
Elon le milliardaire passe pour un diseur de vérité interdites qui choquent, un vrai libertarien… Mais il obéit totalement aux ordres de censure de Twitter à la demande des gouvernements autoritariens de Turquie (Erdogan) et d’Inde (Modi). Blâmer Soros pour tout c’est rejoindre la ligne de la droite la plus ordinaire du parti républicain le plus ordinaire. C’était le discours répétitif et barbant d’un sioniste comme Glenn Beck, qui passe pour un conspirationniste aux yeux des téléspectateurs impressionnables et ignares. C’est aussi la ligne d’un Netanyahou allié de la Hongrie de Viktor Orban, qui communient dans la détestation des immigrés et des musulmans (selon eux « c’est Soros qui contrôle la gauche et l’immigration »), et qui travaillent fort à la promotion des politiques racistes d’Israël comme modèle à suivre pour l’extrême-droite internationale.
C’est aussi ce qu’on pourrait entendre de la part de Tucker Carlson, qui est l’un des principaux promoteurs actuels des politiques de Viktor Orban et dont le père super-spook de la CIA fut même lobbyiste officiel d’Orban.
Au final, peu importe Taibbi: le bilan des twitter files tel qu’il nous est présenté est radicalement faux. On nous les présente comme s ‘ils prouvaient un biais libéral anti-droite, anti-conservateur de la part de Twitter, de Big Tech et des médias sociaux. La réalité est que twitter a bcp débattu à l’interne sur la possibilité de changer les règles pour accomoder la droite, par exemple ils ont adouci les règles pour accomoder le POTUS Trump qui twittait des conneries, pour éviter de le bannir. Pire encore, twitter a donné un traitement préférentiel à libsoftiktok, un compte haineux anti-trans et anti-woke. Le compte était protégé au plus haut niveau de la direction de twitter! Si ça c’est pas accommodant pour la droite la plus débile… Par contre des comptes de journalistes sérieux de gauche ont été éliminés. La réalité est rigoureusement inverse du portrait présenté par Musk et Taibbi! Le biais est clairement accommodant envers la droite et rigoureusement censeur envers des commentateurs et des médias de gauche ou syndicalistes. Sur Youtube, de même, les contenu droitards ne sont pas réprimés mais plutôt suggérés: on peut voir des suggestions de vidéos de Jordan Peterson même si on le déteste, on reçoit les nouvelles de Forbes et Bloomberg mettre en valeur Ron de Santis et faire la promotion des ses idées de guerre culturelle, sans jamais faire référence au fait que ce mouvement est adjacent à Qanon et au trumpisme, ainsi qu’aux politiques de la droite chrétienne théocratique ou fasciste. Bloomberg et Forbes s’avèrent bien moins libéraux et bien plus néocons et réactionnaires autoritariens qu’on pourrait le croire.
En réfutant les accusations d’antisémitisme à la suite de sa critique contre Soros (Elon Musk Bashes George Soros in Tweet Saying He ‘Hates Humanity’), Elon a souligné qu’il est pro-sémite en fait. Et pourtant les « dissidents » patriotes antisionistes anti-NWO lui sont quand même favorables! Elon Musk tient le même discours anti-Soros que Orban et Netanyahou et Glenn Beck et le parti républicain. Les journalistes de Haaretz l’ont très bien compris, mais les ignorants sont impressionnés et croient qu’ « il est pas avec les sionistes ». Pour preuve: Why Israel’s Government Is Shielding Elon Musk From Accusations of Antisemitism.When Twitter CEO Elon Musk attacked the 92 year-old Jewish philanthropist, saying Soros ‘hates humanity,’ he was echoing the aggressive stance taken by both Netanyahu and GOP lawmakers. (HAARETZ)
Musk a aussi des liens étranges avec Israël: il a refilé les dossiers de Twitter (« Twitter Files ») à éplucher en exclusivité au journaliste Matt Taibbi du magazine Rolling Stone ainsi qu’à la lobbyiste payée par Israël Bari Weiss du torchon NY Times. Taibbi est sceptique du Russiagate, anti-woke adjacent aux culture warriors mais plus dans le style de G.Greenwald. Musk est aussi fan, comme bcp de libertariens, du compte Twitter BabylonBee, qu’il suffit de suivre un moment pour comprendre que c’est un compte clairement pro-sioniste. Il a été nommé membre honorifique par les Raéliens des USA, c’est pas nouveau que la dissidence s’associe aux sectes. (Dieudo par exemple a carrément donné des Quenelles D’or à nul autre que Raël) Il faudrait demander à Musk s’il n’a pas déjà considérer d’éviter de laisser autant de place aux sionistes dans ses projets, ou bien s’il n’a pas déjà subi quelque pression en faveur des intérêts israéliens. En tous les cas, les dissidents feraient mieux de réfléchir à ce que ce que cachent ces connexions israéliennes de Musk, connexions ouvertement sionistes suprémacistes dans le pire sens du terme. (Quand Joe Rogan a invité l’antisioniste Abby Martin pour parler de la lutte du gouvernement pour interdire BDS avec des lois contraires au 1er amendement, il a invité Bari Weiss la semaine d’après, pour contrebalancer.)
Pour essayer de compromettre DeSantis, Trump a avoué avoir participé au trucage d’une élection en faveur de DeSantis, geste criminel pour lequel il devrait être condamné normalement… Lors de la plus récente élection de gouverneur, sous Trump, DeSantis allait possiblement perdre, il a gagné seulement par quelques milliers de votes (cette année c’est par quelques millions de votes). Alors Trump a envoyé sa gang de Tea Party MAGA, incluant Roger Stone, pour arrêter le décompte des bulletins de votes, ce qui permit à DeSantis de l’emporter alors que ça n’était pas encore sûr. L’équipe de droitistes du dirty trickster Roger Stone avait fait le même coup en l’an 2000 pour faire cesser le décompte des votes, ce qui permit à Bush de vaincre Gore (voir Brooks Brothers Riots). Rapporté par l’avocat Farron Cousins de America’s Lawyer (anciennement pour RT America) Trump Admits He Rigged Florida Election For Ron DeSantis
Elon Musk not some radical outsider, but a crucial part of the US surveillance and national security states. Read my investigation here: Elon Musk Is Not a Renegade Outsider – He’s a Massive Pentagon Contractor From its origins, SpaceX has been close to the national security state, particularly the CIA. Yet Elon Musk continues to benefit from a perception that he is not part of the system. Afficher cette discussion
Ghislaine Maxwell ‘asked Elon Musk to DESTROY the internet after inquiring with Tesla billionaire whether it was possible to remove yourself from web completely,’ Vanity Fair reporter reveals *Musk, 51, has denied knowing Maxwell several times and has claimed on Twitter in the past that she ‘photo-bombed’ the billionaire and would-be Twitter CEO in a photo of the two from a party *A new story sourced to a Vanity Fair staffer, however, alleges that the two had a full conversation at the 2014 Oscar party that the picture was taken at *The staffer claims Maxwell asked Musk if there ‘were a way to remove oneself from the internet’ *She then, supposedly, encouraged Musk to ‘destroy the internet.’ Musk allegedly demurred
Yair Netanyahu, le fils de Bibi, disait à Kanye (mi-novembre) qu’il a raison d’haïr les juifs d’hollywood (il les haït lui-même) mais pas les autres. On voit la cohérence du fascisme israélien avec la lutte de la droite conservatrice ordinaire plus ou moins conspi contre les « liberals » et leur idéologie « woke », liée à la théorie critique sur la race, perçue comme un complot « marxiste culturel » (épouvantail qui vient des milieux conspis, plus précisément larouchistes).
Fascinated by Yair Netanyahu’s response to Kanye. Pretty much the perfect example of how prominent right wing Jews proliferate antisemitism by directing the tropes at progressive Jews. That’s because their views are steeped in the same antisemitic narrative of the right.
Who is the Jewish guy who will ‘moderate’ DeSantis’ presidential launch on Twitter? Venture capitalist David Sacks has contributed to both Democrats and Republicans in the past. When Gov. Ron DeSantis launches his presidential bid in a conversation with Elon Musk on Twitter Wednesday evening, the two will be joined by DeSantis supporter and Jewish tech entrepreneur David Sacks.
À moins d’une résurrection surprise de Donald Trump qui changerait grandement la donne, c’est bien ce qui risque de se produire: un ticket présidentiel De Santis avec Haley comme co-listière.
Ron deSantis a l’air de faire comme Orban: écorcher Soros et fréquenter des « infréquentables » (les médias les décrivent comme des antisémites, négationnistes, fascistes, etc.), et ce même au moment du lancement de sa campagne, tout en étant curieusement très lié d’amitié avec Netanyahou et son gouvernement, et en rendant visite à Miriam Adelson, la veuve de Sheldon Adelson, le plus important financier du parti républicain…
De Santis a rendu visite à Bibi en Israel, les médias israéliens les reconnaissent tous deux comme des autoritariens anti-démocratiques. Au moins il est pas encore officiellement dans la course pour la présidence des USA. Il a profité de son voyage en Israël pour imposer une nouvelle loi anti-liberté d’expression.L’article de ce site israélien (de gauche libérale) est pour les abonnés mais les commentaires au bas de la page ne sont pas mauvais:
Trump, DeSantis Will Be the Talk of Vegas at GOP Jewish Gathering The former president will not be speaking at the Republican Jewish Coalition event, but some of his expected rivals for the 2024 GOP nomination will be – including Gov. Ron DeSantis and former Vice President Mike Pence
Who is the Jewish guy who will ‘moderate’ DeSantis’ presidential launch on Twitter? Venture capitalist David Sacks has contributed to both Democrats and Republicans in the past. When Gov. Ron DeSantis launches his presidential bid in a conversation with Elon Musk on Twitter Wednesday evening, the two will be joined by DeSantis supporter and Jewish tech entrepreneur David Sacks.
Ron de CIAntis récolte des millions avec ses événements de levées de fonds depuis quelques mois. On attend toujours qu’il confirme sa candidature pour 2024. Essayant de copier Trump pratiquement en toute chose, il est déjà pratiquement considéré comme un héros dans les médias alternatifs sous influence de la droite sioniste, libertarienne ou nationaliste chrétienne, en raison de son opposition ouverte et frontale (étrangement impunie) à plusieurs mesures de restriction sanitaire lors de la crise covidienne, notamment aux confinements et fermetures de commerces. On dit de lui dans ces milieux qu’il a défendu nos libertés (ex: Joe Rogan ou Jason Bermas), alors qu’en réalité il fait bien pire que la fameuse culture « woke » de l’annulation (« cancel culture »), par exemple en interdisant carrément BDS à force de défendre Israël tout le temps, ou en imposant le contrôle de la pensée aux enseignants (obligation de divulguer ses vues politiques aux autorités).
C’est un fait de plus en plus indéniable: derrière le mouvement conspirationniste actuel agissent des forces de droite déguisées qui ne font qu’inventer des mensonges, pour nous monter contre la gauche sous toutes ses formes. Qanon accusait les Démocrates d’être une secte des pédos buveurs de sang accros à l’adrénochrome, c’était juste pour pousser à la haine contre les éléments politiques libéraux et surtout la « gauche extrême » qui se trouve (minoritaire voire inexistante) au sein des Démocrates. Mais c’est un peu surprenant d’entendre DeSantis avouer enfin clairement que son but est d’éradiquer la gauche… C’est ce que je me tue à expliquer à nombre de conspirationnistes depuis des lustres. D’habitude, ces droitards inventent des mensonges pour rationnaliser et justifier leur haine de la gauche: d’habitude ils identifient la gauche au « wokisme », à la « tyrannie covidienne », etc., pour la salir (shitcoat). Mais DeSantis vient de laisser le chat sortir du sac, il dit clairement qu’il veut en finir avec la gauche. Si c’était des gens de gauche qui faisaient campagne explicitement « pour éradiquer le conservatisme », les droitards criraient au génocide, il pleureraient tous en dénonçant un « appel au meurtre », une « diabolisation insupportable »… laquelle prouverait selon eux que la gauche c’est le mal.
Il est clair qu’une part des appuis de Trump du côté des influenceurs le répudie maintenant pour se tourner vers DeSantis, et ces influenceurs sont des « philosémites », en contraste très net avec le dîner de Trump, dîner de conspis « antisémites » s’il en est. Ben Shapiro, fier juif sioniste de tendance raciste, a reçu plus de 100 000 dollars de la part de Ron DeSantis, le principal rival de Trump pour la présidence à l’heure actuelle. Shapiro et Jordan Peterson, pseudo philosophe obsédé par le wokisme et son prétendu « pedophilic grooming of kids », ont tous deux rendu visite à Bibi Netanyahou dernièrement lors de leur tournée de conférences en Israël, suivi d’une belle séance de photo très professionnelle dans le style backroom mafia avec nul autre que leur idole: Bibi. Shapiro et Peterson ne parlent pas trop de DeSantis, mais ils attaquent tous les deux « l’hystérie covidienne », ce qui est un moyen détourné de mettre en valeur DeSantis et sa lutte aux mesures sanitaires (confinements, fermetures forcées, masque et vax obligatoire, etc.). Je redis et souligne depuis longtemps que c’est en Israël que convergent les luttes contre le wokisme-grooming et l’hystérie covidienne, et que ça n’est certainement pas un hasard. C’est une métamorphose du néoconservatisme à l’israélienne. Ron DeSantis est la créature née, en quelque sorte, de cette métamorphose. Il est à prévoir que ce clan rejoindra celui d’Alex Jones, lequel délaissera ouvertement Trump pour promouvoir DeSanctimonius. Notez bien que le camp pro-Trump ici ne perd pas son temps à parler contre le wokisme ou contre « l’hystérie covidienne » ou à exprimer leur philosémitisme en voyageant en Israël pour y donner des conférences…
DeSantis est certainement un atout de la CIA, mais peut-être aussi du Mossad ou directement du gouvernement israélien (la Floride est l’une des bases d’appui pro-Israel les plus fortes aux USA, avec sa forte population juive sioniste et son inclinaison anti-communiste liée aux exilés cubains anti-communistes). Certains le qualifient de « buttigieg-esque » (autrement dit CIA) en raison des gros trous qu’on retrouve dans son CV en lien ave son temps passé dans l’armée.
DeSantis était nominalement responsable du « traitement humain des prisonniers » à Fallujah et auparavant à Guantanamo dans le cadre du programme de torture de Bush fils. Méditez là-dessus.
Pour quantité d’Américains, son rôle dans la torture lui fait un très bon CV… Comme celui d’un Jack Bauer dans la vieille série télé 24 (mettant en vedette la torture comme unique moyen de faire parler les ordures de terroristes). Un président digne de la série 24, pour 2024… Ça promet ! Un président DeSantis ferait voter une loi interdisanit non seulement le mouvement BDS mais rendant possible l’arrestation et la déportation des « antisémites » prônant le boycott d’Israël, pour les faire juger et emprisonner en Israël, comme les nazis ont été traqués des décennies après la Seconde Guerre mondiale. Le chemin semble pavé pour en arriver là: en effet la première chose que DeSantis a faite dans son mandat de gouverneur de Floride fut d’adopter la définition et la réglementation légale condamnant l’antisémitisme, selon la définition voulue par Israël, qui condamne lourdement l’expression de la critique envers Israël, que les fautifs soient étudiants, profs universitaires, ou une organisation. Il a forcé la compagnie Ben & Jerry’s, qui était jusqu’ici ouverte à BDS, à produire leur crème glacée dans les territoires occupés, sous menace de faire interdire la compagnie en Floride. C’était avant que DeSantis fasse interdire BDS tout simplement. Plusieurs organisations chrétiennes américaines, comme l’Église unie, etc., ont pris position contre la guerre en Irak et ont réussi à avoir un gros impact. Cette capacité des églises américaines à influencer la politique étrangère peut être utilisée de bien des façons, parfois contre certains plans machiavéliques des petits groupes spéciaux qui parasitent les gouvernements. En ce moment, certaines de ces mêmes organisations chrétiennes sont en train d’adhérer ouvertement et publiquement au boycott contre Israël. Si DeSantis devient président, il pourrait les forcer à changer leur position, sous peine de les faire interdire carrément, ou pire encore: arrestation et condamnation automatique pour « antisémitisme ».
Il participe en tout cas très certainement d’une stratégie de la tension, entraînant une division de la société entre wokes et anti-wokes ainsi qu’un remodelage de la rhétorique politicienne républicaine sur une ligne anti-woke. Les prétendus fuites sur la « théorie critique dans les écoles » par Chris Rufo, prétendues révélations du genre qu’aurait pu produire Project Veritas (formé par Erik Prince), donnent de l’eau au moulin de la lutte anti-woke de DeSantis.
Il est probablement le politicien le plus néocon, le plus fervent militant pour un changement de régime dans les pays perçus comme communistes: Cuba, le Vénézula, et plus récemment la Colombie. Sa haine anti-Cuba est des plus virulentes et plaît particulièrement à la population de Miami qui a recuellit quantité d’exilés cubains anti-communistes. Rappelons qu’après avoir chassé du pouvoir le très corrompu Batista, cet ami personnel de Meyer Lansky, Fidel Castro a aussi chassé les mafieux, qui ont dû partir fonder la ville de Las Vegas comme nouvelle capitale du crime et du jeu. La plupart de ces exilés ont pris refuge à Miami, de là vient la réputation de la légendaire ville du vice. Ceux-ci deviennent probablement les meilleurs atouts pour la CIA car leur haine du communisme, leur amour du capitalisme et leur loyauté envers le gouvernement américain fait d’eux d’escellent atouts dans la lutte au communisme, au socialisme, pour la privatisation de la Floride. Voir le livre qui révàle comment la CIA a permis à Disney d’acheter des vastes terrains à prix dérisoires. Disney a maintenant un pouvoir immense sur le gouvernement de Floride, à plusieurs niveaux de gouvernement. Mais DeSantis vient brouiller les pistes car il attaque Disney pour de mauvaises raisons, ses partisans ne voient donc pas le vrai problème avec Disney, leurs arguments pitoyables contre le wokisme de Disney donnent en fait des munitions à ceux qui veulent défendre Disney… C’est une stratégie typique de la droite pseudo libertarienne et pseudo- populiste amie de l’État d’Israël: ils défendent une idée populiste, contre l’establishment, qui est un ennemi réel (comme la compagnie Disney), mais ils attaquent cet ennemi réel en invoquant les pires raisons, les plus mauvaises raisons imaginables (ex: pour wokisme), brouillant ainsi complètement les cartes tout en devenant des mauvais guides, des héros illégitimes (pro-sionistes ultras!) et tout cela en donnant des munitions à leurs détracteurs et à tous ceux qui voudraient faire taire toutes les voix anti-establishment.
Joe Rogan Endorses De Santis DeSantis reçoit l’appui de l’animateur-désinformateur de la CIA Joe Rogan, le même qui a invité le désormais célèbre Dr Malone dans une entrevue aujourd’hui légendaire, le jour du nouvel an 2022. On peut dire que Joe Rogan est sioniste car il a invité un néocon apologiste d’Israel juste après avoir invité Abbie Martin au sujet de sa lutte épique pour BDS en Georgie (où il a été interdit) et contre l’obligation de loyauté envers Israël imposée aux politiciens et gens du gouvernement dans certains États. DeSantis reçoit aussi l’appui de Jason Bermas, un ancien protégé d’Alex Jones qui se souvient certainement de la grande dette qu’il a envers lui. Bermas a participé au documentaitr amateur Loose Change sur le 9/11. Il fait partie de ceux qui ne parlent jamais du CNP, alors qu’ils n’ignorent pas son existence, mais qui vont tout de même dénoncer Elon Musk, Peter Thiel, ces prétendus héros de la mouvance de droite conspi anti-woke. Bermas se bat à grands cris contre le technofascisme, vax obligatoire, Big Pharma, Bilderberg… mais présente Bolsonaro, grand ami des Américains, comme un héros de la lutte contre la tyrannie médicale globale. Misère…
On dirait que le mouvement « truther » actuel est monté exprès pour mettre en vedette certains des pires sionistes radicaux droitiers qu’on trouve dans le paysage politique international ! Ce mouvement est piloté par les pires forces droitières sionistes de l’échiquier politique, il sert leurs intérêts et tout cela sent très mauvais. Comme des rongeux de balustres qui se cachent derrière la religion, qui s’en servent pour défendre d’autres intérêts, eux se cachent derrière le mouvement de « »résistance à la tyrannie » qui est bien souvent un joli mot pour dire combattre comme des ennemis de l’humanité tous ceux qu’ils voient comme « communistes » c’est-à-dire tous ceux qui ne sont pas avec eux dans leur volonté de mettre au pouvoir des zélés de la droite religieuse, chaude partisane des privatisations. Il n’est pas impensable que la technocratie médicale voire la crise globale pandémique aient pu été lâchés volontairement sur le monde par les forces de droite qui savent très bien, comme de parfaits escrocs, comment récupérer la grogne populaire anti-gouvernement, maniant parfaitement la rhétorique populiste. Ils attaquent Big Tech, Big Data, Big Pharma, mais pour les plus mauvaises raisons (ex: pour leur « wokisme »), brouillant ainsi les cartes. Ils accusent Big Tech d’être de gauche et anti-conservateur. Le cas de Twitter prouve précisément l’inverse: on peut prouver exactement l’inverse en citant l’exemple de libsoftiktok (tenue par la Loubavitch émeutière du Capitole Chaya Raichik) qui a été protégé au plus haut niveau de la direction de Twitter, ou en citant le cas de Trump, pour qui la direction de Twitter a été obligée d’être accommodante au point de rendre ses critères de censure plus tolérants. Sur Youtube, de même, les contenu droitards ne sont pas réprimés mais plutôt suggérés: on peut voir des suggestions de vidéos de Jordan Peterson même si on le déteste, on reçoit les nouvelles de Forbes et Bloomberg mettre en valeur Ron de Santis et faire la promotion des ses idées de guerre culturelle, sans jamais faire référence au fait que ce mouvement est adjacent à Qanon et au trumpisme, ainsi qu’ax politiques de la droite chrétienne théocratique ou fasciste. Bloomberg et Forbes s’avèrent bien moins libéraux et bien plus néocons et réactionnaires autoritariens qu’on pourrait le croire.
Ces « héros » de la lutte contre la tyrannie médicale globale et du wokisme comme Bolsonaro et DeSantis sont aussi pro-Trump, comme le sont d’ailleurs les conférences de médecins new age droiters antivax pro-Trump, aux côtés de David Icke, du général Flynn… Comble de la contradiction: c’est le président Trump lui-même qui a rendu possible l’opération Warpspeed et la vaccination !
Ron DeSantis récupère le mouvement anti-vax ou covidosceptique, ça va faire monter sa campagne puisqu’il existe un nombre très important de covidosceptiques et de critiques du vax anticovid très remontés et crinqués, résultat dialectique de la récente pandémie et sa réponse « tyrannique ». L’antivaxxisme aide DeSantis à se distinguer de Trump (fier de SON vaccin) et à recapter les fans de Trump devenus orphelins avec la campagne de Trump qui ne lève pas. J’avais vu venir que ce mouvement covidosceptique et opposé au vaccin-anticovid et à toute la tyrannie covidique a une très problématique connexion sioniste ; DeSantis en est l’exemple le plus patent. Voir: https://www.youtube.com/watch?v=31s6i5OsG20https://www.youtube.com/watch?v=2hf0HZG4i8k
Le droitard DeSantis va peut-être proposer sa solution pseudo libertarienne mais réellement capitaliste crasse qui est: imposer des assurances privées à la place d’une CDC gouvernementale « tyrannique ». La tyrannie covidienne a tellement fait chier que les gens sont prêts à ce que le privé prenne la relève et « sauve le monde » en faillite. Le monde du privé, le milieu bancaire et des grandes compagnies de l’État profond, est toujours celui qui profite de telles réformes. Du côté conspi, la droitarde (soi-disant ancienne démocrate) Tulsi Gabbard diffuse en gros les mêmes idées que DeSantis. Autant il est clair que le trumpisme allait dans le sens d’une stratégie de la tension, autant la crise pandémique a plus tard été utilisée dans une stratégie de la tension par les droitistes, pour diviser la société encore sur un nouveau terrain, autant faut-il constater que ce mouvement qui semblait si radical est en train d’être tranquillement ramené vers le parti républicain de base, ordinaire, c’est là que mène leur guerre culturelle et leurs histoires de drag queens, qui désamorce la révolte pour prendre le même côté que la police, comme ici: Fox News guest claims that parents bring their children to drag queen story hours to « own the conservatives, » a phrase I’ve never heard a left-wing person use, and to normalize pedophilia (which is false and dangerous) (VIDEO)
Ron DeSantis Is Sending Florida Straight To Hell – YouTube The state of Florida is working to become one of the most oppressive states in the nation, as Republican Ron DeSantis continues to stress culture war issues. But behind his assault on our rights lies an economy that is in utter shambles, with more and more workers and residents struggling to stay above water.
Trump, DeSantis Will Be the Talk of Vegas at GOP Jewish Gathering The former president will not be speaking at the Republican Jewish Coalition event, but some of his expected rivals for the 2024 GOP nomination will be – including Gov. Ron DeSantis and former Vice President Mike Pence
Trump n’arrête pas d’essayer de démolir Ron DeSantis, cela a tout à voir avec la campagne pour la présidence en 2024 qui les met en rivalité comme favori du GOP. Plusieurs vidéos parlent de la rivalité Trump-deSanctimonius. (Voir par ex., Ring of Fire.) Trump est en train de se faire rejeter et éjecter. Les attaques contre DeSantis venant d’un gars discrédité comme Trump, c’est très mauvais, car ça donne automatiquement une « free pass » à Ron DeSantis qui va se mettre à recevoir plein de publicité (c’est déjà le cas dans les grands journaux américains). Trump qui est en train de se faire lâcher même par des gens de sa base, fait de la pub indirecte à Ron DeSantis par effet de psychologie inversée. Il fait en sorte que les critiques seront tournées contre lui et non contre DeSantis. Le nom Trump est toxique, si Trump te critique c’est bien, c’est presque un badge d’honneur. Ça va donner plus de poids à la candidature de DeSantis. Personne ne se mettra à fouiller de plus près et critiquer DeSantis, parce que c’est ce que fait Trump. Il aurait été mieux de la fermer et de s’y prendre autrement. Trump a été élu par la psychologie inversée, grâce aux attaques médiatiques contre lui, qui l’ont rendu attirant pour un électeur « contrarien », c-à-d qui ne croit pas les médias et prend le contrepied exact du discours dominant de façon un peu aveugle et exagérée. Maintenant Trump semble jouer aux idiots utiles en faisant gagner plus de popularité à DeSantis avec ses attaques grossières et maladroites. On va sonner comme un Donald Trump si on se met à parler des saletés de la vie cachée de DeSantis, alors que ce qu’on devrait justement être en train de faire en fait. Quand Trump parle des choses concernant DeSantis que lui seul sait mis à part peut-être sa femme, il finit en disant que c’est elle qui dirige sa campagne. Trump semble pointer du doigt un lien avec la CIA, ou similaire (Israel est politiquement très fort en Floride). C’est typique des agent de la CIA de fonctionner en couple, avec l’épouse « handler » qui tient les commandes du politicien manipulé, le tout pour le compte de la CIA. C’est le scénario du film de Polanski The Ghostwriter (L’écrivain fantôme), lequel est plus ou moins basé sur la carrière de Tony Blair, décrivant les liens du politicien avec des groupes d’intérêts qui profitent de la guerre et créent les conditions chaotiques à l’international pour assurer le maintien de la guerre à long terme.Pour essayer de compromettre davantage DeSantis, Trump a avoué avoir participé au trucage d’une élection en faveur de DeSantis, geste criminel pour lequel il devrait être condamné normalement… Lors de la plus récente élection de gouverneur, sous Trump, DeSantis allait possiblement perdre, il a gagné seulement par quelques milliers de votes (cette année c’est par quelques millions de votes). Il a gagné de justesse seulement parce que Trump a envoyé sa bande de Tea Party MAGA, incluant Roger Stone, pour interrompre et saboter le décompte des bulletins de votes. L’équipe de droitistes agités du dirty trickster Roger Stone avait fait le même coup en l’an 2000 pour faire cesser le décompte des votes, ce qui permit à Bush de vaincre Gore (voir Brooks Brothers Riots). Rapporté par l’avocat Farron Cousins de America’s Lawyer (anciennement pour RT America) Trump Admits He Rigged Florida Election For Ron DeSantis
Pour mener sa guerre culturelle et alimenter sa stratégie de la tension, DeSantis prétend combattre l’idéologie de « grooming » pédophilique « woke », qu’il accuse les enseignants d’imposer à l’éducation donnée aux enfants. C’est ainsi qu’il se justifie de vouloir forcer les profs à dévoiler leurs allégeances idéologiques et politiques, ce qui contrevient radicalement au premier amendement– la liberté d’expression. Trump pourrait attaquer DeSantis sur ce point: nul autre que DeSantis a fait autant pour détruire le premier amendement–la liberté d’expression. C’est ce qu’il fait sans cesse, que ce soit pour faire interdire BDS ou obliger les profs à dévoiler leur allégeance politique et idéologique. Mais c’est peut-être même pas de ça que Trump parlait en fait quand il disait qu’il a des choses sordides à révéler sur DeSantis…
Republican Groomers Kill Bill To Ban Child Marriages Les républicains tuent le projet de loi bannissant le mariage des mineurs. Si ça c’est pas prendre la défense des vrais « groomers »… Et dire que ce sont les mêmes droitards républicains qui accusent la gauche d’être des « groomers »! Encore de la projection, pour salir leurs ennemis politiques en les accusant de ce qu’ils font eux-mêmes.De Santis est un cauchemar ambulant de tyrannie gratuite… Ça rend presque heureux de voir la cote de popularité de Trump remonter, si ça peut écarter De Santis… Sauf que le clan Trump nous prépare probablement une belle grosse guerre civile si Trump ne peut pas être candidat officiel du GOP ou s’il n’est pas réélu (il pourrait se présenter avec un nouveau parti « indépendant » prétendant casser le duopole Rep-Dem, comme on le préparait déjà durant le règne d’Obama, selon MCP).
Nick Fuentes davantage du côté du candidat Ron de Santis que Trump while Nick Fuentes hasn’t had his own account restored, he thinks that Elon Musk’s takeover of Twitter has been a boon for white nationalists because Musk has reinstated a lot of them and personally shares their views: “Not only has he replatformed thousands of rw accounts, but he himself is using his platform to post content that is more based than almost anyone in the mainstream American Right on race and other issues.” Selon ceux qu’on peut appeler autoritariens, fondamentalistes théocratiques ou fascistes religieux, les pro-trans et pro-drag queens seraient ennemis de la liberté en ce qu’ils limiteraient la liberté d’expression des anti-trans… C’est, sans blague, la position du parti libertarien amércain d’aujourd’hui: la « dictature LGBTQ » est pour eux la pire menace à la liberté, comme Elon Musk a dit que la pire menace pour notre civilisation est le virus mental « woke ».
L’obsession sur le « problème Trans » et la constante référence à la science qui n’aurait pas encore évalué les impacts psychologiques à long terme du changement de sexe-genre (Trans), je crois que c’est de la projection et de l’inversion accusatoire de la part des masculinistes, pour occulter la réalité et surtout les dégâts du masculinisme, en faisant diversion, en attirant notre attention sur autre chose (« whataboutism »), et dans ce cas-ci la fixer sur le phénomène contraire, à l’antithèse du masculinisme: les Trans. Pour mieux cacher le fait que le masculinisme est devenu pratiquement une nouvelle religion, beaucoup plus répandue que le phénomène des Trans, puisqu’il concerne des milliers voire des millions de cas d’hommes. Les hommes sont majoritairement plus tentés par le masculinisme que par l’idée de changer de sexe-genre. Pour mieux cacher aussi son versant clairement extrémiste, vecteur de radicalisation plus ou moins violente (souvent nationaliste blanc). Et pour mieux cacher surtout ses graves dangers déjà connus en partie, mais encore largement inconnus à long terme, pour la santé mentale (troubles évidents tels que l’obsession, la manie, l’impulsivité, l’agressivité) et la santé physique (par ex : multiplication des chirurgies inutiles, prises d’hormones, consommation en jeune âge de créatine et de protéines pour la croissance musculaire, etc.). Voilà quelque chose de très problématique, qiu touche vraiment la jeunesse et qui devrait faire parler davantage que le phénomène trans ou anti-trans.Comme chez les anti-gay conservateurs qui sont secrètement super-gays ou carrément pédérastes (Ex: Ali Alexander récemment sous enquête), je crois bien que l’obsession sur les jeunes Trans vient d’un phénomène de projection de leur propre obsession sexuelle sur les parties génitales, et dans le cas des jeunes Trans spécifiquement une perversion pédo de quelqu’un qui ne veut pas se l’avouer.
Un fait indiscutable qui va dans ce sens est qu’en Floride et au Texas, des élus conservateurs ont fait voter des lois exigeant l’inspection génitale des trans mineurs ! C’est pas une satire, c’est la pure vérité. The Onion a produit un article pour rire des conservateurs qui défendent sérieusement cette idée, alors même qu’ils prétendent que les woke et les pro-trans sont de vrais abuseurs d’enfants. L’article satirique qui suit de The Onion sur les opinions des conservateurs m’a bcp fait rire. Comme d’habitude, The Onion vise dans le mille avec sa satire (contrairement à Babylon Bee et autres pseudo médias sionistes similaires).“Because of the woke mob, every time I look at teenagers now all I can think about is what genitals they may or may not have. I know I’m not the only one.” Et dire que ces gens qui votent ces lois discriminatoires et abusivement tyranniques prétendent défendre la liberté individuelle morale-religieuse face à « la tyrannie de la masse des wokes ». Florida rejects Holocaust ed textbooks in clampdown on ‘woke’ instruction La Floride rejette le cours d’éducation sur L’holocauste, parce que jugé « trop woke »… Ça va plaire aux conspis trumpiens qui font dans la guerre culturelle (se servent de la politique pour défendre une cause culturelle). Ça conditionne les conspis révisionnistes à prendre parti pour la guerre culturelle, pour DeSantis, et éventuellement à prendre parti pour Israel contre les wokes antiracistes antisionistes.
Israel’s Dangerous Right-Wing Government Chooses Chaos Et quand je vous dis que la gauche est le pire ennemi objectif de l’État voyou israélien, écoutez ces trois là remettre les pendules à l’heure concernant Israel… Ils sont renseignés et ont le même biais libéral que l’écrasante majorité de la population, ce qui fait que leur message passe mieux que n’importe quel autre auprès du public. (La mouvance anti-woke n’est que contrarienne, ne voulant rien entendre d’autre que le contraire du libéralisme de la vaste majorité.)
Mais Nikki Haley annonçait déjà en 2021 qu’elle entrerait dans la course si Donald Trump ne se présentait pas. Tant De Santis que Haley sont des sionistes ultras pourfendeurs de l' »antisémitisme » des mondialistes onusiens et du prétendu gauchisme des médias qu’ils jugent « anti-Israël ». Dans la haine anti-Hamas, De Santis et Haley communient parfaitement. Elle est même plus sioniste que l’AIPAC, en l’accusant d’avoir invité un politicien favorable à l’accord iranien. Elle accuse carrément l’administration Biden (héritière de celle d’Obama) de souhaiter la disparition d’Israël.
Christians United for Israel (CUFI) est une oganisation sioniste ultra avec une façade à peine chrétienne, fondée par le pasteur télévangélique délirant John Hagee, bien connu des lecteurs de ce blog.
Haley: I’d shred bad Iran nuclear deal first day in office « Anything [US President] Joe Biden signs will all but guarantee that Iran gets the bomb, » says Nikki Haley at Christians United for Israel’s 17th annual Washington Summit.
Mais si Trump annonce sa candidature, alors il pourrait se trouver protégé d’une étrange façon, car l’accusation sera portée contre ses ennemis poliques, comme quoi ces derniers utilisent la justice pour empêcher un candidat en bonne et due forme de mener à bien sa course à la présidence, comme cela s’est déjà produit lors des deux tentatives de destitution intentées contre Trump lorsqu’il était président. On sait où ce genre de discours a conduit jusqu’ici: il est effectivement en cause dans l’échauffement des esprits qui a mené les plus radicaux à prendre d’assaut le Capitole (« the storm »).
(…) Haley made fighting anti-Israel policy the centerpiece of her United Nations tenure, removing the United States from the U.N. Human Rights Council because it focused an uneven amount of energy on Israel. She also took the lead in the U.S. decision to cut funding for UNRWA, the U.N.-affiliated body that assists Palestinian refugees, and which Republicans say is perpetuating the conflict. (President Joe Biden plans to reverse both policies.)(…)
Her frontline pro-Israel advocacy has made her extremely popular at the annual American Israel Public Affairs Committee conference, where she always earned the loudest cheers — the mere mention of her name by another speaker guaranteed applause.
She memorably coined the phrase that came to define her U.N. gig at the 2017 AIPAC conference: “I wear high heels. It’s not for a fashion statement, it’s because if I see something wrong I will kick it every single time.”
At the 2019 conference, after she had quit her U.N. job, she used her AIPAC appearance to launch her advocacy website, Stand For America, a typical stage setter for people contemplating a presidential run. The site solicits donations and emails.
She has a very warm relationship with Jewish Republican groups, including the Republican Jewish Coalition (at an RJC event last July, Haley urged Jewish voters to ignore Trump’s coarse conduct and focus on the “results” his policies have yielded).
Jewish Republicans are disillusioned with Trump after the Jan. 6 riot, which attracted explicit displays of anti-Semitism. Fundraising among Jewish donors ahead of 2024 likely will be a hard slog for any presidential candidate who is Trump-adjacent. (…)
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